Dans la continuité de ses très clairs propos pour la paix en Ukraine, Léon XIV a reçu hier au Vatican, en audience privée, le président de l’Ukraine Volodymyr Zelensky.
Le pape avait préalablement évoqué, place Saint-Pierre, lors de la prière du Regina Coeli, « l’Ukraine martyrisée », dans l’attente « de négociations pour une paix juste et durable ».
Il a également dénoncé la situation en Terre Sainte : « À Gaza, les enfants, les familles, les personnes âgées survivantes, sont réduites à la famine ».
À la question posée au cardinal Filoni, l’une des grandes figures du Saint Siège, sur « la question des traditionalistes voulant rester fidèles à Rome, envers et contre tout », ce dernier a répondu : « Léon XIV a un sens liturgique non minimaliste, il est intégral. En effet, il allie, selon moi, simplicité et solennité, deux aspects qui ne sont pas contradictoires ».
Des propos qui peuvent faire penser que dans ce domaine aussi, le pontificat de Léon XIV ne s’ouvre pas sans être porteur d’espérance pour les catholiques de conviction.
