vendredi 2 juin 2023

Enseignement privé sous contrat : la Cour des comptes se mêle une fois encore de faire des recommandations de nature idéologico-politique.

Bernard Antony, président de l’AGRIF, directeur de la revue Reconquête, communique :

Présidée par l’ancien ministre socialiste issu du militantisme trotskyste, Pierre Moscovici, la Cour des comptes vient une fois encore de sortir de son rôle de surveillance des finances de l’État.

Ce dernier, en effet, évoquant une concordance « fortuite » - mais bien sûr ! – avec la séquence de communication et de présentation par le ministre Pap Ndiaye du protocole entre l’enseignement privé sous contrat et l’État, signé le 17 mai, a parlé d’une « première » pour qualifier la publication par la Cour qu’il préside d’un rapport sur l’enseignement privé sous contrat.

Ce rapport met en effet en avant non pas des considérations financiaro-budgétaires qui relèveraient de sa mission de surveillance des financements étatiques mais l’affirmation de nature plus idéologique d’un « vrai recul » (sic) de la « mixité sociale » dans des établissements liés à l’État.

Outre le fait que cette mixité sociale n’est à l’évidence pas moindre dans l’enseignement privé que dans l’enseignement public, on peut peser ici combien la loi de la cinquième République sur le financement des écoles privées, dites « libres » (et en fait privées de liberté) a eu aussi pour effet de placer ces dernières dans les liens de l’État jacobin.

Réalité que l’ultra-socialiste jacobin Moscovici ne peut que vouloir renforcer.

Ainsi ne s’étonne-t-on pas de ce que les « recommandations » des conseillers de la Cour des comptes (désignés comme « les sages », mais de quelle sagesse avec un Moscovici, sinon de « Big Brother » ?) aillent dans le sens d’une amplification des contrôles de l’État.

Qui ne le voit : la coïncidence de la sortie du « protocole » du 17 mai élaboré par le socialiste « woke » Pap Ndiaye et de celle du rapport de vigilance laïciste présenté par le super comptable gauchiste Moscovici peut bien n’être déclarée que fortuite, quoi qu’il en soit, il s’agit d’une évidente convergence idéologique.

Elle ne surprendra que les gogos plus futiles qu’utiles de la déconstruction macronienne.

 

 

 

vendredi 26 mai 2023

Le bobard d’Adèle Van Reeth : “France Inter n’est ni de droite ni de gauche ».


C’est le titre de la page 14 du Monde de ce dernier jeudi (25 mai). Adèle Van Reeth est la patronne de France-Inter. Questionnée sur six colonnes par deux journalistes de ce quotidien, elle répond que les critiques portant sur l’escamotage de la diversité des points de vue, « disparaissent dès qu’on prend la peine d’écouter la grille dans son ensemble ».

J’écoute pour ma part en buvant mon café les informations du matin des « journaux » de Léa Salamé et de Nicolas Demorand. Cela suffit généralement à me fournir la dose d’indignation suffisante pour parachever mon réveil et stimuler ma fonction de réplique.

D’abord, les deux personnages sont annoncés par une introduction de quelques minutes de pitoyables bouffonneries dans lesquelles la vulgarité la plus crasse le dispute à la dérision sans humour la plus affligeante.

Mais cela, en quelque sorte rituellement, déclenche toujours les gloussements éperdus d’admiration des gallinacées de studios sans doute préposées principalement à cette fonction de rire bête.

Après quoi, Léa la diva, presque toujours avec toute sa suffisance dominatrice, et Nicolas le flambeur ne manquent jamais d’imprimer toute leur gauchisterie aux débats et aux traitements des informations.

Certes, France-Inter, dans l’ordre de l’information politique, doit statutairement donner la parole aux différents représentants des partis représentés à l’Assemblée Nationale.

Mais qui osera nous affirmer qu’on y incite à s’exprimer, plus que très rarement, les opposants à la culture de mort, ou les partisans d’une véritable droite de conviction ?

Il serait évidemment intéressant de pouvoir faire le compte des émissions respectivement consacrées à la mémoire des horreurs du nazisme et à celle des horreurs du communisme.

Dieu merci, on ne pourrait trouver dans France-Inter aucun relent de propagande nazie. Mais peut-on en dire autant des influences communistes ?

Hitler atteignit certes des Everest d’atrocités.

Mais Staline, Mao, Pol Pot, Ceausescu (et les autres) n’ont-ils pas atteint eux aussi des Everest d’abominations ?...

·         Écolos-gauchos-veganos-dingos, ras-le-bol de votre néo-totalitarisme !

Une fois de plus, une magistrature s’occupe de ce qui ne la regarde pas !

Voilà donc que la Cour des comptes, qui n’est qu’une juridiction financière, (très importante certes), émet des considérations d’ordre politico-écologique.

Comme les parlements de l’Ancien Régime dont les prétentions à gouverner entraînèrent la révolution qui allait les dévorer, eux aussi, voilà que cette Cour se mêle, hors de sa compétence, de préconiser une baisse du cheptel bovin. Qui ne voit pourtant le désastre écologique et humain à terme de la diminution puis la disparition des élevages et des pâturages ?

Les magistrats de la Cour des comptes sont donc eux aussi sous l’emprise de la boboterie écolo, végano, gaucho, dingo prétendant diminuer le réchauffement climatique.

Que ne vont-ils traiter de cela chez les Chinois et plus encore en Inde pour persuader les Hindous de ne pas laisser pulluler leurs vaches sacrées ? On verra comment ils seront reçus.

Voici donc venu pour nous le moment où, plus que jamais, il va falloir défendre son beefsteak !

·         Antirusse, non ! Anti-Poutine, oui !

Cela a toujours été notre position. Et voilà que chaque jour un peu plus amène la preuve qu’il n’y a pas que les Ukrainiens (et demain les Polonais, les Baltes, les Georgiens, et autres Caucasiens) à affronter l’impérialisme stalino-poutinien. Il y a aussi, de plus en plus nombreux, des Russes de différentes idéologies, de droite ou de gauche, qui prennent les armes contre la dictature, sans doute plus courageux que les émigrés qui désormais se comptent par centaines de milliers.

Nous reviendrons sur cela.

 

   

mardi 23 mai 2023

Les libres propos d'Alain Sanders

 

Marleix, Ciotti, Retailleau ? Copieurs !

Vous avez peut-être vu, en une du dernier numéro du Journal du Dimanche, désormais drivé par Jérôme Béglé (journaliste marshmallow qui a son rond de serviette sur CNews), trois flèches du LR : Olivier Marleix (toujours droit comme un Z), Eric Ciotti (caricature du Méridional hâbleur), Bruno Retailleau (jamais en retard pour attaquer – et dans les mêmes termes que la gauche – la droite nationale).

La une du JDD donc et trois pleines pages pour annoncer « un plan contre l'immigration ». Un plan élaboré par des sarkozystes qui eurent, à l'époque, tout en main pour prendre de vraies mesures contre ladite immigration. Et qui se vautrèrent dans un fracas de karcher déglingué.

Jérôme Béglé (avec au passage un coup de pattes à sa bête noire, le RN « qui s'accroche à son immigration zéro ») en est tout ébaubi : « Ils présentent un projet audacieux (sic) et musclé (resic) pour lutter contre l'immigration ».

En fait de « projet  historique », les Marx Brothers du LR reprennent un programme que le RN (et avant lui le FN) défend bec et ongles depuis des lustres...

Quand Eric Ciotti déclare : « Les Français doivent pouvoir choisir qui ils accueillent, qui ils ne veulent pas accueillir et qui n'a plus sa place sur notre territoire », vous n'avez pas l'impression d'avoir entendu ou lu ça quelque part et il y a longtemps déjà ?

Le très invertébré Olivier Marleix (j'ai longtemps vécu à Anet, en Eure-et-Loir dont il est un des élus, je connais le personnage), n'en finit plus de rouler des mécaniques : « Le gouvernement nous dit qu'il veut un texte ? Eh bien, nous lui en proposons deux, c'est ça ou rien ». Na !

Deux textes ? Des copiés-collés du programme RN : référendum sur la politique migratoire, rétablissement du délit de séjour clandestin, inscription de l'assimilation dans la Constitution, réforme de l'Aide médicale d’État (le RN en demande la suppression pure et simple), refus de la régularisation des sans-papiers employés dans des métiers supposés « en tension » (et qui seraient remplis par des nationaux s'ils étaient mieux payés).

Le député RN Jean-Philippe Tanguy préfère s'amuser de ces cancres qui regardent par-dessus l'épaule de leurs voisins : « Quel copié-collé éhonté du programme de Marine Le Pen sur l'immigration ! Les LR, qui critiquaient ces mesures il y a quelques mois, reconnaissent que nous avions raison sur tout ».

Figure de l'aile très à gauche de Renaissance, Sacha Houlié, par ailleurs président de la Commission des lois, n'a pas manqué de relever les mauvaises manières de ces coucous de rencontre : «Les positions de LR sont désormais alignées sur celles du RN : primauté du droit français sur les traités, référendum populiste, suppression des mesures de santé publique ».

Riposte de Marleix, l'homme qui a sauvé le gouvernement Macron en refusant de voter une motion de censure (repoussée à neuf voix près) qui aurait changé bien des choses : « Les Français n'accepteront pas un texte qui fasse semblant. Ils attendent une vraie réforme. C'est pourquoi je déposerai une motion de censure si le gouvernement tentait de faire passer par 49-3 un texte laxiste ».  

T'as qu'à croire... Il y a des mots comme « laxiste » qu'un Marleix ne devrait pas prononcer. Suivant la formule consacrée, on ne voit pas pourquoi ils feraient demain ce qu'ils n'ont pas fait hier, quand ils avaient tous les pouvoirs. D'autant qu'on voit mal le LR, réduit aux caquets, prendre le risque d'une dissolution de l'Assemblée nationale. Ils y laisseraient des plumes et se condamneraient, à terme, à quasiment disparaître du paysage politique.

Qu'est-ce qui  les motive à s'agiter quand même ? Les sondages qui, les uns après les autres, donnent le RN largement en tête. Ce que traduit à sa façon le renégat Retailleau (qui afficha naguère des positions droitistes, rappelons-le) : « Le chaos migratoire conduit à l'insécurité, à la partition et au chaos politique. A Mayotte, Jean-Marie Le Pen faisait moins de 12%% il y a vingt ans. En 2022, Marine Le Pen y a recueilli 59% des voix ».

On le sait depuis longtemps : pour eux, l'ennemi c'est la droite nationale. Tout cela serait dérisoire et ne mériterait pas qu'on s'y attarde si l'enjeu n'était pas la survie de notre pays. Il n'y a qu'un Jérôme Béglé pour essayer de nous vendre, comme un VRP en aspirateurs des années cinquante, le produit frelaté LR : « La droite bouge encore, nous l'avons rencontrée ! », écrit-il dans le JDD. La « droite », ça ? Il conviendrait plutôt de dire : « Le cadavre LR bouge encore ». A cause des vers.

Alain Sanders

vendredi 19 mai 2023

Le lynchage à Nice d’un jeune couple de promeneurs illustre la montée du racisme anti-blanc. Dans la Haute-Garonne, encore une profanation de cimetière.

 

·         Le lynchage à Nice d’un jeune couple de promeneurs illustre la montée du racisme anti-blanc

Rappelons les faits. Ce dernier dimanche 14 mai à Nice, deux jeunes voyous racistes injurient un couple de jeunes gens qui se promenaient tranquillement : « sales français de merde, sales blancs ! »…

De l’agression verbale ils passent à l’agression physique. Le jeune homme attaqué pratiquant un sport de combat sait se défendre. Les deux agresseurs prennent la fuite et vont chercher en renfort toute une bande de la racaille du quartier pour lyncher les deux promeneurs. Ils sont une dizaine pour rouer de coups le jeune homme et sa compagne, jetés à terre avant de quitter rapidement le lieu de leur forfait.

Des appels à la police ont en effet été lancés et huit « suspects » vont être appréhendés. Les jeunes gens attaqués obtiendront plusieurs jours d’interruption de travail. Bien sûr, s’ils le souhaitent, l’AGRIF pourra les assister pour le procès qui viendra.

·         Dans la Haute-Garonne, profanation de quatre tombes chrétiennes et de deux tombes juives au cimetière de Noé.

L’AGRIF rappelle qu’elle a déjà fait jadis condamné à Toulouse les profanateurs de tombes se réclamant du satanisme ayant dévasté le cimetière toulousain de Peyro Cabado.

Elle suivra donc de près ce qu’apportera l’enquête sur cette nouvelle profanation de tombes juives et de tombes chrétiennes.