lundi 4 décembre 2023

Les libres propos d'Alain Sanders : L'islamo-terroriste franco-iranien : ni vraiment « français », ni vraiment « fou »...

Consignes absolues pour les médias de la dhimmitude : ne jamais omettre de parler du tueur d'origine iranienne, Amine Rajabpour-Miyandoab, en précisant – et plutôt deux fois qu'une (comme le fait Darmanin) : « C'est un Français né en France ». Et puis continuer en insistant sur le « lourd dossier psychiatrique » du terroriste (et non pas de l'islamo-terroriste : dans son tweet d'après l’attentat, Macron, comme à l'habitude, n'écrit jamais le mot « islamiste »).

Ces consignes sont respectées servilement. Ad vomitem. Mais plus personne n'est dupe de la qualité de « Français » de ce « Français » de circonstance. Ce n'est pas parce qu’une vache est née dans une écurie que c'est un cheval, comme le dit la sagesse populaire... Et puis, in fine, le fait que ce fou d'Allah soit né en France et qu'il y ait  été élevé au lait de l'école républicaine – avec le résultat que l'on voit – est encore pire que tout.

On nous dit que ses parents (installés en France depuis près de trente ans, ils ne parlent quasiment pas français) sont des gens peu concernés, voire pas du tout, par leur religion d’origine (le chiisme en l'occurrence). Soit. Ce qui est intéressant, en revanche, c'est que cet Armand (1) Rajabpour-Miyandoab, qui se prénommait Iman avant sa naturalisation, puis Amine après sa conversion, a choisi le sunnisme djihadiste le plus radical (on a retrouvé dans sa chambre, outre une littérature incendiaire, des vidéos d'égorgements et de décapitations, etc.).

Alors un « dingo » comme on essaie de nous le vendre (comme à chaque fois qu'on a ce type de « clients ») ? Non. On a affaire, en revanche, à un virtuose de la tâqiya (la dissimulation islamique). Capable d'avoir roulé dans la semoule les agents de la DGSI. Un fanatique qui a appris l'arabe. Au point de le pratiquer plus qu’honorablement comme on peut le vérifier en écoutant son allégeance sur les réseaux sociaux, et en arabe donc, à l’État islamique.

Un « loup solitaire » ? Pas plus. Il était en relation – notamment – avec Larossi Abdalla, l'assassin du couple de policiers de Magnanville. Avec Adel Kamiche, l’égorgeur du père Jacques Hamel. Avec les djihadistes Maximilien Thibaut et Mélina Boughedir. Avec Abdoullakh Anzorov qui a décapité Samuel Paty en 2020.

Après la mise à mort de Samuel Paty, craignant d'être inquiété parce qu'il conversait avec Anzorov une dizaine de jours avant le passage à l'acte de ce dernier, il s'était présenté à la police. En disant désormais être – en avant la tâqiya... – un « repenti du djihadisme », un « déradicalisé », un ennemi implacable des djihadistes haineux, allant jusqu'à manger du porc et à boire une bière devant sa mère (du coup rassurée...), etc. On connaît la suite...

Condamné en 2018 à cinq ans de prison pour – excusez du peu et étonnez-vous de ce laxisme indécent – association de malfaiteurs terroristes, il ne fera que quatre ans. Il sera libéré avec une mention de « fragile évolution positive » (sic) et bénéficiera par la suite d'un avis de psychiatres affirmant qu'il n'était plus dangereux. Vol au-dessus d'un nid de coucous...

Comme à l'habitude, on voit les mêmes, ceux-là qui ne font rien sinon du bruit avec la bouche, venir parader sur les plateaux de télé. Et un gouvernement, avec un Darmanin pitoyable pour essayer de justifier l’injustifiable, qui pète de trouille et se couche de crainte d’allumer les zones de non-France. Les bisounours se mobilisent. La victime de l'islamo-terroriste (un jeune homme de 23 ans) n'aurait pas été un touriste étranger, on aurait eu droit à une énième marche blanche...

Et pendant ce temps-là, Mélenchon continue, en toute impunité, de glorifier le Hamas et de mettre des cibles sur les Français juifs...

Alain Sanders

(1) A noter qu'en l'occurrence on a immédiatement eu droit au prénom « francisé » de l’impétrant...

 

mercredi 29 novembre 2023

Attaque raciste de Crépol : l’AGRIF ne lâchera rien !




Bernard ANTONY, président

et Yann BALY, délégué général

communiquent :

Une semaine après l’attaque criminelle de Crépol, par une bande organisée en rezzou, qui a coûté la vie à Thomas, jeune homme de 17 ans et fait 17 blessés dont 2 graves, le Procureur de la République de Valence s’est exprimé dans un communiqué, ce samedi 25 novembre 2023, une semaine après les faits.

Annonçant que 6 des 9 suspects ont été placés en détention provisoire, le Parquet a précisé que l’ensemble des individus ont été mis en examen pour « meurtre en bande organisée », « tentatives de meurtre » et « violences volontaires commises en réunion ». La circonstance aggravante de racisme n’a pas, à ce stade, été retenue, malgré les nombreux témoignages recueillis et confirmés par le Procureur lui-même dans son communiqué.

L’AGRIF proteste contre cette inadmissible occultation de la réalité de la part du ministère public.

Nous nous félicitons des paroles de vérité et de fermeté exprimées par Madame Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, qui a, par ailleurs, rappelé que la famille de Thomas souhaitait que soit reconnu le caractère raciste de l’attaque qui a causé la mort de leur enfant.

L’AGRIF ne lâchera rien dans cette affaire et va désormais se porter partie-civile auprès du juge d’instruction, auprès de qui elle demandera de retenir la circonstance aggravante de racisme.

70, boulevard Saint Germain 75005 PARIS – 01.40.46.96.31 - contact@lagrif.fr

Conférence de Bernard Antony à Nice le samedi 2 décembre 2023

 



      AGRIF                             

Chers amis,

Dans le contexte de guerre de religion importée en France depuis le Moyen-Orient et d’islamisation de l’Europe par l’immigration, afin d’élargir l’analyse des causes de la décadence de notre société française, l’AGRIF, Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne, vous convie à une conférence de Bernard Antony, son Président, le

Samedi 2 décembre 2023 à 14 h 30 sur le thème :

« Franc-maçonnerie, franc-macronnerie, commentaires au discours de Macron au Grand-Orient »

Cette conférence, ouverte à tous, en entrée libre et gratuite, se déroulera dans un nouveau lieu, car nous serons accueillis dans les locaux de l’Association départementale des fils et filles de tués situés au rez-de-chaussée du 24 avenue saint Jean Baptiste à Nice, à côté de l’église du Vœu (arrêt « Cathédrale-Vieille ville » du tramway. Elle sera suivie d’un débat puis d’une séance de dédicaces par Bernard Antony de ses différents livres.

Venez nombreux et invitez les membres de votre famille et vos amis, car il est de plus en plus important de pouvoir nous réunir pour trouver les moyens d’arrêter la décadence de notre pays.

L’AGRIF, qui s’est opposée depuis sa création à l’idéologie islamo-gauchiste, qui a combattu Houria Bouteldja et ses « Indigènes de la République » et qui défend les Chrétiens et les Français victimes de racisme, a énormément besoin de votre soutien matériel pour continuer à mener ses combats, en l’absence de subventions, car elle n’a pas d’autre source de financement que les cotisations de ses adhérents.

Merci donc de renouveler votre adhésion pour 2023, puis pour 2024, ou d’adhérer à l’AGRIF.

Dans l’attente de vous retrouver nombreux, bien cordialement.

Le délégué départemental                                                                     Jacques LARMANDE

NOM : ………………………………..                                 PRENOM : …………………………….

ADRESSE : …………………………………………………………………..   TEL : ……………………………..

Aurait besoin d’un véhicule ami pour se rendre à la conférence.

Désire adhérer à l’AGRIF (adhésion simple 15€ - soutien 50€ - bienfaiteur 100€ ou plus) et joins un chèque à l’ordre de l‘AGRIF à envoyer directement à Paris. Pour l’abonnement (non déductible) à La Griffe, ajouter 10€ à l’adhésion. Reçu fiscal à partir de 15 € d’adhésion, sur demande.

Renseignements au : 06 10 72 50 93.

AGRIF

70 boulevard Saint Germain  75005 PARIS

Tel : 01 40 46 96 31

contact@lagrif.fr

 

  

 

lundi 27 novembre 2023

Cette Borne-là est d’une indécence sans retenue : sa démission s’impose, et celle de quelques autres aussi !

On croit rêver ! Une fois de plus (la précédente c’était à l’occasion de l’atroce assassinat de Lola), Élisabeth Borne, sans la moindre vergogne, a osé appeler à de la « décence et de la retenue » ceux qui exprimaient leur indignation plus que légitime après l’assassinat à Crépol (Drôme) du jeune joueur de rugby, Thomas, et aussi, il faut le rappeler, les poignardages de dix-sept autres jeunes gens du village dont deux grièvement blessés.

L’indignation montait surtout, d’heure en heure, jour après jour, devant le silence prolongé des autorités préfectorales, judiciaires et ministérielles et aussi devant certaines abominables dissimulations politico-médiatiques de ce qui allait se dévoiler comme la réalité d’une sanglante nuit d’horreur, perpétrée par un véritable commando de racistes maghrébins, mobilisés ainsi que certains le hurlaient : « On est là pour planter des Blancs ». C’était là le début de ce que d’indécents commentaires ont persisté par trop durablement à désigner, les uns comme « une bagarre », les autres comme « une rixe » qui aurait mal tourné.

Si ce n’était que Salera Bernarbia et Thomas Zimmerman, deux journalistes honnêtes du quotidien régional « Le Dauphiné Libéré », ont, « un jour après le drame », recueilli les témoignages des amis de Thomas et des autres victimes. L’article fut ainsi titré : « Leur récit de cette nuit d’horreur : « On a vécu ça comme un attentat ! » Dès lors, la scandaleuse hypothèse à évidente visée de désinformation de la bagarre qui aurait mal tourné ne fut plus tenable. Et d’autant moins que la police, faisant son travail, mit la main près de Toulouse sur les criminels qui, eux, s’étaient empressés de vouloir retourner « chez eux », via l’Espagne. Et, désormais nul ne pouvait alors s’aviser de nier que « chez eux », c’était au Maghreb, même s’ils étaient, selon l’expression coutumière, des « Français de papiers », des Français de nationalité purement administrative, comme depuis des années et des années il y en a, hélas, de plus en plus.

« Pas de récupération », « pas d’amalgame » professe la sentencieuse moralisatrice Élisabeth Borne. Bien sûr elle-même, et tous ses pareils idéologiquement, auraient préféré que la vérité n’éclate pas.

Mais, le monde du rugby, qui n’est pas rien dans ce qui demeure en France de pays libre, ne l’entendait pas de leur oreille si fermée aux drames de France livrée à la racaille. Alors, dans les stades les foules ont non seulement observé la minute de recueillement à la mémoire de Thomas mais ont virilement scandé : « Vérité, justice pour Thomas ». Et surtout, dans ce monde de notre pays véritable, de notre pays réel, dans cette France qui est, Dieu merci, de moins en moins soumise aux collabos du racisme antiblanc de la pseudo France insoumise, gronde l’orage du temps de la colère.

Naturellement, l’AGRIF, dont je ne me repens pas de l’avoir fait éclore il y a bientôt 40 ans, est plus que jamais sur son créneau, celui à partir duquel elle combat notamment, sans relâche en l’occurrence depuis 2007, la principale agitatrice de ce racisme antiblanc, l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja(1), Française de papier et Algéro-barbaresque, prosélyte de Nique la France.

 

(1) Qui, non seulement ne se sent pas française, mais ne peut pas sentir les Français en particulier et ceux qu’elle appelle « les Blancs » en général.

Les libres propos d'Alain Sanders

 

Ménager du Hamas, le froufroutant Premier ministre « irlandais » est la honte de l'Irlande

Relatant récemment les manifestations de Dublin en réponse à l'attaque au couteau contre des femmes et des enfants par un surineur d'origine algérienne, nous évoquions le Premier ministre « irlandais » Leo Varadkar. Pour lui, la résistance du peuple irlandais (dont il ne sait rien) face à l'invasion migratoire relève de « hooligans d'extrême droite ».

Il vient de s'illustrer (si on peut dire) une fois de plus en commentant sur X (l'ex-Twitter) la « libération » de la petite Emily Hand, une gamine irlando-israélienne de 9 ans, otage des terroristes du Hamas depuis 50 jours : « Une enfant innocente qui était perdue a été retrouvée ». On peut difficilement faire plus dégueulasse... Innocente cette enfant ? Bien sûr. Mais perdue ? Perdue comme qui ? Comme le Petit Poucet et ses frères dans la forêt ?

Née d'un père irlandais de Dun Laoghaire à Dublin et d'une mère israélienne, Emily, qui a perdu sa maman (morte d'un cancer il y a quelques mois), avait été enlevée le 7 octobre dans l'attaque du kibboutz de Beeri où elle séjournait chez une camarade de son âge. Elle avait d'abord figuré sur la liste des défunts avant d’être signalée en vie et retenue par le Hamas dans Gaza. Elle n'était donc pas « perdue » comme ose l'écrire Leo Varadkar.

Le 25 novembre, Emily est revenue de l'enfer avec douze autres otages lors de la seconde phase des échanges fixés par une trêve de quatre jours (une poignée d'innocents contre des dizaines de terroristes palestiniens, mais la vie de ces innocents est à ce prix). Qui n'a vu le sourire d'Emily et les larmes de son père qui la serre dans ses bras ne saurait avoir une idée vraie de ce que peut être l'amour père-fille (et sublimé là par de tragiques circonstances et une sorte de miracle : redisons-le, Emily revient de l'enfer).

Dans un message adressé à Varadkar, Eli Cohen, le ministre israélien des Affaires étrangères, qui a par ailleurs convoqué l'ambassadeur irlandais à Tel-Aviv pour lui demander des comptes, écrit : « Il semble que vous ayez perdu votre sens moral et que vous avez besoin d'un rappel à la réalité ».

Même réaction du ministre du cabinet de guerre, Benny Ganz : « Emily n'a jamais été perdue, elle a été brutalement kidnappée et prise en otage par les terroristes du Hamas ». Et encore Elyon Levy, porte-parole du gouvernement israélien (qui a souvent épinglé la passivité – pour ne pas dire plus – du gouvernement Varadkar à l'égard des otages) : « Perdue, c'est ainsi que vous évoqueriez une petite fille qui s'est égarée pendant une promenade dans les bois. Ce n'est pas ainsi qu'il faut parler d'une fillette brutalement enlevée par des escadrons de la mort qui ont massacré de manière atroce les voisins de l'enfant ».

Riposte aussi du groupe britannique North West Friends of Israel : « Emily Hand a été enlevée par des terroristes qui ont assassiné un grand nombre de ses amis et de ses voisins. Elle a été relâchée non pas « grâce à vos prières », mais en raison de la pression militaire que l'armée israélienne exerce sur le Hamas, cette même pression que vous rejetez de manière si forte ».

 Le ministre irlandais des Affaires étrangères a essayé d'amender le tweet honteux de l'exotique Varadkar : « Le peuple irlandais a été touché par l'histoire d'Emily, par son innocence, par la dignité tranquille et la détermination de son père ».

Le mal est pourtant fait. A la dignité et à la détermination de Tom Hand a répondu l'indignité et l'attitude honteuse d'un Premier ministre « irlandais » qui est une honte pour l’Irlande.
Alain Sanders