À nos lecteurs et amis,
Paris, me disent tous mes amis qui ont le courage d’y demeurer par les temps qui courent, est devenue une infernale macronade olympique.
On ne peut plus y circuler ni normalement ni même anormalement.
Je n’ai donc pas cherché à rejoindre ces temps-ci notre capitale, d’autant que dès ce vendredi je me rendrai à Rome et à Subiaco pour l‘université d’été de l’AGRIF et du Centre Charlier. Je ne compte donc pas, sauf nécessité impérative, m’exprimer sur ce blog avant le 4 août.
En revanche, si Alain Sanders en éprouve la nécessité, il y est chez lui.