Pierre-Alain Cottineau, militant LFI, chantre LGBT+, à la tête d'un réseau pédocrimel barbare d'une incroyable ampleur
Courant février, les policiers de l'Ofmin (Office des mineurs) mettaient au jour un réseau pédocriminel impliquant des viols et des actes de torture sur de très jeunes enfants (dont un bébé de moins de six mois...).
A sa tête, Pierre-Alain Cottineau. Agé de 32 ans. En 2023, il avait obtenu sans problème l'agrément du Centre départemental Enfances-Familles (CDEF) de Loire-Atlantique pour être assistant familial et héberger chez lui des enfants.
Il faut dire que Pierre-Alain Cottineau a un profil de militant gauchiste exemplaire (si on peut dire). Un profil, qui, compte tenu de ce qu'est devenu Nantes, faisait de lui une sorte d'intouchable. Jugez-en plutôt. Figure des milieux associatifs nantais (ce qui est déjà un programme en soi...), il était président de l'association Esprit Arc-en-Ciel (tout un poème, là encore...). A ce titre, il était en pointe « dans la défense et les droits » de la communauté LGBTQ+. Il avait ainsi organisé la première Gay Pride du pays d'Ancenis (La Rochejaquelein, reviens, ils sont devenus fous!). Pour faire bonne mesure, il s'était présenté aux élections départementales de 2021. Sous l'étiquette LFI.
Parmi les gamins qu'on lui avait confiés, une fillette handicapée qui bénéficiait d'un lit médical sophistiqué compte tenu de son lourd handicap. C'est par ce biais que les limiers de l'Ofmin ont répéré le pédocriminel : il avait diffusé sur ses réseaux une vidéo mettant en scène les viols et les sévices (difficilement descriptibles tant ils dépassent ce qu'on peut supporter) qu'il faisait subir à cette enfant.
En septembre dernier, il était mis en examen pour viols avec actes de torture et de barbarie. Et placé en détention provisoire.
Fin de ces abominations ? Non. Poussant leurs investigations, les policiers ont découvert des « rendez-vous de l'horreur » entre pédocriminels. Des rencontres organisées (chez lui et dans des lieux dédicacés) par le militant gauchiste. Ce réseau, composé d'une dizaine de personnes au moins, s'est mis en place au fil d'échanges sur le Darknet et sur des messageries cryptées. La plus jeune des victimes a moins de 6 mois. Ayant subi des atrocités répétées (telles qu'on ne saurait les décrire ici redisons-le), nombre de ces petits enfants avaient été placés sous soumission chimique par leurs bourreaux.
A Oudon (Loire-Atlantique), gros bourg de 4000 habitants où vivait le monstre (et où personne n'avait rien vu, rien soupçonné, paraît-il...), une partie de la population, encore que ces gens-là soient plutôt taiseux, est sous le choc. Je n'ai guère vu de réactions du député de la circonsciption, Jean-Claude Raux, élu avec l'appui et les voix de la Nupes. Côté LFI, on explique que Cottineau a été radié des listes des militants locaux.
Côté presse mainstream, on reste plutôt discret malgré la nature exceptionnelle de cette barbarie sans nom. Va savoir pourquoi...
Imaginez un instant que ce réseau pédocriminel ait eu à sa tête une personne membre d'un quelconque autre parti que LFI... On aurait droit tous les jours à de pleines pages dans les journaux, à des « révélations » de Mediapart, à des dossiers spéciaux sur les chaînes du service public. Là, ça passe crème. Ou presque. Les hyènes ne se mangent pas entre elles, dit-on...
Alain Sanders
