Aux USA, le wokisme dans les poubelles de l’Histoire : la preuve (notamment) par Disney et Google
Nous avons déjà eu l’occasion de dire, ici même et à plusieurs reprises, que l’arrivée d’une nouvelle équipe politique – et pas des chochottes en l’occurrence – aux Etats-Unis a provoqué la déroute du wokisme dans quasiment tous les secteurs de la société (qui, du coup, respire plus librement).
Un de ces secteurs me tient plus particulièrement à cœur parce que je suis un inconditionnel de Walt Disney (de l’homme et son œuvre) : celui de Disney. Le géant américain de l’entertainment vient ainsi de mettre fin au programme racialo-wokiste « Diversité, Equité et Inclusion » (DEI) qui, depuis des années, au prétexte d’un progressisme mortifère (pardon pour la redondance), trahissait ignominieusement l’œuvre du grand Walt (que l’on classerait très à droite aujourd’hui).
Disney a mis aussi fin au programme Reimagine Tomorrow (« Réinventons demain »). Lancé en 2021, il était destiné « à promouvoir des talents sous-représentés et à diversifier les récits portés à l’écran ». A savoir la multiplication ad nauseam de figures LGBTQ+ et de héros « issus des minorités », le détournement d’histoires de notre héritage occidental systématiquement revisitées « pour renforcer (sic) une société plus inclusive ».
Quelques exemples récents : La Petite Sirène (2023) où l’héroïne scandinave de Hans-Christian Andersen était interprétée par une actrice noire ; Buzz l’Eclair (2022) qui mettait en scène un couple lesbien ; Les Eternels avec un super-héros gay ; etc. Tous films qui – et ça c’est rassurant – ont été de lourds échecs commerciaux. Le public a boycotté ces productions. Ce manque à gagner (plus le trumpisme en ordre de marche) a fini de ramener à la raison des capitalistes égarés…
Un responsable de Disney reconnaît des erreurs d’appréciation (en fait un aveuglement idéologique) : « Nous pensions ouvrir la voie vers un cinéma plus universel (sic), mais nous avons peut-être voulu forcer le changement (tu l’as dit, bouffi…). Le public n’a pas adhéré aussi naturellement que nous l’espérions ». Vive le public ! Vive les rebelles ! Vive ceux qui résistent au racisme anti-Blancs !
Sentant le vent tourner, d’autres géants ramènent les voiles. Comme Meta, McDonald’s, Max, MTV, HBO, NBC, ABC et, notoirement Google. En ce qui concerne Google, les marqueurs de progressisme qui nous faisaient pousser des bouffigues (genre : « Le mois des fiertés homosexuelles », « Le mois de l’Histoire noire », « Le mois du peuple indigène ») appartiennent désormais aux poubelles de l’Histoire (1).
C’est une révolution : après les manifs subversives Black Lives Matter, Google avait augmenté ses effectifs de plus de 30% de personnes issus de minorités ethniques (en grosse majorité des Noirs) et des communautés homosexuelles (et de tous les avatars afférents). Le reste du personnel – c’est-à-dire les Blancs – devait obligatoirement, sous peine d’exclusion, suivre des formations « Diversité, Equité et Inclusion ». En 2017 James Damore, un ingénieur de Google, avait dénoncé ces dingueries. Il avait été viré de l’entreprise « pour blasphème envers la diversité ».
Il a bien le droit de rigoler un peu aujourd’hui. Plus question de stigmatiser, au nom de la discrimination dite « positive » (alors qu’elle est la plus négative des discriminations), les hommes blancs hétéros. Retour à la méritocratie et fin d’un système de passe-droit en fonction de la race et du genre. Aux Etats-Unis au moins. Car en France, avec Macron, ce funambule de la sémantique progressiste, du transformisme douteux et de l’inclusivité crapoteuse, on n’est hélas pas sorti de l’auberge.
Dans moins de dix ans (souhaitons que ça traîne un peu moins pour une fois) la salutaire réaction américaine débarquera chez nous et fera litière du wokisme et des desservants de cette maladie mentale.
En attendant, faites comme moi (même si ce n’est pas toujours facile) : refusez de donner un seul centime aux marques (et d’abord à celles qui font ces pubs racialistes que nous dénoncions récemment sur ce blog) , aux spectacles, aux journaux, aux télés, aux radios, aux magasins, aux grandes surfaces, aux librairies, aux municipalités, qui participent de près ou de loin aux dévoiements wokistes. A notre mesure, aidons à activer la manœuvre !
Alain Sanders
(1) Google a donné 1 million de dollars pour l’investiture de Donald Trump (soit trois plus que pour celle de Joe Biden)…