Actualité française : la fin d’un monde
La France macronarde, simultanément « mexicanisée », islamisée, méprisée : il n’est que de parcourir cinq minutes par jour la très significative revue de presse « francoisdesouche » (fdesouche.com), spécialisée dans le suivi des délits et des crimes qui se multiplient quotidiennement dans notre société pour se faire une idée de la décomposition « insécuritaire » qui gangrène notre pays.
Ayant longtemps travaillé et œuvré politiquement à Castres dans le Tarn et résidant toujours à proximité, je suis particulièrement attentif à la prolifération des actes de barbarie frappant aussi cette bonne ville.
Le dernier fait criminel rapporté s’est déroulé ce dernier 1° novembre, jour de Toussaint pour les chrétiens. Tard dans la nuit, à la sortie d’une discothèque, une vingtaine de voyous armés de couteaux ont agressé un jeune homme, Léo, ne cachant pas pour certains leur intention « d’égorger un Français ». Mais madame la procureure de la République de Castres a indiqué qu’il ne s’agissait pas d’un acte raciste. Heureusement !
Quoi qu’il en soit, l’AGRIF suivra attentivement l’évolution de cette affaire.
Ni Harris ni Trump !
Si j’étais en ce moment un américain des États-Unis, c’est sans l’ombre d’un doute que demain mardi, fin de période électorale, je choisirais de ne pas choisir. Je ne pourrais en effet voter pour une Kamala Harris fanatique adepte de la liberté totale pour les femmes de pouvoir priver les enfants dans leur sein de leur droit fondamental de naître et de vivre.
Pas davantage je ne serais tenté de voter pour un Donald Trump. Je pourrais passer à la rigueur sur ses affligeantes séquences d’obscène vulgarité si elles étaient compensées par une réelle argumentation en faveur du bien commun mondial. Mais je ne voudrais pas prendre le risque de permettre si peu que ce soit, avec mon seul bulletin, de participer à l’éclosion d’un nouvel ordre mondial poutino-trumpiste.
Bref, si j’étais américain, demain je m’abstiendrais.
Si, comme j’en suis convaincu, c’est Trump qui va être élu, je ne pense donc pas que mon abstention relèverait alors de la politique du pire. Mais, comme je ne suis pas américain, je suis encore une fois bien sûr que le pire ne passera pas par moi. Puisse Trump ne pas faire pour la plus grande joie de Poutine la pire des politiques pour l’Ukraine.
L’injure macronienne au Maroc
On pouvait pour une fois approuver un acte macronien de politique étrangère, à savoir le voyage au Maroc de notre chef de l’État.
Hélas, le fait d’amener avec lui le pitoyable islamo-dingo Yacine Bellatar a été perçue par l’immense majorité des Marocains fidèles à leur roi comme une marque d’irrespect, ce que c’était en effet, mais comment ne pas s’attendre de la part d’un Macron à pareille grossièreté ? Ce sont donc les Algériens qui se sont réjouis de la chose, sans compter que simultanément le sieur Macron trouvait une nouvelle fois encore le moyen de cracher sur l’œuvre de la France en Algérie.