mercredi 8 mai 2024

Macron, « l’allumé », et le dément Poutine

 

Macron, « l’allumé », et le dément Poutine

Macron, ça ne tourne vraiment pas rond !

Après avoir émis l’éventualité d’envoi en Ukraine de troupes au sol de notre armée contre celles de Poutine au cas où celles-ci menaceraient d’enfoncer le front ukrainien, voilà qu’Emmanuel Macron n’a rien trouvé de mieux ce dernier mardi que de donner à notre ambassadeur à Moscou, Pierre Lévy, l’instruction d’assister au Kremlin à l’investiture du dictateur russe !

Dont, rappelons-le, la France, non sans raison d’ailleurs, n’a pas reconnu l’élection !

La majorité des homologues européens de notre ambassadeur (dont le représentant de Bruxelles), eux, avaient reçu l’instruction logique de décliner l’invitation du Kremlin.

Si bien que, outre notre Pierre Lévy, il n’y avait pour l’Europe, que cinq ambassadeurs à être présents : ceux de Malte, de la Hongrie, de la Slovaquie, de la Grèce et de Chypre. Ce qui se comprenait, ces pays ayant les rapports que l’on sait avec la Russie poutinienne.

Mais pour ce qui était des États appartenant à l’UE, ils furent pour le moins stupéfaits de la décision macronarde, totalement incohérente par rapport à la ligne de l’envoi éventuel de troupes au sol.

Quand on pèse aussi certaines formes de mœurs élyséennes de Macronéron (fête de la musique avec Brigitte et les rappeurs), familiarités grotesques avec les chefs d’État invités, tel Xi Jinping, on ne peut que conclure que notre président de la République est tout simplement un dangereux « allumé ».

Poutine, lui, a inauguré son cinquième mandat présidentiel - nullement le dernier si la Providence lui prête vie – par un discours en parfaite continuité avec ses menaces provocatrices et ses délires nucléaires.