lundi 20 novembre 2023

Nos principales positions politiques


I.                  Pour la vie, contre la culture de mort

La constitutionnalisation du droit à l’avortement voulue par Macron et soutenue par la plupart des responsables des partis politiques, sera une chose abominable, au-delà même de l’abomination de l’avortement.

Ce sera une sorte de privation chaque année du droit de naître pour quelque deux cent mille enfants dans le sein de leur mère.

Notons à ce jour l’heureuse exception de Marion Maréchal-Le Pen. En aucun cas nous ne voterons aux élections présidentielles pour des candidats assumant cette radicale inversion des valeurs. De même ne voterons-nous pas aux élections européennes pour des listes dirigées par des partisans de la liberté d’infliger la peine de mort à des bébés dans le sein de leur mère en attente de naître.

II.              Liberté de l’école

Nous défendons la liberté fondamentale pour les parents de choisir, voire de créer, les écoles et les modes d’enseignement pour leurs enfants qui leur paraissent les meilleurs. Dès lors qu’y sont respectées les exigences de la morale naturelle, du bien commun et les valeurs de notre civilisation judéo-chrétienne.

Nous prônons la mise en œuvre par le gouvernement de la réforme d’égalité sociale dite du « chèque scolaire », permettant un égal financement de la scolarité pour tous les enfants.

III.           Contre le totalitarisme islamique et l’islamisme terroriste. Pour la paix civile et la sécurité intérieure et extérieure des Français

L’extension dans la société française, au long des trois-quarts de siècle écoulés, d’un peuplement d’immigrés d’identité islamique, issu de nombreux pays d’Afrique et d’Asie, entraîne chaque année un peu plus non seulement des difficultés d’intégration et d’assimilation mais n’est pas sans lien avec la progression des phénomènes d’insécurité, et plus encore avec des crimes et massacres terroristes principalement perpétrés par des islamistes fanatiques.

De par le contenu de ses livres fondamentaux (Coran et Hadiths), par ses modèles de société façonnés par la charia et par l’exemple de son prophète Mahomet, l’islam constitue une sorte de perfection totalitaire.

On n’y distingue pas les ordres du politique et du religieux, les domaines du spirituel et du temporel. Mahomet, son « annonciateur », son « messager », n’a jamais dit « Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu ».   

Et d’ailleurs Mahomet, messager d’Allah, est simultanément chef de guerre, chef politique, chef religieux et modèle de vie en tous domaines, et donc créateur de la charia, la loi qui régit tout et tout le monde. Son enseignement n’a pas été dans la continuité du Décalogue.

Il n’a jamais prescrit non plus « Aimez-vous les uns les autres ! ». Et pour lui, l’abomination des abominations, le seul péché qu’Allah ne pardonne pas, c’est celui des Chrétiens, ces « associateurs » pour lesquels Dieu est Trinité (Le Père, le Fils et le Saint Esprit).

La paix en France, la sécurité des Français impliquent d’abord que les terroristes islamistes soient mis hors d’état de nuire. S’ils sont de nationalité étrangère, et condamnés pour leurs crimes, il faut qu’ils soient immédiatement renvoyés dans leur pays d’origine s’ils sortent de prison.

Dans la conjoncture actuelle du monde, la France doit impérativement se doter de moyens de sécurité intérieure et extérieure à la hauteur des menaces terroristes qui pèsent sur notre peuple.

Toute une politique de reconstruction des forces de défense nationale qui ont été irresponsablement dissoutes par les derniers gouvernements successifs s’impose. L’effort budgétaire doit être proportionné.

IV.            Pour un soutien sans faille à la lutte du peuple ukrainien pour sa survie et une solidarité active avec la résistance nationale russe et des autres peuples colonisés face aux répressions tchékistes du régime poutinien

N’envisageant pas du tout une durable résistance ukrainienne à l’invasion de son armée le 24 février 2022, et encore moins un important soutien occidental à la nation envahie, Poutine, pur produit du tchékisme kagébiste, s’est totalement trompé sur le devenir de sa pseudo « opération militaire spéciale » que les Russes ne devaient pas appeler « guerre » sans risquer jusqu’à 15 ans d’incarcération.

Or son agression totalement injustifiée a eu pour effet hétérotélique de réanimer l’OTAN que M. Macron quelque temps auparavant disait avec mépris « en état de mort cérébrale ».

Et d’entraîner l’adhésion de la Finlande et, à terme, celle de la Suède, pour l’instant retardée par la Turquie.

De déclencher pour l’Ukraine un soutien actif de l’Union Européenne par ailleurs si funeste, selon nous, sur bien des plans.      

Et surtout de déclencher une stupéfiante volonté ukrainienne de résistance qui en sera bientôt (février 2024) à sa troisième année de guerre face à une Russie pourtant trente fois plus vaste et cinq fois plus peuplée.

Dieu seul sait si ce sera, comme il faut l’espérer, la dernière guerre de Poutine et une victoire pour l’Ukraine, qui a déjà payé le prix d’immenses sacrifices face à la rage de ce dernier de perpétrer si nécessaire, après déjà tant de massacres, de Boutcha à Marioupol, un nouveau génocide.

La Russie poutinienne a déjà conquis sur la Géorgie, en 2008, les territoires de l’Ossétie du Sud et de l’Abkhazie. Elle s’est emparée de la Crimée en février 2014. Elle a en avril 2014 occupé le Donbass à la population ukrainienne ayant certes subi une épuration ethnique !

Mais une des surprises du conflit de 2022 n’a-t-elle pas été que des populations russophiles du nord et de l’est du pays, censées bien accueillir la soldatesque russe (selon une conformiste opinion poutinophile) n’en ont pas voulu et ont contre-attaqué victorieusement.

Et ne parlons pas des guerres extérieures à l’Europe, en Syrie et en Afrique où les repris de justice de Wagner n’ont pas combattu que des terroristes islamistes mais ont rivalisé de sauvagerie avec « Daesh ».

Mais approuver Poutine, c’est non seulement approuver sa politique imprégnée d’idéologie eurasiste de restauration du culte de Staline que marquent les inaugurations des statues de ce dernier ou encore de celles du satanique Dzerjinski, le créateur de la Tchéka, mais c’est surtout soutenir l’empire du mal qu’il a constitué principalement avec la Chine communiste de Xi, avec la Corée du nord de Kim Jong Un, avec l’Iran de Raïssi, et avec la Syrie de Bachar el Assad.

Et il ne faut pas oublier Cuba et le Venezuela. De plus, bien sûr, Poutine s’est engouffré dans le soutien au Hamas.

Exprimons enfin à propos de « l’axe du mal » constitué fondamentalement par la Russie, la Chine, la Corée du Nord et l’Iran, combien il nous semble faux de ranger ces pays dans l’appellation de « Sud global », concept de la dernière mode de la géopolitologie distinguée et que l’on ne trouve d’ailleurs pas dans « Le choc des civilisations » de Huntington. Ranger la Russie, le plus vaste des États du monde actuel, tout entier dans l’hémisphère nord, dans le « Sud global », c’est évidemment absurde.

Ce « Sud global » désignerait l’ensemble des pays partageant la même aversion de l’Occident avec la Russie poutinienne comme locomotive. Mais alors ne vaudrait-il pas mieux parler tout simplement « d’ensemble globalement anti-occidental » ?

Ce qui n’est d’ailleurs pas un principe d’unité !

Comment, par exemple, omettre le fait que l’Inde et la Chine, formidable bloc de populations (presque 40 % de l’humanité) sont non seulement deux empires concurrents mais demeurent en état de guerre endémique sur leur frontière himalayenne ?         

Quant à l’anti-occidentalisme, faut-il rappeler qu’il est principalement un anti-américanisme sévissant dans les territoires conquis par l’idéologie « woke » et « indigéniste » et d’abord … en Amérique, et aussi en Europe.

Mais le plus affligeant ne réside-t-il pas dans la poutinolâtrie qui s’est propagée, en France notamment, dans certaines mouvances de droite, que ce soient celles du néo-paganisme ou celles de catholiques traditionnels fascinés par le modèle césaro-papiste du duo de même formation kagébiste, le maître néo-stalinien du Kremlin et son  compère, le patriarche Kyrill ?

Certes, les ambassades de Russie ont su, tout au long des bientôt 23 années de pouvoir poutinien, très bien acheter en France et autres pays pléthore d’agents d’influence dans tous les domaines de la politique, des médias et des affaires.

C’est d’ailleurs là une compétence diplomatique particulièrement développée dans la continuité russo-soviétique, sans lésiner sur les moyens.

Mais tous les « gogos utiles » (1) de la collaboration avec Moscou ne sont pas forcément des corrompus. Certains croient sincèrement que le régime du duo césaro-papiste est un modèle de rigueur chrétienne en regard de la décomposition de notre pays.

Nonobstant d’abord le fait que nous ne les avons pas attendus pour combattre de toutes nos forces la décomposition sociale de la France menée par les diffuseurs de la culture de mort, au premier rang desquels les « frangins » du Grand Orient de France que le philo-maçonnique Macron est allé rencontrer pour discourir avec toute sa grandiloquence sur le 250° anniversaire de leur création…

Mais nos pauvres gogos utiles ne savent rien ou plutôt ne veulent rien savoir des réalités de la Russie où l’on divorce, où l’on avorte, encore plus que chez nous, et où le pouvoir est bien plus opaque. Et ce pouvoir condamne les héroïques défenseurs de la liberté, comme un Kara Murza, comme un Alexeï Navalny, à des dizaines d’années de goulag cependant que ses armées et ses milices formées de repris de justice massacrent les populations civiles d’Ukraine.

Enfin ils ne trouvent rien à redire aux alliances chaleureuses de cette Russie néo-stalinienne qu’ils admirent avec la Chine communiste, le plus gigantesque État totalitaire de l’histoire ; avec les régimes non moins infernaux de la Corée du nord et l’Iran islamiste, avec ses filiales terroristes du Hezbollah et du Hamas. En vérité, « l’horizon indépassable de l’esclavagisme moderne », comme disait du capitalisme le crapoteux Jean-Paul Sartre.

Décidément, la race des gogos utiles chers à Lénine persiste sous Poutine et particulièrement dans la plus stupide des extrêmes-droites collaborationnistes.  

 

(1) : « gogos utiles », expression fréquente de mépris utilisée par Lénine pour désigner les plus bêtes des compagnons de route du Parti dont il prescrivait d’user sans modération jusqu’à leur élimination finale.