vendredi 30 juin 2023

Suite à la regrettable mort tragique du jeune délinquant Nahel atteint par le coup de feu d’un policier, l’irresponsable réaction d’Emmanuel Macron et la criminelle violence émeutière et incendiaire de l’ultra-gauche et de l’islamo-gauchisme.

 

 

 Bernard Antony, président de l’AGRIF, directeur de la revue Reconquête, communique :

Âgé de 17 ans, et conduisant sans permis une puissante voiture louée ( ?), après avoir risqué de causer de graves accidents, le jeune Nahel, enfin stoppé par la police après un cinquième refus d’obtempérer, a tragiquement payé cela de sa vie. Un des deux policiers qui le poursuivait ayant fait usage de son arme alors que le véhicule redémarrait, Nahel a été mortellement atteint.

Cet homicide nécessitait bien sûr une qualification préalable et une enquête de l’IGPN pour déterminer, avant l’instruction judiciaire la responsabilité du policier et la légitimité ou non de l’usage de son arme.

Or, Emmanuel Macron, au mépris de la distinction des pouvoirs, émettait dans son médiocre français le propos suivant : « Nous avons un adolescent qui a été tué, c’est inexplicable, inexcusable. Rien ne justifie la mort d’un jeune ».

Hélas pour M. Macron, il n’est guère de jour en notre pays où ne soient perpétrés des viols et des assassinats, et trop souvent avec des raffinements de cruauté. Et il faudrait des pages entières pour rappeler ne serait-ce que les abominations des crimes survenus dans les six premiers mois de cette année.

Mais pour Emmanuel Macron, ces crimes pourtant souvent perpétrés atrocement seraient-ils explicables, excusables ?

Les meurtres de personnes âgées sans défense ou d’enfants ou de parents seraient-ils plus explicables, plus excusables que l'homicide de Nahel ?

Et comment expliquer que ce dernier ait déjà à ce jour entraîné sur tout le territoire des émeutes, des milliers de voitures brûlées, des écoles et des commissariats de police incendiés, et une mairie aussi et bien des services municipaux ? Et notre liste n’est pas exhaustive.

Que penser aussi de la profanation du monument aux morts, aux résistants et aux déportés, de Nanterre, « tagué », souillé ?

S’avise-t-on de se demander pourquoi, en comparaison, l’atroce décapitation du professeur Samuel Paty n’ait entraîné – et heureusement – aucune violence ?

L’AGRIF n’est pas non plus sans noter d’autres faits particuliers tels que la menace d’égorgement adressée à un journaliste, tels encore que la tentative de brûler un drapeau français, alors que sur toutes les chaînes d’info en continu on voyait flotter sur la « marche blanche » de Nanterre un drapeau algérien.

Et le ministère algérien des Affaires étrangères ne publiait-il pas le communiqué suivant : « Le gouvernement algérien a le souci constant d’être aux côtés des membres de sa communauté nationale au moment de l’adversité et de l’épreuve ».

Ce n’est pas en effet en Algérie que l’on réprimerait des manifestations comme en France…

L’AGRIF ne peut que partager le lucide diagnostic, ce jour, de l’essayiste Malika Sorel selon laquelle les événements actuels « nous montrent que la France est confrontée à un phénomène de décomposition identitaire, sur son territoire ».

« Cela, ajoute-t-elle, devrait alarmer au plus haut sommet de l’État ».

Le déconstructeur Macron n’est-il pas hélas un des premiers responsables de cette décomposition ?