mercredi 21 juin 2023

La France chaque jour un peu plus livrée au pire

 


Bernard Antony, président de l’AGRIF, directeur de la revue Reconquête, communique :

 Barbarie, décivilisation, déshumanisation, ensauvagement etc… les mots, quotidiennement, se bousculent pour qualifier les faits d’horreur, les lynchages, viols et assassinats qui, en effet, chaque jour, ponctuent l’actualité d’une cascade d’atrocités jamais interrompue. Il n’en fut tout de même pas toujours ainsi dans l’histoire de notre pays. Certains crimes émergent du lot par leur particulière perversité, néanmoins vite oubliés, vite effacés par de nouvelles abominations.

Il faut savoir gré à la revue de presse Fdesouche de les chroniquer quotidiennement et de tenir la mémoire de leur déroulement par la mention des faits principaux. Ces jours-ci se sont, entre autres, enchaînés :

-         L’attentat d’Annecy contre des enfants, avec heureusement l’héroïque intervention du jeune catholique Henri d’Anselme ;

-         La découverte à Lyon dans un « squat » de la Guillotière de la jeune Alicia, violée et assassinée ;

-         L’abjecte agression perpétrée à Bordeaux contre une septuagénaire et sa petite-fille par le multirécidiviste Brahima coupable de délits en tous genres ;

-         A Nice enfin, une fois de plus, une fois encore, la provocation islamo-raciste anticatholique dans une église perpétrée aux cris d’Allah Akbar.

Mais dans cet infernal contexte de nouvelles invasions barbares il y a en outre l’indécence de certains « journalistes » et de certains responsables politiques.

Ainsi, ces stupéfiants idéologues gauchistes de l’inversion morale absolue, finalement plus haineux contre l’admirable Henri, en raison de tout ce qu’il incarne de l’identité française et chrétienne, que contre le tueur d’enfants.

Ainsi, du radicalement forcené idéologique, Pierre Hurmic, le maire écologiste de Bordeaux. Ce dernier ne s’est pas ému de l’acte objectivement terroriste du forcené Brahima mais de la « récupération politique » (sic !), des « amalgames nauséabonds » (resic !) et des « réactions teintées de racisme » (reresic !) que l’attentat de ce fou furieux pouvait engendrer.

Rengaine véritablement abjecte à l’opposé de toute tentative de réflexion de remontée des effets aux causes mais motivée par la préférence idéologique systématique, vieille comme le gauchisme, pour l’assassin plutôt que pour les victimes.

Probablement mettra-t-on l’acte du gars Brahima au compte de la folie. Mais c’est aussi le maire Hurmic qu’il faudrait envoyer à l’asile.