lundi 7 juin 2021

« Osons l’optimisme » : le nouvel indécent slogan de Macro-Néron, le grand déconstructeur.

 

Sens : c’est dans cette petite ville que s’est déroulée dans la nuit de ce samedi la dernière en date des émeutes urbaines, parfaitement préparée selon la police avec saccages de magasins, pillages et destructions diverses.

C’est du moins cette émeute qui a retenu l’attention des medias. Car dans d’innombrables quartiers on ne saurait dire que les nuits sont calmes, livrées à tous les trafics, à toutes les perturbations sonores, à tous les rodéos imaginables.

Mais observons qu’il se produit à peu près dans notre pays une émeute chaque semaine méritant médiatisation.

C’est ainsi que s’est instaurée une sorte de reprise, moins pacifique, des spectacles d’arènes organisés jadis de ville en ville, dans les années d’avant 1968 par le gentil et dynamique animateur Guy Lux. C’était « Intervilles ».

C’était retransmis sur la télévision au temps où il n’y avait qu’une seule chaîne puis deux. Mais à la sortie de l’arène ou du stade, la fête continuait très tard dans les places et les rues avec l’animation des fanfares ou des « bandas » locales. Sans grands incidents sauf quelques phénomènes d’ébriété dus à la soif, ce que suffisaient à contrôler les polices municipales. Sans incendies de voitures, sans autre explosions que celles de pétards de magasins de farces et attrapes.

On pèse combien cela ne serait plus possible aujourd’hui.

Pourquoi ? Parce que la composition sociologique de notre société s’est modifiée et que les phénomènes de « grand remplacement » ont conduit aussi en bien des lieux à beaucoup « d’ensauvagement ».

Mais cela n’émeut pas M. Macron. Comme lui-même et son épouse Brigitte sont à l’abri d’à peu près toutes les agressions, alors le voilà qui ose proférer sa dernière trouvaille pour séduire les électeurs : « Osons l’optimisme ! ».

Que voilà un propos parfaitement néronien !

Néron, dit-on, chantait en contemplant le grand incendie de Rome. Macron, lui, ce Macro-Néron qui se croit sans doute le divin artiste de toutes les déconstructions qu’il appelle de ses vœux, appelle à « oser l’optimisme ». Et il est optimiste !

·       « Optimiste » parce qu’il a décisivement proclamé que « la culture française, ça n’existe pas ». Et il s’emploie en effet à soutenir tout ce qui la détruit.

·       « Optimiste » car ne rencontrant pas beaucoup de réactions, après ces propos, il a pu glorieusement annoncer qu’il entendait « déconstruire l’histoire de France ».

·       « Optimiste » parce qu’il avait déjà dans ce registre frétillé de contentement de lui-même en assénant l’abjecte énormité que la colonisation de l’Algérie avait été un « crime contre l’humanité ». Et qu’il va ainsi pouvoir un peu œuvrer comme le Général De Gaulle en organisant le largage de la Nouvelle-Calédonie.

·       « Optimiste » parce que le triomphe de la langue inclusive et le recul, sans cesse, de l’emploi de la langue française, vont parfaitement s’harmoniser dans la révolution culturelle intercontinentale. Ainsi, en effet, aura-t-il été le grand annonciateur d’une culture française qui n’existe pas puisqu’il l’aura détruite.

·       « Optimiste » parce que, avec la loi mensongèrement qualifiée de « bioéthique », c’est un nouveau pas dans la déconstruction de la famille et la culture de mort qu’il aura fait franchir.

Macro-Néron peut déjà s’enorgueillir du superbe bilan de ses quatre premières années à l’Elysée. N’a-t-il pas déjà réalisé une grande partie de son « imaginaire », ce mot qu’il chérit tant ? L’imaginaire d’une sublime multiple déconstruction : de la culture, de l’histoire, de l’identité française, de l’économie française, de la famille française selon la loi naturelle.

Magnifique réalisation génocidaire en vérité de ce Macro-Néron dans les yeux duquel brillent souvent comme les démoniaques flammes de toutes les « déconstructions ».

Mais combien de Français pèsent-ils que cet artiste en déconstruction est tout simplement un calamiteux destructeur ?