vendredi 4 décembre 2020

Giscard : sans sa politique exécrable, « le génocide français » n’aurait pas avancé aussi vite !


Ayant minutieusement travaillé sur l’extermination des Arméniens (et autres chrétiens d’Anatolie) par les Jeunes-Turcs, le grand magistrat juif polonais Raphaël Lemkin créa dans les années 1930 le néologisme de « génocide » et en donna la définition suivante : « Tout plan méthodiquement coordonné pour détruire la vie et la culture d’un peuple et menacer son unité biologique et spirituelle ».

Cela s’appliquait évidemment, peu après, à la politique d’anéantissement du peuple juif par les nazis ou encore à l’extermination de six millions d’Ukrainiens par les bolcheviques.

Là ne s’arrêtèrent pas les grandes hécatombes des totalitarismes contemporains anticipés par le modèle de génocide en Vendée, avant même la création du mot, perpétré par la République jacobine de Robespierre.  

Depuis lors sont apparues des formes plus dissimulées car plus sophistiquées de génocide, et notamment celles de ce que nous avons, dès novembre 1980, désigné comme « le génocide français » (revue Itinéraires) se déroulant selon trois visées convergentes :

-        Les Français de moins en moins nombreux en France

-        Des étrangers non assimilés de plus en plus nombreux en France

-        Destruction systématisée de l’identité culturelle de la France

L’histoire retiendra en effet que la politique de M. Giscard d’Estaing aura puissamment facilité en France non seulement l’œuvre de l’instinct de mort, de la « culture de mort » (expression de Jean-Paul II) mais aussi de démantèlement politique de la souveraineté et de la puissance de la France :

-        Par la « légalisation-banalisation » de l’avortement par la loi « Giscard-Chirac-Veil » de 1975

-        Par la loi de 1976 sur le « regroupement familial » facilitant le déferlement migratoire

-        Par les transferts en cascades de souveraineté française, au profit de la domination eurocratique bruxelloise de plus en plus totalitaire.

Il faut ajouter à cela que M. Giscard d’Estaing n’hésita pas, en déposant une gerbe au pied de son mausolée, à qualifier le dictateur chinois Mao-Tsé-Toung, sans doute un des plus grands exterminateurs de l’histoire, de « phare de la pensée universelle ».

Il porte encore l’immense responsabilité de l’accueil en France de l’ayatollah Khomeiny, de la facilitation de sa liberté de propagande islamo-révolutionnaire et de sa prise du pouvoir en Iran aux conséquences désastreuses pour le monde.

La trahison du Shah d’Iran, dont il aimait tant être un invité très choyé, a été non seulement déshonorante pour la France mais un acte majeur de soutien à l’avancée islamiste sur le monde.

De moindre importance mais bien affligeante fut aussi la manière dont il traita le naïf « empereur Bokassa », ancien officier très méritant de l’armée française…

On retiendra certes à l’actif de ce président sa décision d’envoyer notre magnifique Légion Étrangère sauter sur Kolwezi, sauvant ainsi la vie d’Européens et Africains menacés d’un atroce massacre général.  

Au total, Giscard d’Estaing n’aura pas été un défenseur du bien commun français mais hélas un responsable de l’avancée de la culture de mort génocidaire sur la France et de l’avancée islamiste sur le monde.