Ce matin, sur France-Inter, une énième émission, post propos macroniens, sur les « délits de faciès » qui entraîneraient de trop nombreux et abusifs contrôles policiers. Du racisme donc.
Certes, on peut comprendre l’irritation de braves gens, arabes ou noirs, qui seraient contrôlés en raison de leur apparence physique. Soit !
Mais cela dit, est-il vraiment possible pour la police de faire autrement ? Faudrait-il contrôler beaucoup plus de blancs ou de jaunes, sans utilité, pour la seule exigence d’une égalité statistique avec les contrôlés arabes ou noirs ?
Bien évidemment, certes, que la majorité des noirs ou des arabes ne sont pas des délinquants. Mais tout de même, comment la police peut-elle agir autrement eu égard à la réalité que l’immense majorité des terroristes sont des islamistes ?
Ne suffit-il pas de regarder les photos et les noms des tueurs du Bataclan, de Charlie-Hebdo, du supermarché Casher, de Nice, et de Toulouse, et de Carcassonne, et des égorgeurs et des décapiteurs ?
Il y a bien sûr des exceptions et des terroristes jihadistes peuvent être des « blancs ».
Quant aux délinquants et criminels des « territoires perdus de la République », violeurs, dealers, incendiaires de voitures, qu’y faire si, pour l’heure, le plus grand nombre appartient à des ethnies à forte composante islamique et s’il y a les passerelles que l’on sait entre la délinquance et l’islamisme ?
Je n’ai pas entendu ce matin évoquer la question de l’attitude des policiers à l’égard des « jaunes ». Il semblerait que le nombre d’interpellés pour délits de faciès y soit infime. Macron ne s’est pas avisé de faire ce constat.
En revanche, on sait combien les paisibles habitants originaires d’Extrême-Orient de certains quartiers doivent se prémunir des rezzous racistes de délinquants parmi les populations voisines appartenant à l’oumma.
La proportion d’individus de race jaune en prison est faible. Les cultures confucéennes ou bouddhistes seraient-elles moins inspiratrices de délinquance et de violence que d’autres ?
Aussi est-il notoire que les « brebis galeuses » parmi les policiers y trouveraient moins souvent matière à « délit de faciès ».
La vérité, c’est que l’obsessionnelle racialisation de la plupart des débats de société dans les medias est devenue insupportable.
Qu’ils nous fichent donc la paix, ces antiracistes pour lesquels la race n’existe pas mais qui nous la mettent à toutes les sauces. Triste idéologie rassie que la leur !