Au soir du 24 novembre, de l’an de grâce 2020, Macron, ce « micro-Néron » s’est à nouveau adonné hier à la jouissance de l’étalage sur les « chaînes » de son pouvoir minutieusement totalitaire sur les Français.
Tel le si paternel dictateur Nord-Coréen Kim Jong Un, il a longuement détaillé ses impératives décisions sur ce qui est bon pour les Français.
Dans leur intérêt bien sûr, il ne tolère toujours pas que dans leur ensemble ceux-ci puissent aller se promener là où ils veulent et aussi longtemps qu’ils le veulent. Mais sa bienveillance si généreuse fera, s’ils sont sages, qu’ils puissent bientôt sortir un peu plus loin et un peu plus longtemps.
En attendant, pour leur bien, il ne tolère paternellement pas, sans doute en raison des dangers qui les y guettent en ce moment, qu’ils puissent se laisser aller à l’imprudence de se promener sur d’immenses plages désertes ou dans d’angoissantes forêts profondes ou dans de vastes campagnes par trop menaçantes.
Ils pourraient en effet être agressés dans des embuscades épidémiques ou plus malencontreusement encore, transmettre leurs propres virus aux crabes ou aux crevettes, aux taupes ou aux sangliers.
Micro-Néron, dépassant le principe obsolète de la séparation de l’Eglise et de l’Etat s’est arrogé aussi la haute charge de pontifex maximus, décidant souverainement le mardi que ne soit célébré aucun culte devant plus de trente personnes dans les petites chapelles comme dans les vastes cathédrales. Mais pour être agréable à son si complaisant président des évêques de France, de plus en plus inquiet de la révolte qui gronde et de l’annonce de la grève du denier du culte, il fait annoncer ce jour qu’il révisera cela le jeudi. Car tel sera son bon plaisir.
Monseigneur de Reims s’en émeut respectueusement.
Sous les rideaux de fumée des invocations d’une République en marche, Emmanuel Macron, instaure ainsi peu à peu une capricieuse monarchie de Micro-Néron, batarde de Big-Brother et du père Ubu.