Pour les « indigénistes » et autres « décolonialistes »,
il n’est que temps d’en finir avec le masque de l’antiracisme !
Ira-t-on bientôt vers l’interdiction
des blanchisseries ?
Cette interrogation peut
certes paraître loufoque, saugrenue. Et pourtant, comme nous l’apprend le
talentueux chroniqueur du Figaro, Mathieu Bock-Côté, n’est-ce pas déjà la
grande firme « L’Oréal » qui a décidé d’effacer la référence au mot « blanc »
dans certains de ses produits ?
Jusqu’à présent, il est
vrai, à la direction de L’Oréal, certains voulaient plutôt s’employer à ce que
l’entreprise soit « blanchie » d’un passé trop sulfureux à leur goût.
(Voir sur cela l’historiographie des Schueller et des Dalle, et… de François
Mitterrand).
Mathieu Bock-Côté évoque
également qu’au New York Times le
grand quotidien américain de gauche, on s’est engagé « à désormais écrire
le mot « noir » avec une majuscule, mais à conserver la minuscule au
mot « blanc ».
Chaque jour nous apporte
ainsi un lot d’ébouriffantes nouvelles sur les derniers gags produits par la
névrose antiraciste des deux côtés de l’Atlantique. Et on peut craindre que les
deux exemples précités ne soient qu’annonciateurs d’une grosse fièvre de
blancophobie masochiste chez les grands capitalistes.
Car voilà que l’on
apprend encore que plus de 800 marques mondiales, dans le sillage d’associations
« antiracistes » américaines, menacent Facebook de boycott si « ce géant du web ne mettait pas en œuvre des actions plus vigoureuses contre « les
contenus haineux ».
Dans les medias qui
commentent cet ultimatum, on invoque les messages à caractère raciste,
antisémites, négationnistes ou anti-LGBT.
Qu’il y ait des
imbéciles pour écrire n’importe quoi sur les réseaux dits sociaux et même des
proclamations de haine racistes diverses, on le sait bien. Nous en recevons
nous aussi assez souvent dans le courriel de l’AGRIF, quelquefois injurieux,
quelquefois menaçants.
La haine antifrançaise,
la haine antichrétienne, la haine « antiblancs », la haine antijuive
s’y manifestent diversement selon les périodes.
Mais, étrangement, ceux
qui attendent de Facebook l’interdiction de « contenus haineux » n’évoquent
semble-t-il jamais certains racismes.
Faudrait-il d’ailleurs
selon les cas écrire racisme avec une majuscule ou avec une minuscule ? Ce
qui est inquiétant en cette affaire, c’est que certains peuvent avoir un sens
bien différent, bien subjectif de ce que l’on peut désigner par « contenu
haineux ».
Ainsi, dans le monde de
la « pub », « l’antiracisme » est-il encore le modèle
idéologique de référence.
Mais il ne l’est plus depuis belle lurette dans le monde de « l’indigénisme »,
du « décolonialisme », de l’idéologie du « radicalement
anti-blanc » initiée et propagée par Houria Bouteldja et son « sociologue »
(sic !) Saïd Bouamama, et toute sa bande de « Nique la France ».
Et relayé par Nick Conrad et son « pendez les blancs ! »,
et amplifié par « l’agit-prop » d’Assa Traoré. Désormais, pour cette
faune idéologique, l’antiracisme est désuet, inutile, encombrant.
Le temps est au racisme antiblanc, au grand jour.
Faut-il vraiment
considérer la phénoménologie de son avancée sous le terme à connotation plus
scientifique de « racialisme » ?
La dialectique « blanc-antiblanc »
fabriquée par l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja fait émerger un système de
manipulation sommaire, mais de pénétration efficace, fondée sur un double
racisme.
-
Le
premier, de haine des blancs, ces « sous-chiens » en effet. Et la
preuve en est qu’on peut s’amuser désormais à en promener certains spécimens, à
quatre pattes, tenus en laisse, effroyablement masochistes.
-
Le
second, de mépris par l’arabo-islamisme de ces noirs auxquels on fait avaler l’immense
mensonge historique dénoncé par les historiens Olivier Pétré-Grenouilleau, Pierre Vermeren et l’éminent chercheur
franco-sénégalais Tidiane N’Diaye (auteur de « Le génocide voilé », Gallimard) : celui d’une mémoire
hémiplégique, à vrai dire assassinée selon l’expression du regretté Jacques Heers, certes grand historien
aussi.
Argument massu,
irréfutable, asséné par Vermeren ce jeudi 2 juillet dans la page « débats »
du Figaro : « Présence de 70
millions d’habitants noirs descendants des esclaves aux Amériques ».
Mais « le
peuplement noir des pays issus des empires musulmans (Turquie, etc…) se limite
à 1 million de personnes au début du 21° siècle ».
Pour une traite négrière
arabo-musulmane pourtant plus importante, du 7° au 21° siècle, comment cela s’explique-t-il ?
La réponse tient en un mot : « castration ». Castration
systématique. Car les eunuques n’ont pas de descendants.
Houria Bouteldja et Assa
Traoré savent bien cela. Musulmanes, orgueilleuses, sûres d’elles,
dominatrices, on peut leur faire confiance, elles ne manifesteront aucune
repentance de l’esclavagisme pratiqué par leurs proches ancêtres barbaresques
ou soninkés.
Nous avons été les premiers,
depuis longtemps, à marteler avec l’AGRIF que « l’antiracisme était un
racisme en sens contraire ». La preuve en saute aux yeux chaque jour un
peu plus.
Désormais, il faut ajouter
à cela, le marteler encore plus, que la manipulation de l’histoire de l’esclavagisme
n’a d’autre but que d’imposer un nouvel ordre esclavagiste aux « blancs »,
« ces blancs qu’il faut bien nommer ;
moi, je les appelle des sous-chiens », disait Bouteldja.
Le temps n’est-il pas
venu pour eux de se mettre à genoux, ou de marcher à quatre pattes ?
Eh bien, justement. Non !