lundi 6 juillet 2020

« Il a servi, il faut le jeter ! »


Pour les « indigénistes » et autres « décolonialistes », il n’est que temps d’en finir avec le masque de l’antiracisme !

Ira-t-on bientôt vers l’interdiction des blanchisseries ?

Cette interrogation peut certes paraître loufoque, saugrenue. Et pourtant, comme nous l’apprend le talentueux chroniqueur du Figaro, Mathieu Bock-Côté, n’est-ce pas déjà la grande firme « L’Oréal » qui a décidé d’effacer la référence au mot « blanc » dans certains de ses produits ?

Jusqu’à présent, il est vrai, à la direction de L’Oréal, certains voulaient plutôt s’employer à ce que l’entreprise soit « blanchie » d’un passé trop sulfureux à leur goût. (Voir sur cela l’historiographie des Schueller et des Dalle, et… de François Mitterrand). 

Mathieu Bock-Côté évoque également qu’au New York Times le grand quotidien américain de gauche, on s’est engagé « à désormais écrire le mot « noir » avec une majuscule, mais à conserver la minuscule au mot « blanc ».

Chaque jour nous apporte ainsi un lot d’ébouriffantes nouvelles sur les derniers gags produits par la névrose antiraciste des deux côtés de l’Atlantique. Et on peut craindre que les deux exemples précités ne soient qu’annonciateurs d’une grosse fièvre de blancophobie masochiste chez les grands capitalistes.

Car voilà que l’on apprend encore que plus de 800 marques mondiales, dans le sillage d’associations « antiracistes » américaines, menacent Facebook de boycott si « ce géant du web ne mettait pas en œuvre des actions plus vigoureuses contre « les contenus haineux ».

Dans les medias qui commentent cet ultimatum, on invoque les messages à caractère raciste, antisémites, négationnistes ou anti-LGBT.

Qu’il y ait des imbéciles pour écrire n’importe quoi sur les réseaux dits sociaux et même des proclamations de haine racistes diverses, on le sait bien. Nous en recevons nous aussi assez souvent dans le courriel de l’AGRIF, quelquefois injurieux, quelquefois menaçants.

La haine antifrançaise, la haine antichrétienne, la haine « antiblancs », la haine antijuive s’y manifestent diversement selon les périodes.

Mais, étrangement, ceux qui attendent de Facebook l’interdiction de « contenus haineux » n’évoquent semble-t-il jamais certains racismes.

Faudrait-il d’ailleurs selon les cas écrire racisme avec une majuscule ou avec une minuscule ? Ce qui est inquiétant en cette affaire, c’est que certains peuvent avoir un sens bien différent, bien subjectif de ce que l’on peut désigner par « contenu haineux ». 

Ainsi, dans le monde de la « pub », « l’antiracisme » est-il encore le modèle idéologique de référence.

Mais il ne l’est plus depuis belle lurette dans le monde de « l’indigénisme », du « décolonialisme », de l’idéologie du « radicalement anti-blanc » initiée et propagée par Houria Bouteldja et son « sociologue » (sic !) Saïd Bouamama, et toute sa bande de « Nique la France ».

Et relayé par Nick Conrad et son « pendez les blancs ! », et amplifié par « l’agit-prop » d’Assa Traoré. Désormais, pour cette faune idéologique, l’antiracisme est désuet, inutile, encombrant.

Le temps est au racisme antiblanc, au grand jour.

Faut-il vraiment considérer la phénoménologie de son avancée sous le terme à connotation plus scientifique de « racialisme » ?

La dialectique « blanc-antiblanc » fabriquée par l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja fait émerger un système de manipulation sommaire, mais de pénétration efficace, fondée sur un double racisme. 

-        Le premier, de haine des blancs, ces « sous-chiens » en effet. Et la preuve en est qu’on peut s’amuser désormais à en promener certains spécimens, à quatre pattes, tenus en laisse, effroyablement masochistes.

-        Le second, de mépris par l’arabo-islamisme de ces noirs auxquels on fait avaler l’immense mensonge historique dénoncé par les historiens Olivier Pétré-Grenouilleau, Pierre Vermeren et l’éminent chercheur franco-sénégalais Tidiane N’Diaye (auteur de « Le génocide voilé », Gallimard) : celui d’une mémoire hémiplégique, à vrai dire assassinée selon l’expression du regretté Jacques Heers, certes grand historien aussi.

Argument massu, irréfutable, asséné par Vermeren ce jeudi 2 juillet dans la page « débats » du Figaro : « Présence de 70 millions d’habitants noirs descendants des esclaves aux Amériques ». 

Mais « le peuplement noir des pays issus des empires musulmans (Turquie, etc…) se limite à 1 million de personnes au début du 21° siècle ».

Pour une traite négrière arabo-musulmane pourtant plus importante, du 7° au 21° siècle, comment cela s’explique-t-il ? La réponse tient en un mot : « castration ». Castration systématique. Car les eunuques n’ont pas de descendants. 

Houria Bouteldja et Assa Traoré savent bien cela. Musulmanes, orgueilleuses, sûres d’elles, dominatrices, on peut leur faire confiance, elles ne manifesteront aucune repentance de l’esclavagisme pratiqué par leurs proches ancêtres barbaresques ou soninkés.

Nous avons été les premiers, depuis longtemps, à marteler avec l’AGRIF que « l’antiracisme était un racisme en sens contraire ». La preuve en saute aux yeux chaque jour un peu plus. 

Désormais, il faut ajouter à cela, le marteler encore plus, que la manipulation de l’histoire de l’esclavagisme n’a d’autre but que d’imposer un nouvel ordre esclavagiste aux « blancs », « ces blancs qu’il faut bien nommer ; moi, je les appelle des sous-chiens », disait Bouteldja.

Le temps n’est-il pas venu pour eux de se mettre à genoux, ou de marcher à quatre pattes ? 

Eh bien, justement. Non !