jeudi 11 juin 2020

Non à la fin de l’homme blanc !



Bernard Antony, président de l'Agrif communique


Un bombardement ininterrompu de terrorisme médiatique déclenché par le racisme en sens contraire qu’est « l’antiracisme » a pour effet de porter aujourd’hui au plus haut la culpabilisation du monde blanc.

Dès sa création au siècle dernier, l’Agrif dénonça les lignes de vertu d’un antiracisme univoque, frelaté, subversivement instrumentalisé, qui n’avait jamais considéré les racismes antifrançais et antichrétiens.

Elle mit enfin en évidence la progression de ce qu’elle désigna comme le « racisme antihumain » propagé par les nouveaux virus nihilistes et génocidaires du néo-totalitarisme d’un « meilleur des mondes » continuant les totalitarismes nazis et communistes.

Aujourd’hui, la loi des gangs de toutes couleurs fait chaque jour dans le monde des milliers de victimes; le racisme islamiste tue sans cesse sur tous les continents; le communisme continue en Chine et dans les autres pays sous sa dictature, de persécuter et de massacrer. Mais voilà d’une part que la mort sans doute très regrettable du voyou, lourd délinquant multirécidiviste Adama Traoré décédé il y a quatre ans, après une interpellation policière, est exploitée pour dénoncer du racisme dans la police et par delà le racisme qui serait un des traits de la société française. Au mépris de la réalité, au mépris de la vérité.

D’autre part, le très triste meurtre aux Etats-Unis, par un policier de Minneapolis du délinquant Georges Floyd est certes un acte nécessitant que justice soit rendue.

Mais l’entreprise de culpabilisation collective  de l’homme blanc est insupportable. Et insupportable l’avachissement mental qui pousse tous les collabos masochistes et aspirant à la dhimmitude, à mettre un genou à terre pour implorer toujours plus platement, un pardon pour des actes qu’ils n’ont pas commis.

Mais ceux-là ne sont que les politicards débiles et autres aplatis lobotomisés des faunes du boboland. Car, à force de cracher sur l’homme blanc, à force d’en prôner toutes les humiliations, les sadiques racistes de « l’antiracisme » peuvent finir par déclencher des réactions qu’il vaudrait mieux éviter pour la paix de l’humanité.

Comment les Français de couleur pourraient-il oublier que l’esclavagisme n’a pas été le monopole des européens ?

Que l’esclavage a été pratiqué dans toutes les sociétés antiques, et de fait, plus ou moins longtemps, dans presque tous les peuples, y compris le peuple juif, puisque, notamment, une grande proportion des négriers des grands ports français étaient des juifs.

Comment pourraient-ils ne pas savoir surtout que les trafiquants de la main d’œuvre africaine vendue aux négriers étaient d’abord les rois nègres  et que l’esclavage inter africain sévissait partout en Afrique avant le temps de la colonisation?

Comment pourraient-ils occulter le fait que l’esclavagisme arabo-musulman sévissant partout, en Afrique, en Europe, en Asie, et jusqu’à nos jours a été le plus massif, le plus durable, le plus impitoyable, et le plus atroce puisque ayant pour but la fourniture de harems ? 


Il est temps que les Français de toutes couleurs s’avisent de la perversité de l’antiracisme dont on les matraque sans cesse et s’aperçoivent que derrière cette idéologie, c’est bien un racisme en sens contraire qui les menace.