Ce qu’il
a dit sur le déconfinement ne mérite pas beaucoup de lignes sur ce blog.
Passons
sur son autosatistaction pour ce qu’il en fut de la gestion de la pandémie du
coronavirus.
Ce n’est
pas « demain la veille » que l’on aura une remise en cause sérieuse
de la perversion idéologique et financiariste du libéralisme mondialiste qui
nous a, entre autres dégâts, placé dans une telle dépendance de la production
médicamenteuse chinoise.
Et pour
ce qu’il en est de ce qu’il appelle « l’Europe », pas l’ombre d’une
esquisse de volonté de remise en cause du gros mammouth de l’eurocratie
totalitaire bruxelloise. L’Union Européenne est trop au service de l’impérialisme
idéologique LGBT pour qu’un Macron ose en critiquer l’inversion radicale des
valeurs déterminant sa politique.
Et d’ailleurs,
cette inversion est pour l’essentiel celle qu’il partage; comme on a pu le
constater par ces maintes photos très significatives qu’il a sciemment voulu
faire largement circuler, telles celles prises à l’Elysée un soir de la dite « fête
de la musique ».
Sur la
dialectique révolutionnaire racialiste de la société française en particulier,
ce n’est évidemment pas de lui que l’on pouvait attendre qu’il en vienne à
constater que, selon notre formule, aujourd’hui si répercutée, « l’antiracisme
est un racisme en sens contraire ».
Même l’inénarrable
Caroline Fourest, militante de la cause LGBT, qui voit avec effroi monter le
racisme antiblanc sous les oripaux de l’antiracisme, a repris notre expression.
Macron
n’a pu aller plus loin dans une analyse de ce phénomène qu’en renvoyant dos à
dos le « racisme » et le « communautarisme ».
Incapable,
et pour cause, de constater ou d’avouer que c’est dans ce qu’il appelle le « communautarisme »,
c'est-à-dire, le surgissement de minorités d’origines étrangères de plus en
plus nombreuses, de plus en plus structurées et dominatrices que se développe
toujours plus le racisme le plus agressif: celui de l’idéologie « décoloniale »
de la camarade islamo-gauchiste Houria Bouteldja.
Cette
dernière, que, l’Agrif la première a dénonçé et attaqué en justice, a idéologisé depuis des
années sous couvert de l’anti-racisme, un fanatique racisme « antiblanc ».
Ce
racisme n’est pas seulement une affaire de haine en raison de l’appartenance
raciale mais de haine en raison de l’appartenance assumée à la patrie
française, à la culture française. Houria Bouteldja professe encore plus de
haine contre des patriotes français jaunes ou noirs comme étant des « collabos »
des « blancs ».
Elle
entend d’ailleurs faire converger lutte des classes et lutte des races, avec
les collabos authentiques qui sont les siens, ces blancs de la haine d’eux-mêmes,
ces dhimmis consentants qui la suivent masochistement, mélenchoniennement, tels
des toutous, dans le racisme antiblanc.
Or
lorsque, à plusieurs reprises, Emmanuel Macron a parlé de la colonisation comme
d’un crime contre l’humanité c’est hélas non seulement une monstruosité
historique qu’il a proférée mais surtout une contre vérité criminelle. En effet
c’est ainsi que la France accueille massivement chaque année des populations,
et notamment des jeunes algériens à qui l’on apprend à détester le pays qui les
reçoit; puisque, un Macron lui-même leur raconte que la colonisation française
de leur pays a constitué un crime contre l’humanité.
Oui,
avec Macron comme avec son triste prédécesseur Hollande, c’est l’idéologie du
génocide français qui est au pouvoir.
Comment
mieux massacrer la France que d’apprendre à la haïr à ceux qui s’y installent ?
Sur
Radio-Courtoisie ce mercredi 17 juin de 18h à 21h:
l’émission de la Réplique
Retour enfin dans le studio de la radio !
Avec Cécile Montmirail et Jeanne Smits (nombre d’animateurs
limités à trois) mais aussi à téléphone avec Alain Sanders, Richard Haddad, Jérôme
Triomphe.
Nous évoquerons le retour à Dieu-à l’âge de 95 ans-
de notre grand ami du Liban, le père
Naoum Atallah, l’ancien supérieur général des lazaristes(frères de Saint
Vincent de Paul) pour tout le proche Orient.
Trente six ans d’amitié sans jamais une ombre !
Un homme jusqu’au bout, d’une foi lumineuse, d’une
charité rayonnante, débordant d’énergie intellectuelle, morale et physique.
Tout simplement un saint! Comme Dom Gérard, un de ces hommes de Dieu, d’une
immense foi, d’intelligence et de courage, qu’il m’a été donné de rencontrer,
en ce bas monde.
Nous parlerons bien sûr de notre cher Jean Raspail
avec son très grand ami Alain Sanders. Nous aurons été le matin même avec
Jérôme Triomphe à ses obsèques en l’Eglise Saint Roch à Paris. Jean fut jusqu’à
la fin, un ami fidèle de l’Agrif, présent lors de notre dernière journée à la
Mutualité.
Nous l’évoquerons bien sûr dans Reconquête.