Bernard
Antony, président de l’Agrif communique
Depuis
plusieurs jours, des bandes de barbares immigrés islamiques, s’affrontent
sauvagement à Dijon (France) pour des raisons de haines ethniques et de
contrôles de territoires pour la vente de la drogue.
D’un
côté des maghrébins, de l’autre des tchétchènes.
Voilà
que pour les séparer il faut maintenant faire appel à la gendarmerie mobile et
même au Raid !
Avec
bien sûr l’interdiction de toute brutalité et surtout…des clés d’étranglement.
Cependant,
des manifestants s’apprêtent encore à défiler dans les rues à l’appel d’ Assa
Traoré et de Houria Bouteldja les égéries de « l’antiracisme ».
L’islamo-gauchiste
Houria Bouteldja, grande idéologue du racisme « antiblanc », et de la
pensée « décoloniale » est une admiratrice fanatique du passé
antécolonial de l’Afrique du Nord, passé caractérisé par la domination de la
piraterie barbaresque et de l’esclavagisme arabo-musulman.
Quant à
Assa Traoré, nouvelle coqueluche de l’antiracisme et de l’antiesclavagisme médiatique,
on oublie généralement de rappeler que comme toute sa fratrie de délinquants
elle est fière d’être de la grande tribu sahélienne des Soninkés spécialisée jusqu’au début du XXème dans l’exploitation
des esclaves ou leur commerce.
Ainsi,
les « gogos utiles » de « l’antiracisme » obéissent-ils
comme des dhimmis consentants à deux orgueilleuses descendantes de proches
ancêtres esclavagistes. Elles n’en manifestent aucune repentance.
Ainsi,
chaque jour un peu plus éclate la vérité de l’expression que nous n’avons cessé
de rappeler avec l’Agrif « l’antiracisme est un racisme à sens
contraire !»
Et tant
mieux si d’autres désormais, telle que l’inénarrable militante LGBT, Caroline
Fourest, la reprennent à leur compte.