jeudi 26 mars 2020

Libre-Journal de la Réplique sur Radio-Courtoisie du 25 mars 2020

Script du début de l’émission de Bernard Antony, ce dernier mercredi, sur Radio-Courtoisie. Retransmission en différé, demain de 7 h 30 à 10 h 30.

Chers auditeurs de Radio-Courtoisie, au nom  de toute l’équipe du Libre-Journal de la Réplique que vous écouterez ce soir confinés, mais non, j’en suis sûr, sans combativité pour la plupart, bonjour, amitié française et chrétienté-solidarité. Et ma pensée d’abord pour ceux qui souffrent de ce sale petit coronavirus qui nous ramène à la réalité de notre fragilité d’humain et inflige une cinglante gifle à l’orgueil de l’homme moderne.

Notre pensée d’abord  et notre prière pour ceux qui ont succombé et succombent dans cette épidémie. Mais celle-ci, malgré sa constante médiatisation, n’est pas le tout de la vie de notre monde. Il y a le coronavirus  mais il y a toujours la peste de l’islamisme terroriste tant sunnite que chiite, le coranovirus !

A ce propos, en Iran, les mollahs jihadistes de la ville sainte de Qom avaient cru bon d’appeler leurs fanatiques partisans à se rassembler sans souci de la promiscuité faisant confiance au « corano-antivirus ». D’où l’épidémie énorme, aux chiffres cachés par le régime, et sa propagation au Liban par des chefs iraniens du Hezbollah venus en espérant y trouver des médicaments.

Mais, par ce détour en Orient, ma pensée va donc aussi ce soir à ceux, trop oubliés des médias, les quatre jeunes salariés de l’excellente association SOS Chrétiens d’Orient, enlevés il y aura bientôt deux mois, à Bagdad, très probablement, selon un ami chrétien irakien, par un réseau chiite, donc très probablement sous contrôle iranien.

En cette période, la cote de popularité, nous dit-on, de monsieur Macron et de son gouvernement, aurait progressé. Cela est bien affligeant pour ceux de nos compatriotes qui seraient à ce point incapables de ne pas se poser des questions sur un certain nombre de faits troublants. Je fais bien sûr allusion à ce qu’a soulevé le professeur Didier Raoult de l’I.H.U. de Marseille, sur la politique du ministère de la Santé. Tant sur la mise en œuvre du dépistage des contaminés que sur la curieuse interdiction, jusqu’à ces-jours-ci, de la chloroquine, pourtant si efficacement utilisée dans des pays vainqueurs du virus.

Madame Agnès Buzyn-Levy devra s’expliquer là-dessus. Son mari, le professeur Yves Levy, est le très jacobin directeur de l’INSERM, voulant que cet organisme monopolise tout de la recherche médicale publique.

Aujourd’hui, devant la montée de l’indignation, le gouvernement a enfin autorisé la thérapeutique de la chloroquine mais réservée « aux cas graves ». Pourquoi cette réserve ?

Je laisserai tout à l’heure Jérôme Triomphe, avocat de l’AGRIF, pousser plus loin quelques interrogations sur cette lourde affaire de l’interdiction de la chloroquine.

La catastrophe de la crise économique qui résulte de la crise sanitaire, a mis aussi en lumière la perversité de la mise en œuvre, depuis longtemps, des principes mondialistes de la division internationale du travail. Pendant des années de carrière professionnelle, au cours de dizaines de conférences et séminaires, en disciple de Hyacinthe Dubreuil, je n’ai cessé de dénoncer cela. Résultat de cette perversion idéologique : la Chine est devenue l’usine’ du monde. 90 % de nos médicaments y sont fabriqués. Sur cela aussi, on attend des repentances de tous les gouvernements.

Dernier point, dame Sibeth, la porte-parole à l’ample chevelure, du gouvernement, a exprimé son inquiétude à propos de ceux qui s’inquiètent du fait que dans certains « territoires », des populations n’obtempèrent pas aux ordres du gouvernement. On le voit, si le coronavirus interrompt quantité d’activités, il n’interrompt pas les délires de l’idéologie antiraciste.