Script du début de l’émission de Bernard Antony, ce dernier mercredi, sur
Radio-Courtoisie. Retransmission en différé, demain de 7 h 30 à 10 h 30.
Chers
auditeurs de Radio-Courtoisie, au nom de
toute l’équipe du Libre-Journal de la Réplique que vous écouterez ce soir
confinés, mais non, j’en suis sûr, sans combativité pour la plupart, bonjour,
amitié française et chrétienté-solidarité. Et ma pensée d’abord pour ceux qui
souffrent de ce sale petit coronavirus qui nous ramène à la réalité de notre
fragilité d’humain et inflige une cinglante gifle à l’orgueil de l’homme
moderne.
Notre
pensée d’abord et notre prière pour ceux
qui ont succombé et succombent dans cette épidémie. Mais celle-ci, malgré sa
constante médiatisation, n’est pas le tout de la vie de notre monde. Il y a le
coronavirus mais il y a toujours la
peste de l’islamisme terroriste tant sunnite que chiite, le coranovirus !
A
ce propos, en Iran, les mollahs jihadistes de la ville sainte de Qom avaient
cru bon d’appeler leurs fanatiques partisans à se rassembler sans souci de la
promiscuité faisant confiance au « corano-antivirus ». D’où
l’épidémie énorme, aux chiffres cachés par le régime, et sa propagation au
Liban par des chefs iraniens du Hezbollah venus en espérant y trouver des
médicaments.
Mais,
par ce détour en Orient, ma pensée va donc aussi ce soir à ceux, trop oubliés
des médias, les quatre jeunes salariés de l’excellente association SOS
Chrétiens d’Orient, enlevés il y aura bientôt deux mois, à Bagdad, très
probablement, selon un ami chrétien irakien, par un réseau chiite, donc très
probablement sous contrôle iranien.
En
cette période, la cote de popularité, nous dit-on, de monsieur Macron et de son
gouvernement, aurait progressé. Cela est bien affligeant pour ceux de nos
compatriotes qui seraient à ce point incapables de ne pas se poser des
questions sur un certain nombre de faits troublants. Je fais bien sûr allusion
à ce qu’a soulevé le professeur Didier Raoult de l’I.H.U. de Marseille, sur la
politique du ministère de la Santé. Tant sur la mise en œuvre du dépistage des
contaminés que sur la curieuse interdiction, jusqu’à ces-jours-ci, de la
chloroquine, pourtant si efficacement utilisée dans des pays vainqueurs du
virus.
Madame
Agnès Buzyn-Levy devra s’expliquer là-dessus. Son mari, le professeur Yves
Levy, est le très jacobin directeur de l’INSERM, voulant que cet organisme
monopolise tout de la recherche médicale publique.
Aujourd’hui,
devant la montée de l’indignation, le gouvernement a enfin autorisé la
thérapeutique de la chloroquine mais réservée « aux cas graves ».
Pourquoi cette réserve ?
Je
laisserai tout à l’heure Jérôme Triomphe, avocat de l’AGRIF, pousser plus loin
quelques interrogations sur cette lourde affaire de l’interdiction de la
chloroquine.
La
catastrophe de la crise économique qui résulte de la crise sanitaire, a mis
aussi en lumière la perversité de la mise en œuvre, depuis longtemps, des
principes mondialistes de la division internationale du travail. Pendant des
années de carrière professionnelle, au cours de dizaines de conférences et
séminaires, en disciple de Hyacinthe Dubreuil, je n’ai cessé de dénoncer cela.
Résultat de cette perversion idéologique : la Chine est devenue l’usine’
du monde. 90 % de nos médicaments y sont fabriqués. Sur cela aussi, on attend
des repentances de tous les gouvernements.
Dernier
point, dame Sibeth, la porte-parole à l’ample chevelure, du gouvernement, a
exprimé son inquiétude à propos de ceux qui s’inquiètent du fait que dans
certains « territoires », des populations n’obtempèrent pas aux
ordres du gouvernement. On le voit, si le coronavirus interrompt quantité
d’activités, il n’interrompt pas les délires de l’idéologie antiraciste.