vendredi 14 février 2020

Emmanuel Macron: hier sur le chaos de la mer de glace, aujourd’hui face à la débacle politique

Emmanuel Macron, dont la politique patine à peu près en tous domaines-et tant mieux tant elle est sur l’essentiel exécrable- est donc allé hier contempler les effets ravageurs du réchauffement climatique sur ce qui fut la célèbre « mer de glace » de la vallée de Chamonix. Histoire, à l’évidence, de rechercher un certain consensus d’approbation écologiste pour des mesures  annoncées susceptibles, à l’en croire, de ralentir sinon d’inverser le phénomène.

Qu’en penser sinon qu’il ne s’agit que d’une triste opération de communication politique ? Car peut-on plus que Monsieur Macron mépriser l’écologie intégrale, qui inclut d’abord le respect de la nature humaine ?

N’a t-il pas osé lancer, il y a peu, à une responsable des associations familiales catholiques (AFC) : «  Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père est forcément un mâle. Tous les psychanalystes vous diront le contraire. »

Certains prosélytes de la secte freudienne à laquelle, manifestement, il adhère formuleront peut-être pareille ineptie contre le sens commun, mais nullement les plus grands psychiatres tels notre ami Jacques Corraze l’éminent professeur toulousain de médecine psychiatrique. Emmanuel Macron est encore sur la ligne de perversion idéologique du député franc-maçon Jean-Louis Touraine, rapporteur du projet de loi relatif à la bioéthique osant énoncer le 11 septembre 2019, la monstruosité selon laquelle « il y a un droit à avoir un enfant sans homme mais il n’y a pas de droit de l’enfant à avoir un père, à quelque moment que ce soit. » (Sic !)

Nous aurons hélas sans doute encore à commenter les aberrations de la révolution dite « sociétale », nihiliste, anti humaine que Mr Macron entend poursuivre. Commencée avec les lois « Neuwirth » (sur la pilule) et « Veil » (sur l’avortement) continuée par la loi  « Taubira » sur la dénaturation du mariage, il veut marquer sa propre empreinte avec la loi bioéthique (ni « bio », ni « éthique ! ») actuellement proposée au vote du corps législatif.

La vérité c’est que Mr Macron, qui se targue d’agir écologiquement, bafoue le premier impératif écologique qui, redisons le, consiste d’abord à respecter l’écologie humaine. Bien sûr, il faut se soucier également du respect de la Création, tant malmenée par les matérialismes modernes (communistes, capitalistes, ou libéraux-socialistes).
Pour autant, si le réchauffement climatique est une indéniable réalité, l’imputer à la seule causalité humaine ne semble pas très raisonnable. La terre a en effet déjà connu des phases de réchauffement ou de glaciation alors que le facteur humain ne pouvait y être d’aucune importance…

Cela ne signifie pas qu’il faille se désintéresser du respect de l’environnement et des équilibres de vie de la planète. Mais comment ne pas voir que ce sont les tenants des idéologies « progressistes » qui ont causé le plus de ravage écologique ?
Ainsi ceux du communisme soviétique qui ont asséché la Mer d’Aral, ainsi ceux des socialistes  israéliens qui ont asséché la Mer morte…

Ps : Différents déplacements, quelques petites fièvres fatigantes et aussi la rédaction d’un ouvrage imprudemment commencé et que je veux m’efforcer de terminer sont la cause de mon manque d’assiduité sur ce blog.

Veuillez me pardonner