Emmanuel Macron, dont la
politique patine à peu près en tous domaines-et tant mieux tant elle est sur l’essentiel exécrable- est donc allé hier contempler les effets ravageurs du réchauffement
climatique sur ce qui fut la célèbre « mer de glace » de la vallée de
Chamonix. Histoire, à l’évidence, de rechercher un certain consensus d’approbation
écologiste pour des mesures annoncées
susceptibles, à l’en croire, de ralentir sinon d’inverser le phénomène.
Qu’en penser sinon qu’il
ne s’agit que d’une triste opération de communication politique ? Car
peut-on plus que Monsieur Macron mépriser l’écologie intégrale, qui inclut d’abord
le respect de la nature humaine ?
N’a t-il pas osé lancer,
il y a peu, à une responsable des associations familiales catholiques (AFC) :
« Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père est forcément un
mâle. Tous les psychanalystes vous diront le contraire. »
Certains prosélytes de
la secte freudienne à laquelle, manifestement, il adhère formuleront peut-être
pareille ineptie contre le sens commun, mais nullement les plus grands
psychiatres tels notre ami Jacques Corraze l’éminent professeur toulousain de médecine
psychiatrique. Emmanuel Macron est
encore sur la ligne de perversion idéologique du député franc-maçon Jean-Louis
Touraine, rapporteur du projet de loi relatif à la bioéthique osant énoncer le
11 septembre 2019, la monstruosité selon laquelle « il y a un droit à
avoir un enfant sans homme mais il n’y a pas de droit de l’enfant à avoir un
père, à quelque moment que ce soit. » (Sic !)
Nous aurons hélas sans doute
encore à commenter les aberrations de la révolution dite « sociétale »,
nihiliste, anti humaine que Mr Macron entend poursuivre. Commencée avec les
lois « Neuwirth » (sur la pilule) et « Veil » (sur l’avortement)
continuée par la loi « Taubira » sur la dénaturation du
mariage, il veut marquer sa propre empreinte avec la loi bioéthique (ni « bio »,
ni « éthique ! ») actuellement proposée au vote du corps
législatif.
La vérité c’est que Mr
Macron, qui se targue d’agir écologiquement, bafoue le premier impératif
écologique qui, redisons le, consiste d’abord à respecter l’écologie humaine. Bien
sûr, il faut se soucier également du respect de la Création, tant malmenée par
les matérialismes modernes (communistes, capitalistes, ou
libéraux-socialistes).
Pour autant,
si le réchauffement climatique est une indéniable réalité, l’imputer à la seule
causalité humaine ne semble pas très raisonnable. La terre a en effet déjà
connu des phases de réchauffement ou de glaciation alors que le facteur humain
ne pouvait y être d’aucune importance…
Cela ne signifie pas qu’il
faille se désintéresser du respect de l’environnement et des équilibres de vie
de la planète. Mais comment ne pas voir que ce sont les tenants des idéologies « progressistes »
qui ont causé le plus de ravage écologique ?
Ainsi ceux du communisme
soviétique qui ont asséché la Mer d’Aral, ainsi ceux des socialistes israéliens qui ont asséché la Mer morte…
Ps : Différents
déplacements, quelques petites fièvres fatigantes et aussi la rédaction d’un
ouvrage imprudemment commencé et que je veux m’efforcer de terminer sont la
cause de mon manque d’assiduité sur ce blog.
Veuillez me pardonner