Curieux, tout de même !
Dans des dizaines de
cas, des terroristes façon « Allahouakbar » ont été immédiatement
mentionnés dans les médias comme étant a priori des « déséquilibrés »,
donc ne relevant pas de la prison mais de l’hôpital psychiatrique.
Rien de tel hier pour le
forcené de la mosquée de Bayonne, auteur de la tentative d’incendie et des tirs
qui auraient pu tuer les deux malheureux blessés.
Or, aujourd’hui, les
médias ne dissimulent pas que Claude Sinké, retraité de l’Éducation Nationale
et s’affirmant artiste, était de plus en plus devenu un lourd psychopathe.
Sa détermination
meurtrière n’en a pas moins été odieuse.
Mais que de hauts
responsables musulmans, qui se sont plus qu’abondamment tus lors des tueries
massives perpétrées par d’autres, puissent invoquer un retour aux « heures
les plus sombres de notre histoire » relève tout de même d’une comparaison
exagérée.