Manifestement, la très ambitieuse
Valérie Pécresse est prête à tout pour s’aligner dans le plus médiocre
conformisme politoco-médiatique sur « l’idéologiquement correct » du
boboland parisianiste.
Ainsi, cette
politicienne déjà déclinante, aux griffes usées, comme son amie Hidalgo, a cru
bon de jeter une fulmination contre « la France du déclinisme (sic !)
d’Éric Zemmour ».
Façon, à l’évidence, de
manifester son héroïque distanciation conquérante, libérale, progressiste,
immigrationniste, cosmopolite, homophile, islamophile, abortophile et
zemmourophobe, du positionnement selon elle dangereusement à droite de
« Les Républicains » ou de celui, plus sociétalo-nationaliste du Rassemblement
National.
Chez « les
Républicains » n’appréciant pas son jeu personnel, certains, paraphrasent
désormais la chanson de Brassens (« ma maîtresse, la traîtresse ») en
fredonnant « Pécresse, la traîtresse ».
Pécresse, on le sait, a
plus de proximité idéologique avec Xavier Bertrand. Ce dernier ne vient-il pas
d’être élu « personnalité de l’année » (sic !) par « le
trombinoscope », c’est-à-dire un jury modérément pluraliste de sept
journalistes. Bertrand est, on le sait, un très fidèle « frangin » du
Grand-Orient de France. Sans surprise, après lui, on trouve parmi les autres
lauréats Agnès Buzyn, primée comme « ministre de l’année ».
De quoi satisfaire en
son Panthéon celle qui fut longtemps sa première belle-mère, Simone Veil.
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