jeudi 7 février 2019

Valérie Pécresse, zemmourophobe.



Manifestement, la très ambitieuse Valérie Pécresse est prête à tout pour s’aligner dans le plus médiocre conformisme politoco-médiatique sur « l’idéologiquement correct » du boboland parisianiste.
 
Ainsi, cette politicienne déjà déclinante, aux griffes usées, comme son amie Hidalgo, a cru bon de jeter une fulmination contre « la France du déclinisme (sic !) d’Éric Zemmour ».

Façon, à l’évidence, de manifester son héroïque distanciation conquérante, libérale, progressiste, immigrationniste, cosmopolite, homophile, islamophile, abortophile et zemmourophobe, du positionnement selon elle dangereusement à droite de « Les Républicains » ou de celui, plus sociétalo-nationaliste du Rassemblement National.

Chez « les Républicains » n’appréciant pas son jeu personnel, certains, paraphrasent désormais la chanson de Brassens (« ma maîtresse, la traîtresse ») en fredonnant « Pécresse, la traîtresse ».

Pécresse, on le sait, a plus de proximité idéologique avec Xavier Bertrand. Ce dernier ne vient-il pas d’être élu « personnalité de l’année » (sic !) par « le trombinoscope », c’est-à-dire un jury modérément pluraliste de sept journalistes. Bertrand est, on le sait, un très fidèle « frangin » du Grand-Orient de France. Sans surprise, après lui, on trouve parmi les autres lauréats Agnès Buzyn, primée comme « ministre de l’année ».

De quoi satisfaire en son Panthéon celle qui fut longtemps sa première belle-mère, Simone Veil.

Vient après elle la goulue... Lire la suite :

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