On disait jadis de tous
les pays du bloc communiste que si un pareil régime s’installait au Sahara, il
y aurait très vite pénurie de sable !
C’est une situation
analogue que connaît aujourd’hui le Venezuela sous le régime du dictateur
néo-bolchevique Nicolas Maduro, digne continuateur d’Hugo Chavez, lui-même féroce
imitateur de son modèle Fidel Castro.
Sa malheureuse
population est en effet non seulement confrontée à une tragique pénurie de tous
les produits de première nécessité mais désormais, ce sont même les pompes à
essence qui ne sont plus approvisionnées. Car ce pays « progressiste »,
qui est pourtant le premier détenteur au monde de gisements de pétrole, n’a
même pas pu maintenir en état de fonctionnement la plupart de ses installations
de production.
Les dernières servent à
fournir l’armée et la police et à exporter encore un peu vers la Chine et la
Russie, ces puissances amies…
Confrontés non seulement
à la misère et à la disette, mais de plus en plus à des répressions sanglantes
de leur exaspération, plus de deux millions de vénézuéliens ont déjà fui le
pays, notamment vers la Colombie, la Bolivie et le Brésil.
Très louangeurs il y a
encore peu de ce régime anticapitaliste, l’inénarrable Mélenchon et ses semblables
n’en parlent plus trop.
Mais pour l’extrême-gauche
et la gauche du boboland lénino-castriste et maduresque, l’ennemi, c’est
évidemment le président brésilien Jaïr Bolsonaro.
Ce dernier pour l’heure
doit faire face en même temps à l’afflux des réfugiés et à l’élimination de la
grande criminalité et de la corruption dans lesquelles la gauche de Lula et de
Youssef ont des années durant laissé s’enfoncer le pays.