Le procès du rappeur Nick Conrad a eu
lieu ce 9 janvier
2019 à la suite de la diffusion de son clip abominable dans lequel il appelle à
prendre les blancs et à tuer les enfants dans les couveuses.
A l’audience, Nick CONRAD a prétendu
vouloir dénoncer le racisme … anti-noir dans une inversion de ce que les noirs avaient
vécu : esclavage, lynchage et ségrégation !
Nos
avocats, Jérôme Triomphe et David Dassa-Le Deist ont démonté cette défense. Ils
ont souligné qu’il ne s’agissait pas
d’une dénonciation de l’esclavagisme, mais d’un texte d’un racisme inouï appelant aux pires
abominations que pourraient perpétrer aujourd’hui contre les blancs des noirs,
pourtant accueillis en Europe sans aucun procédé esclavagiste. Ils
ont cité notamment plusieurs textes de même tabac de Nick Conrad, sous prétexte
d’une vengeance soi-disant légitime, des noirs contre les blancs. Ils ont
souligné, et ils ont été les
seuls à le faire évidemment, que Nick CONRAD était le produit d’une incessante campagne
de victimisation des noirs et de culpabilisation
de l’Occident.
Nick CONRAD s’est bien gardé de rappeler
que les noirs n’ont pas été d’abord victimes de la traite par les blancs mais
principalement de la traite arabo-musulmane et de roitelets africains vendant
leurs frères de sang comme esclaves. Ils ont souligné que Nick CONRAD était
l’héritier du suprémaciste noir et raciste anti-blanc Malcom X qu’il cite dans
son clip, admirateur du sanguinaire Che Guevara. Ils ont souligné que Nick
CONRAD était le fils idéologique d’Houria BOUTELDJA et de Saïd BOUAMAMA et de
tous ceux qui opposent les « noirs, arabes et musulmans aux blancs »
dans la lignée des auteurs de Nique la France que l’AGRIF a été la seule à
combattre.
Pour la première fois de son histoire, la
LICRA plaidait aux côtés de l’AGRIF. Il est vrai que, depuis quelques années,
la LICRA a reconnu l’existence d’un racisme anti-blanc. La LICRA a pourtant
prétendu avoir été la première à le combattre ! En revanche, nos avocats
ont souligné l’absence criante de toutes les autres associations prétendument
antiracistes et qui ne pratiquent en réalité qu’un antiracisme à sens unique.
C’est l’avocat de la LICRA qui a expliqué que ces autres associations avaient décidé de ne pas venir…pour ne pas faire de publicité à Nick CONRAD. Voilà un beau prétexte alors que la publicité a été nationale et la condamnation pour une fois unanime.
C’est l’avocat de la LICRA qui a expliqué que ces autres associations avaient décidé de ne pas venir…pour ne pas faire de publicité à Nick CONRAD. Voilà un beau prétexte alors que la publicité a été nationale et la condamnation pour une fois unanime.
Puis le Procureur s’est levé... Lire la suite :