C’est grâce au blog d’Yves
Daoudal que j’ai appris que la photo de Macron aux Antilles, si chaleureux avec
des voyous peu habillés, a été retirée de la page Facebook de nombreux
internautes.
Facebook leur en a
communiqué le motif : « Votre
publication est contraire aux standards de la communauté concernant la nudité
et les actes sexuels ».
Après celles avec
Brigitte, à l’Élysée, le soir de la fête de la musique où le couple joyeux
était entouré, comme on le sait, de prosélytes de la gay-pride, les photos des
Antilles avaient accentué l’effet de stupéfaction produit par le président de
la République en pareille compagnie.
Comment Macron a-t-il pu
commettre à deux reprises l’insigne erreur de penser que de pareilles photos
pourraient susciter, hors des milieux gays et « branchés », des
réactions autres que goguenardes ? Était-il conseillé alors par Alexandre
Benalla dont il devait dire : « Ce n’est pas mon amant… » ?
Bien sûr, son obstination
obsessionnelle à maintenir la taxation des carburants est d’une autre nature et
de conséquences déjà autrement graves. Mais les deux attitudes révèlent sa
grave incapacité à saisir ce qui meut les Français.
La vérité, c’est qu’il a
désormais perdu l’estime de son peuple. Et il lui sera très difficile de la
reconquérir.
Sur le fond de la
question climatologique, nul ne peut nier que phénomène global de réchauffement
il y a. Mais reste à savoir si cela est principalement dû à l’homme ou aux
variations d’humeur du système solaire ?
Et, en admettant que c’est
partiellement dû à l’homme, comment s’acharner à vouloir imposer tout d’un coup
des mesures, au plus vite, contre les moteurs diesel et les chaudières à mazout ?
Alors que l’on sait
pertinemment que les voitures à moteur électrique ne seront finalement pas
moins polluantes à moyen terme, tant que l’on n’aura pas trouvé une solution
pour éviter la nuisance des batteries inutilisables au bout d’un certain temps.
M. Macron fait désormais
comme une sorte de précipitation hulotière pour en finir, vite, avec la fin du
monde. Comme si d’ailleurs la pollution énergétique de la France n’était pas le
centième de celle de la Chine ou des États-Unis.
Son regard est
quelquefois inquiétant, un peu « allumé » ! On y trouve l’expression
d’une sorte de pulsion fanatique. Or, si la fin de ce monde se rapproche en
raison du trop grand nombre d’hommes à utiliser du diesel et du mazout, alors,
pour les idéologues extrémistes de l’écologie avant tout, s’imposera qu’il y
ait moins d’hommes. L’exigence écologique pour sauver l’humanité passera alors
par sa diminution. Comme au Cambodge.
Cela ne vous rappelle
rien ? Lisez donc le livre de Gracchus Babeuf : « La guerre de
Vendée et le système de dépopulation ». On y découvre comment les
ordonnançateurs du génocide vendéen, pensant que jamais la France ne pourrait
nourrir la population que la dynamique démographique laissait prévoir, firent
alors sur l‘échantillon de la Vendée détestée l’expérience de diminution de la population
qui pourrait ensuite être étendue en bien d’autres régions.
L’écologie est une
excellente chose. Mais trop sérieuse pour être laissée aux écologistes et
surtout à cet écologiste empressé qu’est Emmanuel Macron.