Ce n’est pas parce que ce mot a
été pris pour titre d’un de ses romans par l’exécrable bolcho-crapauteux
Jean-Paul Sartre, collabo de toutes les monstruosités du communisme, que je ne
l’emploierai pas. Car ce que je ressens en ce moment à la lecture de plusieurs
faits de l’actualité c’est principalement en effet ce mot qui l’exprime.
- Nausée devant les attaques
dont fait l’objet Laurent Wauquiez pour ses propos sur les dérives eugénistes.
Je ne suis pas, on le sait, un
partisan du mouvement « Les Républicains » ni de son président
Laurent Wauquiez. Et d’ailleurs, lorsque ce dernier évoque avec raison
l’utilisation eugéniste de la P.M.A., que n’a-t-il dénoncé l’eugénisme par
I.V.G. !
En effet, si on évoque
quelquefois les atroces mesures nazies d’élimination par milliers des enfants
anormaux (devant lesquelles se dressa le grand évêque Monseigneur Von Galen,
comment ne constater jamais aujourd’hui les pratiques eugénistes consistant
notamment à éliminer systématiquement, par avortement, les enfants à naître
trisomiques ?
Nous n’approuvons donc pas ceux
qui attaquent aujourd’hui Laurent Wauquiez pour sa réticence à la P.M.A. Mais,
pour que nous puissions le soutenir, il faudrait qu’il manifeste une claire
opposition totale à la culture de mort.
- Nausée devant le mémoricide par le ministère de la
guerre de ce que fut le grand général patriote Loustaunau-Lacau.
Ainsi, le ministère de la guerre,
en bien tristes mains, avec l’assentiment d’officiers carriéristes soumis à
« l’historiquement correct » de l’idéologie antiraciste a-t-il
décidé, ce samedi, de débaptiser la promotion 2016-2019 de l’école de Saint-Cyr
en qualifiant de « personnalité contestable » (sic) le général
Loustaunau-Lacau.
Pourquoi les élèves officiers
avaient-ils choisi cet homme illustre comme parrain de leur promotion ? Il
suffit de savoir qu’il fut un héros des deux guerres mondiales, qu’il fut le
créateur du réseau de résistance Alliance, l’homme qui résista à 54
interrogatoires de la Gestapo, puis qui connut et décrivit ensuite, ayant
survécu, les atrocités du camp de la mort de Mathausen.
Les minables charognards de la
tcheka mémorielle du ministère de la guerre ont découvert que le personnage
serait « problématique »(sic !) ayant écrit dans les années 30 des
textes qualifiés « d’antisémites » et à partir de 1938 des textes
« anticommunistes ».
Occultant le fait, rappelé par
Soljenitsyne et les plus éminents historiens juifs (Simon Sebag Montefiore,
Yuri Slezkine, Annie Kriegel) que l’engagement massif dans le bolchevisme de
juifs « renégats » selon l’expression de Soljenitsyne, avait pu
susciter alors chez certains des pulsions d’antisémitisme, certes injustes et
regrettables. Ce qui n’empêcha pas ces nationalistes, souvent royalistes, de se
porter les premiers dans la résistance antinazie et la solidarité patriotique
avec les Juifs menacés.
De tristes minables idéologues du ministère de la guerre ont
donc voulu nuire à la mémoire de l’héroïque général Loustaunau-Lacau.
Ce faisant ils n’auront atteint
que le contraire de leur but.
Ont-ils seulement pesé qu’il leur
faudrait donc logiquement exclure de toute commémoration nationale le dernier
président de la République décédé, François Mitterand , cet ancien militant de l’Action
Française l’ayant abandonnée pour passer à la Cagoule ?
Et bien sûr, le fait qu’il y ait
des stations de métro, des rues et des lycées à porter le nom d’Aragon, cet
immense laudateur des exterminations de Staline appelant de ses vœux « un
guépéou à la française » et chantant « l’éclat des fusillades ».
Cela ne gêne pas les ministricules et ses officiers pour lesquels « il n’y
a pas d’heure pour la bave ».
Que vive donc la mémoire du grand
général Loustanau-Lacau !