Dès qu’elles en ont l’occasion,
ces deux-là, elles ne manquent pas de s’écharper. À l’évidence, elles ont bien
en commun pourtant la haine de notre identité française et chrétienne, la haine
du sens catholique et français de l’universel.
Et donc, toutes deux
nous haïssent.
Caroline, c’est le
prototype de la lesbienne laïcarde, idéologue d’une universalité égalitariste,
niveleuse, transgenre et déconstructionniste. Et elle se désole de ce que l’islamisme
vient désormais s’établir sur les friches et les ruines qu’a propagées le
nihilisme culturel et moral dont elle est une active propagandiste.
Houria, qui vit en France,
et par la France, est simultanément, comme dirait Macron, une fanatique
islamo-nationaliste algérienne et l’acharnée propagandiste du racisme antiblanc
de Nique la France.
À la différence de
Caroline, la prosélyte du faux universalisme du déracinement, elle défend un
identitarisme féroce. Et c’est ainsi que, comme la cite Caroline dans Marianne
de cette dernière semaine, elle a écrit dans un livre : « Mon corps ne m’appartient pas (…). J’appartiens
à ma famille, à mon clan (…), à ma race, à l’islam ».
Mais voici que Caroline
écrit que ce livre fut salué par Radio-Courtoisie (sic !). La vérité, c’est
que c’est moi qui traitai jadis de son bouquin avec le mélange de bonne humeur
et d’ironie que me suscitait pareille confession d’Houria. Mais Caroline n’est
tout de même pas très déontologiquement regardante, ni très fine.
D’une part, elle ne me
cite pas, ce qui n’est pas correct, et surtout elle s’est révélée une fois de
plus comme imperméable à tout humour.
Les auditeurs de
Radio-Courtoisie qui m’entendent depuis des années évoquer les poursuites de l’AGRIF
contre dame Bouteldja traitant les blancs de « sous-chiens » savent de
quelle manière je puis saluer ses écrits.
Bel aveu en effet que
celui de la fierté clanique et raciale de celle qui, par ailleurs, chez nous,
prône la « déracisation », concept qui lui est cher. Mais attention,
si comme on le voit, elle entend « déraciner » les blancs, elle-même exalte
sa race.
Je profite de l’occasion
de ces lignes de Fourest pour confier ici que les aveux d’identité familiale,
clanique, raciale et islamique d’Houria m’avaient mis dans une telle jubilation
que je lui avais publiquement proposé, sur la même radio, un débat
contradictoire, et bien sûr totalement « à la loyale » : dans un
simple face à face avec même temps de parole et en présence de nos deux
avocats, maître Braun pour elle, maître Jérôme Triomphe pour moi. Comme les
témoins des rencontres de jadis dans les temps bénis des beaux duels.
Quelque temps plus tard,
Houria, par son avocat, me fit savoir que son mari ne l’autorisait pas à
débattre avec moi. Que voilà en effet une bonne épouse soumise dans la parfaite
conformité à la charia du prophète !
Mais je fus désolé de
cette dérobade.
Aujourd’hui, sur la
lancée, je lance le même défi à Caroline Fourest, celui d’une confrontation sur
les valeurs chères à Houria Bouteldja, sur les siennes et sur les miennes.
Je laisse le choix des
armes, (c’est-à-dire de la radio ou de la télé) à Caroline.
PS : tous les orateurs de la journée d’Amitié Française
de l’AGRIF m’ont exprimé leur satisfaction pour la très bonne ambiance d’écoute
militante et les rencontres très positives avec les participants. Mais cette
journée, nécessaire, a coûté cher, très cher. Je lance un appel à tous ceux qui
peuvent nous adresser une contribution pour en combler le déficit. Chèques l’ordre
de l’AGRIF.
AGRIF
70 Boulevard Saint germain
75005 PARIS