vendredi 5 octobre 2018

Macron prosélyte de Nique la France ! Les photos de trop.


On imagine l’effarement de Poutine et de Xi Jinping lorsque lundi dernier 1° octobre leurs services respectifs d’information de politique étrangère leur ont bien sûr immédiatement communiqué les photos à l’île de Saint-Martin d’un Macron étroitement encadré par deux « jeunes » dans le genre qu’il semble décidément apprécier.
 
Macron, sa tête lovée sur la joue et dans le creux de l’épaule d’un beau gaillard bien bronzé (comme disait Berlusconi d’Obama) y arbore un grand sourire de contentement.

Pourtant le « ben » (bel éphèbe noir) arbore un doigt d’honneur significatif. 

Son compère, serré à gauche de Macron, fait pour sa part, avec son petit doigt et son index, le geste dit des « cornes du diable ».

Poutine et Xi, et bien d’autres encore, car les photos ont fait le tour de la planète diplomatique, se sont alors souvenus d’une scène analogue à l’Élysée prises la nuit de la dernière fête de la musique. Cette nuit-là, l’Élysée accueillait une soirée « électro » avec des « DJ » français. Brigitte Macron, tout sourire, était aussi de la partie, sous le bras cajoleur d’un spécimen à la mimique goulue et faisant lui aussi les cornes du diable. Et la presse rapporte que l’un des zartistes de ce groupe, surnommé Kiddy Smile, portait un tee-shirt indiquant « fils d’immigré, noir et pédé ». 

Quant aux paroles de leur création rapeuse, contentons-nous de rappeler ici la moindre : « Danse, enc… de ta mère… »

On comprend en effet qu’il fallait sans doute à l’Élysée un Benalla comme vigilant protecteur du couple en cas de débordement d’enthousiasme pansexuel en tous genres, en de pareilles circonstances endiablées.

Je ne rapporterai pas ici ce que l’on rapporte des mœurs macroniennes dans les dîners en ville, à Paris et ailleurs. Mais le couple Macron ne prête-t-il pas trop le flanc à de méchantes et diffamatoires insinuations ?

Cela dit, si Macron, que certains appellent désormais « le lové langoureux », est manifestement joyeux en de pareilles circonstances, cela n’est pas forcément du goût de tous dans son gouvernement. Ô bien sûr, ce n’est pas Marlène Schiappa, de la Libre Pensée, qui se plaindrait de l’avancée, jusqu’au sommet de l’État, de l’idéologie et des pratiques transgenres. Ne sont-ce pas là des valeurs fondamentales du progressisme macronien ?

En revanche, quoique frangin du Grand-Orient, et donc plutôt sociétalement libéral, l’austère Gérard Collomb n’est pas de ceux qui apprécient la dévaluation constante de la dignité qui sied à un président de la République.

Aussi Collomb est-il sans doute de ceux qui affirment qu’on n’aurait pas imaginé le couple De Gaulle en postures semblables à celles du duo Macron. 

Ce qui est sûr, c’est qu’il y a eu une étrange coïncidence entre la publication de la photo à Saint-Martin et la démission de Collomb. Ce dernier est de ceux qui sont maintenant persuadés qu’avec la politique ou plutôt le manque de politique de Macron et aussi, disons, ses us et coutumes, le régime va dans le mur. « En marche » en effet, mais vers le chaos.