vendredi 26 octobre 2018

Avec Macron, Castaner et Schiappa : l’inéluctable fin du chômage par la reconquête républicaine et féminine dès la maternelle.


La grande nouvelle de la présence de policiers dans les écoles, et même quand il le faudra de renforts militaires, est tombée aujourd’hui avec les accents virils de Christophe Castaner, le remplaçant du trop cauteleux Gérard Collomb.

Les incivilités, ça suffit !
L’insécurité, halte-là !

Désormais priorité donc bien sûr à la glorieuse Reconquête Républicaine dans toutes les Zones, quartiers et banlieues où la loi de la République ne s’exerce plus, conquises qu’elles ont été par des faunes humaines dont bien sûr il tomberait sous le coup de la loi d'en citer les origines et les appartenances ethno-religieuses.

Pour ce retour de la loi dans les « ZRR », il faudra évidemment bien plus d’effectifs que ceux de la X° division parachutiste du général Massu lors de la bataille d’Alger au siècle dernier. Car la globalité des « ZRR », de Dunkerque à Perpignan, du « 93 » aux Minguettes, équivaut en population et en superficie à 150 fois celles de la Casbah d’Alger en 1958.

L’effectif sécuritaire à prévoir, y compris les employés au recrutement et à l’administration, est donc de l’ordre de 150 000 « personnels », comme on les appelle au ministère de l’Intérieur.

Venons-en au monde dit éducatif, aux 63600 établissements scolaires dont aucun, même pas les maternelles, ne sont à l’abri des agressions extérieures, ni, dès les classes de sixième, d’une délinquance intérieure toujours plus grandissante en allant vers les classes terminales.
Quand on pèse que le nombre des classes de tous niveaux est aujourd’hui de plus de 282 000, on comprend aisément que le chiffre des personnels affectés ne saurait être, pour l’exercice d’une vigilante surveillance selon les spécialistes, inférieur à 140 000.

Reste maintenant le plus gros du travail sécuritaire à assurer :
-        D’une part face aux agressions des femmes qui ne se limitent pas aux périmètres des ZRR mais à tous les espaces de présence masculine non contrôlée ;
-        De l’autre, les délits d’homophobie qui semblent progresser en proportion de la très juste attention citoyenne et médiatique désormais accordée à l’expression homosexuelle en particulier et LGBT, etc… en général.

Notre informateur à la cellule de coordination du ministère de l’Intérieur et du ministère de l’égalité nous a communiqué le chiffre retenu : pas moins de 300 000 personnels (à pied, à bicyclette, en rollers, à cheval).

On le voit le calcul en est aisé, ce ne sont pas moins de 580 000 préposés à la protection de tous qu’il faudra recruter au plus vite pour assurer la définitive reconquête de sécurité républicaine que nos concitoyens attendent.

On nous objectera que le chiffre de ces quelques 600 000 emplois créés ne représente que moins du cinquième du nombre des chômeurs.

Certes, mais s’en tenir là serait une grande erreur. Car ce sont évidemment les effets induits qu’il faut considérer : ceux du retour de la prospérité commerciale dans les ZRR ; ceux de la dynamisation civique, morale et sociale, et donc économique, des minorités jusque-là opprimées enfin apaisées.

Enfin n’est-il pas citoyennement émouvant de constater que les pédagogues fils ou petits-fils des pédagogues soixantuitards qui scandaient « CRS-SS !» et professaient « il est interdit d’interdire » réclament aujourd’hui bonne protection et bonne collaboration avec la police. 

Confiance, avec toujours plus de police, c’est le chômage qui disparaîtra !