jeudi 29 mars 2018

Ce qu’ils appellent « l’islamisme » est de plus en plus hélas « l’islam réel ».


Comme on peut le lire plus haut sur ce blog, nous avions accueilli plutôt favorablement « l’appel des cent » sur ce qu’ils appelaient « le séparatisme islamiste » mais non sans en regretter l’insuffisance. Car l’islam, dans une multitude de pays, est très exactement conforme à ce que l’on désigne par islamisme.  

Et ce qui est vrai, avec des degrés divers d’adhésion ou de fanatisme, dans quarante pays, est vrai de même dans l’islam en France où ceux que l’on désigne comme les « radicalisés » ne sont que la partie émergée de l’iceberg islamique ou plutôt ne sont qu’une frange de la part grandissante de population qui leur est acquise.

Ainsi, de même que les atrocités de Mohamed Merah en ont fait un héros pour des dizaines de milliers de musulmans, jeunes ou moins jeunes, le tueur de Carcassonne a été célébré comme un héros dans les « quartiers » de cette ville mais aussi bien au-delà.

C’est dire d’abord que ce n’est pas la question de l’islamisme qui se pose aujourd’hui mais bel et bien celle de l’islam tel qu’il est en France, celle de l’islam réel. 

Se pose donc ensuite celle de la politique à mener face à une portion de population vivant en France mais en situation psychologique de guerre civile contre les « roumis ».

La troisième question nécessaire est celle de la responsabilité de ceux qui ont largement contribué à créer cette situation. Elle se pose quand on considère l’attitude scandaleuse hier du CRIF à l’égard de Marine Le Pen. En l’occurrence nous approuvons tout à fait qu’elle ait tenu à être dans la « marche blanche » à la mémoire de Mireille Knoll odieusement victime d’un assassinat à motivation antisémite. Ceux qui l’en ont expulsée ne se sont pas grandis dans leur attitude de violence discriminatoire.

Hélas, les responsables du CRIF, nullement représentatifs de l’immense majorité des Français juifs, ne semblent pas remettre en cause le rôle de ces idéologues immigrationnistes « intellectuels » d’extrême-gauche (et fort peu religieux !), qui ont détestablement œuvré, à des fins de subversion révolutionnaire, à importer massivement l’islam en France. 

À grands cris de « touche pas à mon pote ! »

Ceci, dans la continuité de ces militants d’origine juive mais athées, marxistes-léninistes, des écuries trotskystes ou maoïstes, qui animèrent la révolution de mai 68, et qui étaient fanatiquement en faveur des organisations extrémistes et terroristes palestiniennes. 

Fort heureusement, 90 % des Français juifs, religieusement ou culturellement, se reconnaissent bien plus dans l’avocat de la famille Knoll, notre ami Gilles-William Goldnadel, qui est aussi un remarquable éditorialiste et écrivain, ou encore dans l’ardent patriote Eric Zemmour que nous aimons aussi beaucoup, bien qu’il soit un peu trop étatiste à notre gré. 

Alors, comme je l’ai souvent dit à notre cher Stéphane, fidèle ami juif de Sarcelles, oui, il serait temps que les très nombreux Français juifs et de droite fassent un bon coup d’État anti-gauchiste pour renverser la direction actuelle du CRIF.

Pour conclure ces quelques réflexions du jour, je crois donc que si le « pays réel » des Français juifs devrait en finir avec le pervers « pays légal » du CRIF, le « pays légal » de l’islam en France, celui des mosquées du gentil docteur Boubakeur, ne représente pas plus que le CRIF.

Mais hélas, on ne voit guère venir un bon changement dans le pays réel musulman. Aussi, la très courageuse Jeannette Bougrab, conseiller d’État, a-t-elle raison dans un entretien dans le Figaro de constater : « On nous casse les oreilles avec l’islam de France et on fait venir des imams d’Algérie ! ».
 
Aujourd’hui du moins, en cette semaine sainte, tous les militants de l’AGRIF auront eu une grande satisfaction que rapporte notre communiqué. La profanation anti-chrétienne du cimetière de Castres dans lequel reposent des amis très chers n’aura pas été laissée sans réponse.

À vous tous, chers lecteurs et amis, bonne et sainte célébration pascale !