Il était hier au soir
sur LCI.
Il laisse désormais
croître son système pileux en un début de moustache et de barbiche.
On me dit que c’est pour
être à la mode. Quel conformisme ! On n’a d’ailleurs pas non plus entendu
de lui un début de commencement de réflexion originale : uniquement des
propos d’une affligeante banalité de laïcité laïcarde en veux-tu en voilà. Comme
un vieux « frangin » du Grand-Orient. Cela s’harmonise finalement avec
la barbiche style maçonnique sinon méphistophélique. Ce Valls joue les croquemitaines
contre Boudjellal, euh… Boujlal. Il ne prononce même pas correctement le nom d’Houria
Bouteldja. Sans doute n’a-t-il jamais été informé des poursuites engagées par l’AGRIF,
par la seule AGRIF, contre cette dernière pour ses discours anti-français et
anti-blancs. Mais elle y a ajouté depuis des propos à relents antisémites. Alors
Valls, dans son antiracisme à géométrie variable, s’en est ému. Ce qui ne l’émeut
jamais, c’est le racisme anti-chrétien ! Nous, à sa différence, nous condamnons tous les racismes, anti-chrétiens comme anti-juifs, anti-blancs comme anti-jaunes...
Et ce triste ordonnateur
en chef de gazage des mobilisations de la Manif pour tous invoque contre Houria
l’autorité citoyenne de Caroline Fourest. Osant proférer que cette dernière a
été attaquée par les tenants d’un « ultra-catholicisme »
(sic !). Comme si ce n’était pas Caroline Fourest et sa compagne Fiammetta
Venner qui, durant des années, n’ont cessé de déverser leur haine sur le
christianisme. Avant que le couple ne se brise sur le coup de foudre de
Caroline pour Anna Schevchenko, l’égérie Femen de toute la gauche maçonnique et
pro-LGBT.
La haine entre Caroline
Fourest et Houria Bouteldja est aujourd’hui au plus haut degré d’animosité. Nous,
nous ne les haïssons pas, nous les plaignons, ces malheureuses bouffies par
leur idéologie mortifère. Valls a découvert enfin, avec des années de retard
sur nous, les dangers de « l’islamo-jihâdisme ». Mais à ce jour, le
seul ouvrage de réplique dans l’ordre historique à Houria Bouteldja, édité en
2010, est le nôtre : « Vérités
sur les esclavagismes et les colonialismes », sous-titré « Les ressorts d’une haine : la
réponse de la justice et de l’amour ».
Certes la barbarie
sanguinaire du terrorisme islamique est maintenant le pire des dangers de
tuerie pesant sur bien des sociétés. Mais comment ne pas voir qu’il ne
progresse que sur les décombres de la déconstruction sociétale propagée par le
laïcisme nihiliste ?
La vérité, c’est que l’idéologie
pan-islamiste d’Houria Bouteldja et de son PIR progresse sur les vides de la
culture de mort de Caroline Fourest.