vendredi 22 septembre 2017

Le triste cas clinique de Caroline Parmentier.


Un de mes amis vient de m’alerter sur un texte, sur son compte Facebook, de Caroline Parmentier : « Et maintenant Florian Philippot va être invité par Rivarol, Bernard Antony et Civitas pour cracher sur Marine… J’adore nos milieux ! » 

Cela tombe au moment où je venais d’écrire ici que je ne voyais pas d’un mauvais œil la démission du FN de Florian Philippot, dont je n’ai jamais approuvé bien des idées et notamment l’étatisme jacobin sans pour autant cracher sur lui, pas plus que sur Marine, dont il a été le penseur et le porte-parole. Ce qui d’ailleurs ne gênait pas la pauvre Caroline, dont je ne m’explique pas qu’elle éprouve régulièrement le besoin de cracher sur moi.


Faut-il qu’elle soit stupide pour me classer ainsi dans ce qu’elle appelle « nos milieux » et dont, si elle en est, je ne suis pas !

Au demeurant, je n’ai jamais « craché » ni fait « cracher » sur Marine Le Pen, manifestant simplement à l’occasion mes désaccords sur ses positions et notamment celles exprimées par son porte-parole Philippot. Mais manifestement Caroline Parmentier ne saisit pas ce qui différencie le désaccord du fanatisme aboyeur.

Hélas pour elle, le crachat est décidément sa spécialité ! 

Cela dit, sinon par sa bêtise ou quelque complexe, je ne m’explique pas sa méchanceté à mon endroit. Son compagnon Samuel et mes amis Sanders ou Bergeron feraient mieux, sinon de la museler, de la retenir un peu dans ses accès d’hystérie qui ne relèvent évidemment pas du débat politique.