Bernard Antony communique :
Les atroces crimes de viol et de torture perpétrés
sur leurs enfants respectifs par les « parents »
d’une dite « famille recomposée » (selon l’AFP) sont jugés jusqu’à
vendredi à la cour d’assises de l’Essonne.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEia5nqSN1d4h_2V_79B_RSTYQHiinf8zThSi0iVVUmdQfF9QUVm39k9vP1aJse6GuTOmvrgIcT4DH1tc60-iirHGbDiKMdn4-IQH83AUA6kZCHe1WtW4sqTEBJYmaFr6r9O3IO-/s200/Logo+Agrif.gif)
En fait d’art, tout simplement celui de l’expression
d’abjections.
Le FRAC ayant été condamné par le tribunal de
Metz en novembre 2013 pour « atteinte grave à la dignité humaine », la cour d’appel de la même ville a émis en
janvier 2017 le stupéfiant arrêt de légitimation de cette abomination au nom de
la « liberté de création artistique ». (sic !)
Or il n’est pas un psychiatre, pas une personne un
tant soit peu cultivée pour ne pas savoir la dangerosité incitative à des
passages à l’acte criminel...Lire la suite : http://www.lagrif.fr/communiques/actualites/626-l-infamille-aux-assises-de-l-essonne