Bernard Antony communique :
Les atroces crimes de viol et de torture perpétrés
sur leurs enfants respectifs par les « parents »
d’une dite « famille recomposée » (selon l’AFP) sont jugés jusqu’à
vendredi à la cour d’assises de l’Essonne.
Ces horreurs relèvent d’un frappant mimétisme
avec celles des inscriptions sadiques de l’exposition « L’Infamille »
présentée en 2008 au FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain) du Conseil
Régional de Lorraine, sous couvert d’art contemporain. Rappelons qu’il s’agissait
de simples inscriptions, sans aucune sorte de dimension artistique, des abominations
sexuelles et sadico-anales que des parents pourraient bien imaginer faire subir
à leurs enfants.
En fait d’art, tout simplement celui de l’expression
d’abjections.
Le FRAC ayant été condamné par le tribunal de
Metz en novembre 2013 pour « atteinte grave à la dignité humaine », la cour d’appel de la même ville a émis en
janvier 2017 le stupéfiant arrêt de légitimation de cette abomination au nom de
la « liberté de création artistique ». (sic !)
Or il n’est pas un psychiatre, pas une personne un
tant soit peu cultivée pour ne pas savoir la dangerosité incitative à des
passages à l’acte criminel...Lire la suite : http://www.lagrif.fr/communiques/actualites/626-l-infamille-aux-assises-de-l-essonne