mardi 12 janvier 2016

Les actes de terreur de Marseille et de Cologne : mais oui, il y a analogie !

L’Institut du Pays Libre communique:
  
L’attaque hier à Marseille à visée meurtrière contre un enseignant juif coiffé de sa kipa et les multiples agressions sexuelles et viols perpétrés la nuit du réveillon à Cologne et autres villes d’Allemagne et d’Europe du nord ne sont certes pas de même nature mais, à la réflexion, ne sont pas sans analogie de causes.

D’abord, l’agression anti-juive à Marseille ne peut être qualifiée de fait divers isolé et exceptionnel.
Ayant pour auteur un jeune turco-kurde, elle s’inscrit dans la continuité et la multiplicité des attentas antisémites et autres agressions perpétrées par des musulmans fanatisés. Ces derniers ont été trop souvent et presque systématiquement présentés comme des « déséquilibrés » ou des « loups solitaires » à des fins d’injection constante et massive de la drogue « padamalgame ». On avait pratiqué notamment ce déni de vérité avec Mohamed Merah.

Aujourd’hui, c’est de moins en moins possible et, de toute façon, ça ne prend plus ! Les Français, juifs, chrétiens ou autres, ne gobent plus cette désinformation. Ou bien alors ils se demandent si ce n’est pas l’idéologie islamique fondamentale ingérée à forte dose qui produirait pareils comportements.

Les agressions sexuelles à Cologne et ailleurs ne peuvent évidemment pas être présentées comme le fait de « loups solitaires » puisque perpétrées par des hordes visiblement organisées, dominatrices et conquérantes, visant à humilier des populations à soumettre selon une frénésie de janissaires victorieux.

Les réfugiés bien sûr ne sont pas tous dans cet état d’esprit, surtout ceux des minorités chrétiennes dont beaucoup, on le sait, ont été jetés par dessus bord ou assassinés de différentes manières par de drôles de réfugiés.

La faute criminelle de l’ancienne bolchévique Angela Merkel, toujours trop imprégnée des schémas marxistes d’interprétation du réel, a été de ne vouloir rien savoir et de pratiquer un étourdissant déni de réalité.

Toutes les populations musulmanes de l’Orient ne sont pas modelées par les mystiques idéalisés d’un doux soufisme non violent.

Tous les kurdes ne sont pas de tendres humanitaires et, non sans exceptions admirables, il y a un siècle, beaucoup dans leur peuple rivalisaient de cruauté avec les Turcs pour exterminer les Arméniens et autres chrétiens.

Les deux récents faits divers de Marseille et de Cologne, bien différents en apparence, peuvent donc pourtant s’analyser selon une analogie dans la motivation idéologico-psychologique.

Le soi-disant antiracisme s’avère toujours plus comme un « laisser-passer-laisser-faire », un encouragement à l’authentique racisme de l’islamisme « mains rouges » qui s’infiltre par trop sous le couvert de « l’islam patte blanche ».

Bernard Antony.