L’Institut du Pays Libre communique:
L’attaque hier à Marseille à visée meurtrière contre un
enseignant juif coiffé de sa kipa et les multiples agressions sexuelles et
viols perpétrés la nuit du réveillon à Cologne et autres villes d’Allemagne et
d’Europe du nord ne sont certes pas de même nature mais, à la réflexion, ne
sont pas sans analogie de causes.
D’abord, l’agression anti-juive à
Marseille ne peut être qualifiée de fait divers isolé et exceptionnel.
Ayant pour auteur un jeune
turco-kurde, elle s’inscrit dans la continuité et la multiplicité des attentas
antisémites et autres agressions perpétrées par des musulmans fanatisés. Ces
derniers ont été trop souvent et presque systématiquement présentés comme des
« déséquilibrés » ou des « loups solitaires » à des fins
d’injection constante et massive de la drogue « padamalgame ». On
avait pratiqué notamment ce déni de vérité avec Mohamed Merah.
Aujourd’hui, c’est de moins en
moins possible et, de toute façon, ça ne prend plus ! Les Français, juifs,
chrétiens ou autres, ne gobent plus cette désinformation. Ou bien alors ils se
demandent si ce n’est pas l’idéologie islamique fondamentale ingérée à forte
dose qui produirait pareils comportements.
Les agressions sexuelles à
Cologne et ailleurs ne peuvent évidemment pas être présentées comme le fait de
« loups solitaires » puisque perpétrées par des hordes visiblement
organisées, dominatrices et conquérantes, visant à humilier des populations à
soumettre selon une frénésie de janissaires victorieux.
Les réfugiés bien sûr ne sont pas
tous dans cet état d’esprit, surtout ceux des minorités chrétiennes dont
beaucoup, on le sait, ont été jetés par dessus bord ou assassinés de
différentes manières par de drôles de réfugiés.
La faute criminelle de l’ancienne
bolchévique Angela Merkel, toujours trop imprégnée des schémas marxistes
d’interprétation du réel, a été de ne vouloir rien savoir et de pratiquer un
étourdissant déni de réalité.
Toutes les populations musulmanes
de l’Orient ne sont pas modelées par les mystiques idéalisés d’un doux soufisme
non violent.
Tous les kurdes ne sont pas de
tendres humanitaires et, non sans exceptions admirables, il y a un siècle,
beaucoup dans leur peuple rivalisaient de cruauté avec les Turcs pour
exterminer les Arméniens et autres chrétiens.
Les deux récents faits divers de Marseille et de Cologne,
bien différents en apparence, peuvent donc pourtant s’analyser selon une
analogie dans la motivation idéologico-psychologique.
Le soi-disant antiracisme s’avère
toujours plus comme un « laisser-passer-laisser-faire », un
encouragement à l’authentique racisme de l’islamisme « mains rouges »
qui s’infiltre par trop sous le couvert de « l’islam patte blanche ».
Bernard Antony.