mercredi 14 octobre 2015

Tristes chiffres révélateurs de la puissance du jihâdisme dans l’islam en France

Selon les chiffres du gouvernement et des rapports parlementaires, le chiffre actuel des « Français » engagés dans des activités jihâdistes serait de 1880. 491 seraient sur les fronts avec l’État islamique auxquels s’ajoutent un ombre indéterminé d’enfants censés assurer l’avenir du califat. Enfin, le gouvernement a recensé 133 tués parmi ces jihâdistes depuis janvier 2013.

Et ces chiffres vont aller en augmentant. Cela est considérable, énorme même !

Pour qu’il y en ait des centaines au combat, cela signifie en effet que dans l’oumma de France, il y a forcément un profond vivier de jihâdistes potentiels et un vaste courant de sympathie. Un spécialiste nous confie que, très probablement pour un qui rejoint l’État islamique, il en est plus de dix qui rêvent d’en faire autant. Et les jihâdistes qui sont passés à l’acte ont des milliers d’admirateurs dans les mosquées salafistes des différentes obédiences, saoudiennes, pakistanaises et autres.

Et si, par quelque mot d’ordre non impossible du califat, le jihâd devait être par eux principalement mené en France, alors qu’en serait-il ? D’abord, pour le moins, les cinq cents terroristes prêts à tout, de retour chez nous, pourraient être mis en action : bombes dans les transports publics, sabotages de voies, incendies de forêts, mitraillages et autres actions criminelles « à la balle et au couteau » qui ne nécessitent pas un très haut degré de compétence. De plus, quand on considère les formes les plus élémentaires du terrorisme telles que pratiquées aujourd’hui en Israël, on imagine en effet aisément ce que cela donnerait en France si, au signal, quelques vingt mille jeunes fanatiques salafistes "français" se mettaient de surcroît à poignarder leurs concitoyens aux arrêts de bus ou devant les cinémas.

Mais que l’on se rassure, pareil scénario est dans l’immédiat peu probable alors que dans sa grande sagesse le jihâdisme, qui sait patienter, préfère ne pas risquer d’interrompre l’immense déferlante de l’oumma sur l’Europe. Et le pape François lui-même, pourtant si accueillant pour l’islam, n’a-t-il pas émis qu'il pouvait y avoir des terroristes « infiltrés » parmi les réfugiés.

Certes !


Patience : Nous publierons sous peu une deuxième puis une troisième liste des écrivains qui ont répondu positivement à nos courriers personnalisés.