mardi 13 octobre 2015

Charlie : pourquoi « dissolution » plutôt qu’ « interdiction ».

Malgré le silence de la plupart des médias du « politico-pornocratiquement correct » préférant ne pas se risquer à répliquer à notre initiative, notre pétition pour exiger la dissolution de Charlie reçoit de jour en jour toujours plus de signatures. Nous allons d’ailleurs en tirer une édition « papier » à distribuer au gré de chacun.

Certains nous demandent pourquoi nous avons préféré utiliser le terme de « dissolution » plutôt que celui d’ « interdiction ». La vérité c’est que nous avons un peu hésité. La raison qui nous a déterminés c’est que la législation dite anti-raciste permet des poursuites uniquement au motif d’injures, diffamations ou incitations à la haine en raison de « l’appartenance à une race, à une nation, à une religion ». Mais elle ne prend pas en compte ce que nous désignons pour notre part comme « le racisme anti-humain ».
Or il n’y a aucune chance pour qu’une instance judicaire applique à la couverture ignominieuse de Charlie le constat d’une incitation à crime contre l’humanité, ce qu’elle constitue pourtant objectivement, car c’est l’humain frappé de trisomie qu’elle atteint par son mépris.
Mais sans nul doute hélas on condamnerait l’Agrif à une très forte amende pour procédure abusive, comme cela a été abominablement le cas dans l’affaire « Piss-Christ » à Avignon.

En revanche, l’exigence de « dissolution » nous paraît plus facile à motiver et à exiger. Car à Charlie, où ils s’engueulent d’ailleurs comme des charognards pour se partager le pactole des aides et subventions qu’ils ont reçues, c’est vraiment de détournement de fonds publics dont il s’agit.
C’est en effet avec l’argent de nos impôts, avec l’ argent des parents de petits trisomiques, avec l’argent des chrétiens sans cesse abominablement injuriés dans leur foi par l’excrémentation des blasphèmes obscènes que survit encore dans son infamie Charlie-Charpie.
Il faut remarquer qu’on ne s’avise plus dans ce torchon de caricaturer obscènement Mahomet.
Mais ils savent bien que de la part des chrétiens qui réprouvent la violence terroriste ils ne risquent rien. Sauf des plaintes légales de l’Agrif, le plus souvent pour le principe de ne pas laisser passer les plus lourdes abominations sans au moins marquer, pour l’honneur, notre détermination dans la non acceptation. Mais certes, sans illusion, eu égard à la conception si partiale de la justice de certains magistrats carriéristes ou de ceux du syndicat idéologique de la magistrature.

Cela dit, nous n’avons que du dégout et du mépris pour Charlie-Hebdo mais pas autre chose que de la commisération sans haine, et même de la pitié, pour les misérables drogués de vulgarité qui s’y adonnent à longueur d’années à fournir les mêmes productions d’exécration- excrémentation.



P.S. : La prochaine liste des écrivains de notre Salon, assortie de leur brève présentation, sera publiée avant la fin de la semaine.