Malgré le silence de la plupart
des médias du « politico-pornocratiquement correct » préférant ne pas
se risquer à répliquer à notre initiative, notre pétition pour exiger la
dissolution de Charlie reçoit de jour en jour toujours plus de signatures. Nous
allons d’ailleurs en tirer une édition « papier » à distribuer au gré
de chacun.
Certains nous demandent pourquoi
nous avons préféré utiliser le terme de « dissolution » plutôt que
celui d’ « interdiction ». La vérité c’est que nous avons un peu
hésité. La raison qui nous a déterminés c’est que la législation dite
anti-raciste permet des poursuites uniquement au motif d’injures, diffamations
ou incitations à la haine en raison de « l’appartenance à une race, à une
nation, à une religion ». Mais elle ne prend pas en compte ce que nous
désignons pour notre part comme « le racisme anti-humain ».
Or il n’y a aucune chance pour
qu’une instance judicaire applique à la couverture ignominieuse de Charlie le
constat d’une incitation à crime contre l’humanité, ce qu’elle constitue
pourtant objectivement, car c’est l’humain frappé de trisomie qu’elle atteint
par son mépris.
Mais sans nul doute hélas on
condamnerait l’Agrif à une très forte amende pour procédure abusive, comme cela
a été abominablement le cas dans l’affaire « Piss-Christ » à Avignon.
En revanche, l’exigence de
« dissolution » nous paraît plus facile à motiver et à exiger. Car à
Charlie, où ils s’engueulent d’ailleurs comme des charognards pour se partager
le pactole des aides et subventions qu’ils ont reçues, c’est vraiment de
détournement de fonds publics dont il s’agit.
C’est en effet avec l’argent de
nos impôts, avec l’ argent des parents de petits trisomiques, avec l’argent
des chrétiens sans cesse abominablement injuriés dans leur foi par
l’excrémentation des blasphèmes obscènes que survit encore dans son infamie
Charlie-Charpie.
Il faut remarquer qu’on ne
s’avise plus dans ce torchon de caricaturer obscènement Mahomet.
Mais ils savent bien que de la
part des chrétiens qui réprouvent la violence terroriste ils ne risquent rien.
Sauf des plaintes légales de l’Agrif, le plus souvent pour le principe de ne
pas laisser passer les plus lourdes abominations sans au moins marquer, pour
l’honneur, notre détermination dans la non acceptation. Mais certes, sans
illusion, eu égard à la conception si partiale de la justice de certains magistrats
carriéristes ou de ceux du syndicat idéologique de la magistrature.
Cela dit, nous n’avons que du
dégout et du mépris pour Charlie-Hebdo mais pas autre chose que de la
commisération sans haine, et même de la pitié, pour les misérables drogués de
vulgarité qui s’y adonnent à longueur d’années à fournir les mêmes productions
d’exécration- excrémentation.
P.S. : La prochaine liste
des écrivains de notre Salon, assortie de leur brève présentation, sera publiée
avant la fin de la semaine.