vendredi 25 septembre 2015

Sur mon texte d'hier

Qu’ils me pardonnent, les quelques rares, gentiment naïfs, qui ont pris au premier degré ma révélation d’hier, 24 septembre, sur un prochain voyage du pape sur les lieux de l’abomination communiste, « l’horizon indépassable de l’esclavagisme moderne ».

Car mon texte, à vocation pédagogique, est à sa manière un premier acte de réanimation à notre époque de la mémoire des immenses crimes contre l’humanité du communisme, si médiatiquement et culturellement occultés que l’on n’évoque plus guère dans l’Église catholique en Occident.

Nous les évoquerons à nouveau pour notre part jusqu’en 2017, le centenaire de la Révolution bolchévique et de la création de la Tchéka et du Goulag. Et nous ne cesserons pas de réclamer, avec nos frères des pays martyrisés, la nécessité d’un grand  tribunal de l‘histoire pour juger des crimes contre l’humanité du communisme réel.


Par quelle étrange sélectivité, par quel curieux racisme n’évoquerait-on, avec raison, que ceux du nazisme et pas ceux du communisme ?