- On nous trompe sur les chiffres !
-
Tout le monde sait que l’accueil d’un quota de 24 000 migrants en France,
présenté comme bien acceptable, est une nouvelle baliverne de François
Hollande.
- D’abord, selon le dernier chiffre officiel du ministère
de l’Intérieur, la France accueille déjà depuis des années entre 200 000 et 260
000 « migrants permanents » (sic !) !Mais ces chiffres sont
falsifiés. Les spécialistes qui informent le gouvernement débattent entre eux
d’une fourchette d’évaluation du nombre des nouveaux immigrés clandestins
allant de 300 à 400 000.
Considérons
encore ces chiffres précis irréfutables : 282 000 de ces étrangers ont
bénéficié en 2013 de l’Aide Médicale d’État. Or tous n’étaient pas malades. Aux
clandestins, il faut ajouter les légaux : en 2014 la France a accueilli 65
000 demandeurs d’asile.
On
le vérifie, la fourchette d’estimation entre 200 000 et 260 000 est donc une
tromperie.
- On nous dissimule la vérité sur la provenance des migrants.
Il n’est pas vrai qu’ils soient quasiment tous des
réfugiés d’Irak et de Syrie. Le flot certes important de ces derniers n’a pas
interrompu les habituelles arrivées :
- Celles en provenance de l’immense population des États
musulmans d’Asie Centrale et nord-indienne et aussi du Caucase russe,
tchétchène et autres.
- Celles en provenance de plus de 20 pays d’Afrique, des
Comores au Maghreb, migrants « économiques » ou demandeurs d’asile.
Parmi ces masses, certes se trouvent des malheureux
chrétiens, animistes et musulmans aussi, fuyant les abominations du grand
mouvement planétaire de ressurgissement massif de l’islam, non seulement celui
de la dhimmitude et de la charia, mais celui du jihâd, celui sans cesse
séculairement renouvelé de l’imitation de Mahomet tel qu’il est exposé avec
toute sa cruauté, n’en déplaise aux ignorants ou aux menteurs et aux autruches
politiciennes et religieuses, dans les livres sacrés de l’islam, le Coran et
les Hadîths.
L’Europe ne devrait accueillir que des persécutés, non pas
des foules de fanatiques hurlant victorieusement « Allah
Akbar ! » à leur arrivée, et que des milliers d’imams fanatiques
s’emploieront à « encadrer » dans les mosquées-pilotis de l’expansion
islamique.
·
C’est principalement, mais pas seule, la Turquie qui
pousse les réfugiés en Europe.
L’immense majorité des fugitifs musulmans, irakiens ou
syriens, est établie en Turquie, vaste pays, pour l’essentiel de même culture
islamique.
Or c’est la brutalité à l’évidence sur ordre gouvernemental
de la police turque, désormais générale, dans tous les camps, qui pousse les
réfugiés à fuir vers la Grèce irresponsablement si ouverte et vers les autres
pays des Balkans.
Les richissimes États islamiques de la péninsule arabique,
Arabie Saoudite, Koweït, Qatar, Émirats Arabes Unis, ne veulent accueillir
aucun réfugié, mais ne refusent pas des aides financières pour en favoriser
l’implantation en Europe, pour le plus grand bien de l’islam.
·
La Turquie, comme l’Arabie Saoudite, a favorisé
l’État Islamique.
Des notabilités catholiques françaises se sont empressées
d’affirmer, au début de ses avancées fulgurantes, que « Daesch »,
comme ils disent, n’était pas un « État » et qu’il n’était pas
« Islamique ».
C’était un affligeant et inutile déni de réalité sans
nécessité diplomatique. D’autres distinguos pouvaient être formulés sans
offenser la vérité.
« Daesch », ce n’est pas fondamentalement autre
chose que l’Arabie Saoudite et autres États de stricte application de la
charia : certes avec un surplus d’atrocités telles que pratiquées au long
des siècles à leur début par tous les mouvements de reconquête de la
« rigueur islamique » originelle.
La Turquie islamiste, farouchement hostile à la moindre
repentance sur le génocide des Arméniens et autres chrétiens au siècle dernier,
a favorisé l’État Islamique, son commerce, son armement, l’arrivée de ses
volontaires par milliers. Ce n’est que par leur art consommé de la taqqyia que
ses dirigeants, Monsieur Erdogan en tête, ont pu abuser des gogos occidentaux
par une adhésion formelle à la « coalition anti-Daesch » et quelques
dérisoires actions de « faire semblant », tout en s’occupant
principalement de mener la guerre contre leurs ennemis kurdes.
La politique turque, comme nous l’avions titré en couverture
de Reconquête, c’est « le grand retour ottoman », réalité sur
laquelle notamment madame Merkel est étrangement aveugle ou masochistement
complice.
·
Étrange aveuglement aussi des Occidentaux et du
gouvernement israélien.
Dès les premières nouvelles de l’avancée vers Palmyre
d’une longue colonne dans le désert très plat de véhicules de l’État Islamique,
cibles idéales pour l’aviation, nous avions manifesté notre grand étonnement,
et bien d’autres de même, après nous, devant la stupéfiante inertie de la « coalition ».
À ce jour, aucune explication n’a été fournie. La vérité, c’est qu’on a
abandonné Palmyre à la destruction par ces sauvages et ses conservateurs au
massacre.
De même, si l’on sait bien que le gouvernement israélien
considère les puissances de l’axe chiite, (Iran, Syrie, Hezbollah), comme des
ennemis prioritaires, il est tout de même curieux qu’il dédaigne, comme il
semble le faire jusqu’à ce jour, le danger de l’État Islamique. Celui-ci
désormais menace pourtant le Liban et la Jordanie et aussi l’Égypte dans le
Sinaï. Israël demeurerait-il vis-à-vis de l’islam radical dans ce que Charles
Enderlin, correspondant permanent de France 2 à Jérusalem, a appelé en titre de
l’un de ses livres « Le grand aveuglement » ?
·
Déni de vérité enfin sur l’importance majeure du
facteur islamique dans la déferlante migratoire.
À qui mieux mieux nos gouvernants et les autorités
spirituelles et morales répètent que le droit d’asile ne se discute pas (tiens,
tiens ! Quelle étrange amnésie du passé !) et que l’on ne saurait
tenir compte des appartenances des requérants de ce droit.
D’abord, comme si l’accueil interdisait de savoir qui l’on
accueille et qui l’on va accueillir par millions au long des prochaines années,
à en croire madame Merkel dans ses premiers élans d’ouverture sans limite.
Certes, toute personne quelle que soit son origine, fuyant un danger évident,
mérite compassion et assistance. Mais ce n’est tout de même pas exactement le
cas des migrants musulmans fuyant d’abord le carcan de l’État Islamique, mais
qui ensuite, pour la plupart, ont été expulsés de Turquie, grand pays musulman
de près de 80 millions d’habitants qui peut tout de même accueillir trois
millions de « frères » de l’oumma, soit à peu près vingt fois moins
proportionnellement que le Liban (2 millions de réfugiés reçus par une
population de 5 millions) et dix fois moins proportionnellement que la
Jordanie.
Comment ne pas voir tout de même l’aveuglante évidence
que, globalement, l’attitude islamique est de faire accueillir les migrants
musulmans par les pays pas encore « d’islam » ?
Comment la plupart des responsables des gouvernements et
l’Union Européenne, à l’exception des dirigeants plus lucides de la Hongrie, de
la Pologne, de la Tchéquie et de la Slovaquie, peuvent-ils à ce point ne pas
tenir compte de la réalité de l’idéologie islamique, de celle de l’oumma et de
son modèle de société ?
·
Responsabilité allemande – grandeur et tragique
faiblesse du peuple allemand.
L’influence des philosophes politiques a été
peut-être plus catastrophique encore sur le grand peuple Allemand que sur la
France. Les idéologies tendent à y devenir folles. Le nationalisme allemand
exacerbé et raciste y a puisé sa légitimation, sa logique folle et son
romantisme nihiliste.
Angela Merkel, qui fut elle aussi, comme la majorité des
Allemands, une adepte du totalitarisme, mais version communiste, est devenue
comme tant d’autres, par repentance, tout aussi exaltée et sans mesure dans un
extrémisme inverse, celui de l’abdication antiraciste par idéologie de toute
défense civilisationnelle, nécessaire, légitime et mesurée.
Les conséquences en sont déjà catastrophiques et le seront
encore plus si la chancelière fatiguée de l’Allemagne peut continuer à
déterminer la politique européenne avec toutes ses alternances d’incohérentes
réactivités. Il ne faut hélas évidemment pas compter sur le gouvernement
français, presque en tous points inféodé à l’allemand, pour interrompre la
course vers la tragédie. Épargnons-nous dans cette analyse l’ironie sarcastique
qu’appellent sans cesse la gaucherie des mots, le ridicule des postures et la
nullité intellectuelle de notre président de la République.
·
Défendre la charité politique.
Elle implique fondamentalement d’agir pour épargner à nos
peuples les tragédies vers lesquelles nous mènent les dénis de réalité,
l’ignorance et les illusions et le terrorisme intellectuel.
La maladie psychiatrique appelée xénophobie, comme toute
phobie, est certes une triste chose. Mais la xénophilie islamophile
obligatoire, parée d’un humanitarisme faux est une forme encore plus dangereuse
de racisme. Le premier devoir est d’en prendre conscience et d’y résister, dans
l’alliance de la foi, de l’intelligence et du courage.
·
Que faire concrètement ?
D’abord, par tous les moyens, de toutes nos forces,
développer la résistance du Pays Libre ! La développer face au racisme
hypocrite de cette xénophilie islamophile obligatoire qu’il faut constater,
analyser, dénoncer partout.
Aux prochaines élections régionales, il faudra lire
attentivement les programmes des candidats.
Pour que l’on puisse voter pour eux :
- Ils devront explicitement défendre le respect de la vie
innocente, base fondamentale de l’écologie intégrale, l’écologie humaine.
- Ils devront explicitement encore mettre en exergue l’avancée
de l’islam sur les décombres et les vides de nos sociétés déchristianisées et
atomisées et exprimer leur refus de l’islamisation.
Par ailleurs, il s’agit enfin de faire comprendre que la
poursuite d’une expansion de plus en plus territoriale et socialement
oppressante de l’islam étouffe les aspirations de très nombreux musulmans à une
véritable liberté religieuse telle qu’elle est interdite dans les 57 pays de
l’oumma. Ce sont nos amis anciennement musulmans convertis au christianisme qui
sans cesse nous en avertissent : attention, derrière « l’islam qui
fait patte blanche » s’avance « l’islam mains rouges ».