lundi 14 septembre 2015

L’actualité « tsunamislamique » et la « trotskinformation » totalitaire : « entrez et remplissez ! »

Le premier massif matraquage totalitaire du début de l’année et son orchestration  grégaire avec : « Je suis Charlie ! » apparaît désormais bien dérisoire au regard de la nouvelle séquence de soumission idéologique que nous subissons, de dimension plus planétaire, sur la ligne : « Entrez et remplissez ! ».

On y retrouve à l’œuvre, particulièrement chez nous, en France, les mêmes batteurs des tam-tam médiatiques du conditionnement à l’acceptation complaisante de la rapide, grande et virile substitution islamique à nos sociétés démographiquement vieillies, spirituellement et culturellement décomposées.

Les mêmes gourous de la charlatanerie Charlie, clercs et laïques, de toutes religions, sectes et loges, en une fascinante convergence collaborationniste et génocidaire, jouent pareillement de leurs flûtes pour drainer les grandes masses vers l’anéantissement suicidaire dans les deux étapes successives de la dhimmitude et de l’injonction coranique : « obéissez à Allah, obéissez à son prophète ! » (s 47 – v 33…)

Cela ira désormais toujours plus vite avec l’attraction grandissante de la pesanteur sociale et morale de l’oumma islamique.

Celle-ci, en Europe, est sans cesse renforcée quotidiennement par les afflux de populations de migrants concoctés en Turquie où l’on ne veut pas les recevoir durablement, mais nous les envoyer, et dans les pays de la péninsule arabique où l’on ne veut en accueillir aucun.

Face à ce gigantesque et peut-être mortel bouleversement fondamental de nos nations vient la question du pourquoi. 

Outre les guerres et la poussée fondamentale du sud vers le nord, de l’islam vers les pays déchristianisés, deux facteurs principaux  se conjuguent dans ce phénomène. 

- Le premier est celui d’une fausse charité dévoyée en une sentimentalité d’ouverture sans limite. Elle est psychiatriquement de nature hystérique, se traduisant par une fascination collaborationniste, par une envie de soumission à la puissance virile d’une domination islamique conquérante. On a déjà vu cela par rapport au nazisme et au communisme, et ce sont quelquefois les mêmes individus, ou leurs semblables, qui ont été affectés successivement par de pareilles attractions pour les puissances dominatrices rouges, noires ou vertes.

- Le deuxième facteur est celui de l’action des sempiternels militants du programme révolutionnaire fondamental : « du passé faisons table rase ». Elle n’est plus assortie de quelque idée de construction d’un nouvel ordre tel que ce fut le cas du marxisme-léninisme dans la construction de l’horreur soviétique.

L’important est de désintégrer, décomposer, détruire définitivement la société, toujours assimilée à un ordre injuste à renverser, qu’elle soit encore partiellement subsistante sur des fondements chrétiens ou sur les normes bourgeoises de la laïcité républicaine. 

Si le communisme léniniste soviétique a subi au siècle dernier un grand effondrement, ses avatars trotskistes, et notamment « soixantuitards », n’ont cessé de pulluler dans les médias et ce qu’ils appellent la « culture », qui est en fait « la culture de mort ».     

On y utilise les mêmes procédés de mensonge, d’amalgame, de diffamation, de persiflage, de sidération, de démoralisation, d’intimidation, des révolutions culturelles lénino-trotsko-maoïstes qui constituent dans certaines écoles de journalisme comme le substrat presque naturel de leur « profession ».

Et on n’y craint pas l’utilisation sans vergogne des plus grosses ficelles de la désinformation.

On a pu par exemple, parmi mille faits de bourrage de crâne, entendre le 12 septembre un correspondant à Varsovie d’une radio « de service public » traiter de « nazis » les Polonais dénonçant les menaces de la déferlante migratoire poussée par l’islamisme. Pour appuyer sa description d’une telle abomination xénophobe, le camarade journaliste n’a pas hésité à décrire ces méchants Polonais comme étant tous « des blonds aux yeux bleus, aux cheveux soigneusement plaqués » (sic !) ; tous signes extérieurs en effet indubitablement très emblématiques d’une appartenance nazie ! 

Le lendemain, sur la branche « culture » de la même radio de service public, un pseudo-débat sur l’identité nationale - valeur périmée et abominable, bien sûr - nous faisait entendre une orgueilleuse donzelle, sûre d’elle et dominatrice, affirmer que certes il existait de plus en plus chez nous des quartiers où il n’y avait que mosquée, commerces halal, cafés orientaux et où l’on ne parlait plus en Français. On pouvait donc de prime abord s’y sentir un peu à l’étranger.

Mais cette concession faite à la réalité, elle ajoutait aussitôt que « probablement » (sic !), car elle n’en avait aucune expérience, on ne serait sans doute « pas mieux accueilli dans un village du Beaujolais à 11 heures du matin avec des chiens aboyant dans les cours de maisons fermées » (resic !).

On pèse avec pareille assertion imaginaire le mépris d’un nihilisme raciste pour la réalité de notre peuple, de nos provinces, pour nos villages, nos maisons (qu’autrefois d’ailleurs, comme dans mes Pyrénées, on ne fermait jamais à clef dans la journée) et même pour la possession de bons chiens qui ont bien le droit et même le devoir d’aboyer quand progresse de plus en plus l’insécurité. 

Comme si au demeurant les locaux des radios étaient ouverts à tout le monde et sans surveillance… 

Ainsi, à chaque instant, par mille canaux, le matraquage médiatique accompagne ou précède le parachèvement totalitaire d’un antiracisme en réalité sublimement liberticide et raciste afin que, de ce qui subsiste encore de vie paisible issue d’une grande civilisation, il soit fait « table rase ». Dans l’utopie d’une humanité sans frontières conjuguant la bonté islamique et une idyllique laïcité. 

Mais en fait de table rase de notre histoire, ce sera alors pour tous l’ordre de la « table servie », cinquième sourate du Coran, que, faute de tout lire, les chrétiens paresseux pourraient au moins parcourir pour apprendre le « terrible châtiment » qu’Allah promet (v 73) à « quiconque attribue des associés à Dieu », comme les chrétiens, tout comme « le châtiment ignominieux pour les incrédules ».