Mon
texte, ce jour, ne sera pas long.
Je
pars pour Bordeaux où à 19 heures je tiendrai la réunion annoncée.
J’irai d’abord déjeuner avec mes si chers amis Mireille et
François de Badereau, par ailleurs fidèles délégués de l’AGRIF.
François
est, on le sait, selon moi, et je m’y connais, le plus talentueux des
connaisseurs de vin de Bordeaux.
Dans
l’après-midi, ce sera la retrouvaille au château de
« Picque-Caillou » (Pessac-Léognan) où Paulin Calvet peut être plus
que satisfait de ses vendanges. 2015 sera en effet à l’évidence une « très
grande année » pour les vins de Bordeaux.
Ainsi
je vous donne donc enfin une bonne nouvelle dans cette conjoncture inquiétante.
Car peut-être sommes-nous dans la dernière période de notre histoire où l’on
peut encore boire à peu près librement (et pas partout !) nos vins et
déguster notre charcuterie. Car dans certaines villes et certains
quartiers de ce qui était encore il y a peu « chez nous », de
menaçantes pressions prohibitionnistes du voisinage islamique sans cesse
grandissant ne cessent de se multiplier.
Certains
blafards intellocrates pourront penser que les enjeux de nos combats sont quand
même bien au-dessus de la défense vinicole et charcutière. Que nenni !
Professer
cela, c’est une monstruosité.
Être
chrétien implique de considérer le pain et le vin avec un infini respect. Quant
à la charcuterie, nourriture que nous offre notre « frère le porc »,
comme aurait dit saint François d’Assise, il n’est pas anodin que tout ait été
mis en œuvre par l’eurocrassie génocidaire de notre agriculture pour la
frelater puis la détruire.
J’arrête
là car je m’aperçois que l’heure avance et je risque donc encore de perdre le
peu de points qui me restent pour pouvoir encore rouler.
À
demain peut-être sinon, si Dieu le veut, à lundi !