jeudi 10 septembre 2015

Blog du jour

Mon texte, ce jour, ne sera pas long.

Je pars pour Bordeaux où à 19 heures je tiendrai la réunion annoncée.

J’irai d’abord déjeuner avec mes si chers amis Mireille et François de Badereau, par ailleurs fidèles délégués de l’AGRIF.

François est, on le sait, selon moi, et je m’y connais, le plus talentueux des connaisseurs de vin de Bordeaux.

Dans l’après-midi, ce sera la retrouvaille au château de « Picque-Caillou » (Pessac-Léognan) où Paulin Calvet peut être plus que satisfait de ses vendanges. 2015 sera en effet à l’évidence une « très grande année » pour les vins de Bordeaux.

Ainsi je vous donne donc enfin une bonne nouvelle dans cette conjoncture inquiétante. Car peut-être sommes-nous dans la dernière période de notre histoire où l’on peut encore boire à peu près librement (et pas partout !) nos vins et déguster notre charcuterie. Car dans certaines villes et certains quartiers de ce qui était encore il y a peu « chez nous », de menaçantes pressions prohibitionnistes du voisinage islamique sans cesse grandissant ne cessent de se multiplier.

Certains blafards intellocrates pourront penser que les enjeux de nos combats sont quand même bien au-dessus de la défense vinicole et charcutière. Que nenni !

Professer cela, c’est une monstruosité.

Être chrétien implique de considérer le pain et le vin avec un infini respect. Quant à la charcuterie, nourriture que nous offre notre « frère le porc », comme aurait dit saint François d’Assise, il n’est pas anodin que tout ait été mis en œuvre par l’eurocrassie génocidaire de notre agriculture pour la frelater puis la détruire.

J’arrête là car je m’aperçois que l’heure avance et je risque donc encore de perdre le peu de points qui me restent pour pouvoir encore rouler.


À demain peut-être sinon, si Dieu le veut, à lundi !