vendredi 12 décembre 2014

Politique et connivence homosexuelle.


J’écris généralement sur ce blog 3 ou 4 fois par semaine en fonction d’une lecture, d’une émission ou d’une rencontre du matin ou de la veille. Mais je ne me crois pas tenu d’exprimer toujours des réactions « à chaud » sur des faits qui motivent de l’effervescence parmi nos amis et voisins politiques.

Il faut en effet souvent vérifier l’exactitude des faits et se donner le temps de les analyser. C’est évidemment ce que je fais encore plus pour mes articles dans Reconquête, La Griffe ou ailleurs.

Ainsi j’ai reçu depuis hier beaucoup d’appels m’informant de turbulences au sein du Front National à propos d’une attribution de responsabilités importantes sur décision du vice-président Philippot à un adhérent de l’UMP – ce qui ne fait pas de difficulté – mais militant aussi dans le « lobby » homosexuel.

Je n’en dirai pas plus aujourd’hui sur ce fait dont je ne connais pas assez les éléments. Pour l’heure, on peut se reporter à l’article que j’ai écrit jadis pour Reconquête (n°290 août septembre 2012) sur « l’émergence du phénomène homosexuel en politique », appuyant ma réflexion sur cette phrase de Jacques Bainville : « Une minorité, c’est un réseau ».

Je crois en effet qu’une partie des homosexuels sont à notre époque engagés dans une voie idéologique, clairement identifiable dans leur presse communautaire, en trois étapes :
1)     revendication du droit à la différence
2)     revendication du droit à une soi-disant égalité : mariage, adoption d’enfants, etc…
3)     affirmation d’une supériorité fondamentale, notamment en matière culturelle.

Sur ce phénomène, l’invocation par des responsables politiques du respect de la vie privée, c’est évidemment un peu court. Surtout lorsque les minorités discrètes deviennent des majorités peut-être moins discrètes lorsqu’elles deviennent majoritaires en certaines instances de direction.