vendredi 5 décembre 2014

Daesch sur Tescou

Je me suis un peu promené hier après-midi dans le gaillacois, ce beau vignoble où non loin, dans la forêt de Sivens, coule le Tescou.

C’est sur ce petit affluent du Tarn qu’avaient commencé les travaux d’aménagement d’une retenue d’eau, souhaitée par les agriculteurs, d’un volume ne relevant pas du gigantesque, et certainement pas susceptible de bouleverser l’équilibre écologique du pays.

L’exaspération des paysans et de tous les habitants grandit devant l’incroyable tolérance dont bénéficie la bande de pseudo-écologistes à gueule de Huns qui s’y sont installés. La mort certes regrettable de Rémi Fraisse décédé au cours de l’une de leur manifestation ultra-violente, confère jusqu’à ce jour à ces frapadingues aussi puants que drogués une totale impunité dans la poursuite de leur délirante entreprise de retour à l’état de nature non sans cartes bancaires, automobiles et vols incessants, dans les propriétés alentour, du gasoil dont ils ont besoin pour se chauffer et dont le reliquat, comme toutes leurs autres déjections, se déverse sans aucune épuration dans la jolie rivière qui, si ça continue, aura du mal à se remettre de leur pollution.

Au moment de la pause pour le casse-croûte de midi dans un petit restaurant, j’ai donc bu un coup de Gaillac nouveau avec des artisans, paysans et ouvriers du cru qui régleraient bien le problème eux-mêmes, sans besoin de gendarmes trop peu mobiles et sans nécessité de grenades offensives. Disons, d’une manière rugbystique…

Mais ils savent bien qu’alors l’autorité défaillante de l’État se ressaisirait… contre eux. Et contre eux, inéluctablement, les hurlements au danger fasciste des traîne-babouches de la médiacrassie gauchiste. 

André, un vigneron que je connais, toujours aussi pétillant que son « Gaillac perlé », me disait : « Mais regardez-les donc, ces forcenés, barricadés, enfoulardés, masqués, avec leurs drapeaux verts. Ma parole, ils vont mettre certains d’entre nous dans la dèche avec leurs ravages mais eux, ils se prennent pour Daesch ! »

Et son voisin d’ajouter : « On ne voit que leurs yeux fiévreux d’hallucinés. Ils ne boivent pas de vin, comme les égorgeurs de là-bas, mais comme eux ils se « shootent » avec les mêmes drogues ». Et André de renchérir : « Dans leurs délires et hallucinations, ils seraient capables de tout ! » De fait, comment ne pas voir chez ces allumés un inquiétant phénomène de mimétisme avec les paumés de chez nous qui deviennent là-bas les bourreaux préposés à l’horreur des décapitations ?

Combien de temps tolérera-t-on leur occupation de terres d’autrui, leur méthode de contrôle islamo-tchékiste ?

N’a-t-on pas dissous pour cent fois moins que leurs agissements illégaux des groupuscules d’extrême-droite ? La vérité, c’est que la gauche au pouvoir a toujours beaucoup de complaisance pour ceux de l’extrême-gauche, rouge ou verte qui ont toujours constitué son vivier de recrutement. N’est-ce pas M. Cambadélis, n’est-ce pas Madame Taubira ?

PS : la vente aux chinois de l’aéroport de Toulouse :
C’est un acte abject de bradage de notre patrimoine, de piétinement de la mémoire de Toulouse, la ville de l’aeropostale et de l’aérospatiale, la ville de Mermoz, de Didier Daurat. C’est un mépris du passé et une injure à l’avenir. C’est une trahison.

Je compte en reparler plus longuement lundi prochain.