Je me suis un peu promené hier après-midi dans le
gaillacois, ce beau vignoble où non loin, dans la forêt de Sivens, coule le
Tescou.
C’est
sur ce petit affluent du Tarn qu’avaient commencé les travaux d’aménagement
d’une retenue d’eau, souhaitée par les agriculteurs, d’un volume ne relevant
pas du gigantesque, et certainement pas susceptible de bouleverser l’équilibre
écologique du pays.
L’exaspération
des paysans et de tous les habitants grandit devant l’incroyable tolérance dont
bénéficie la bande de pseudo-écologistes à gueule de Huns qui s’y sont
installés. La mort certes regrettable de Rémi Fraisse décédé au cours de l’une
de leur manifestation ultra-violente, confère jusqu’à ce jour à ces
frapadingues aussi puants que drogués une totale impunité dans la poursuite de
leur délirante entreprise de retour à l’état de nature non sans cartes
bancaires, automobiles et vols incessants, dans les propriétés alentour, du
gasoil dont ils ont besoin pour se chauffer et dont le reliquat, comme toutes
leurs autres déjections, se déverse sans aucune épuration dans la jolie rivière
qui, si ça continue, aura du mal à se remettre de leur pollution.
Au
moment de la pause pour le casse-croûte de midi dans un petit restaurant,
j’ai donc bu un coup de Gaillac nouveau avec des artisans, paysans et ouvriers
du cru qui régleraient bien le problème eux-mêmes, sans besoin de gendarmes
trop peu mobiles et sans nécessité de grenades offensives. Disons, d’une
manière rugbystique…
Mais
ils savent bien qu’alors l’autorité défaillante de l’État se ressaisirait…
contre eux. Et contre eux, inéluctablement, les hurlements au danger fasciste
des traîne-babouches de la médiacrassie gauchiste.
André,
un vigneron que je connais, toujours aussi pétillant que son « Gaillac
perlé », me disait : « Mais regardez-les donc, ces forcenés,
barricadés, enfoulardés, masqués, avec leurs drapeaux verts. Ma parole, ils
vont mettre certains d’entre nous dans la dèche avec leurs ravages mais eux,
ils se prennent pour Daesch ! »
Et
son voisin d’ajouter : « On ne voit que leurs yeux fiévreux
d’hallucinés. Ils ne boivent pas de vin, comme les égorgeurs de là-bas, mais
comme eux ils se « shootent » avec les mêmes drogues ». Et
André de renchérir : « Dans leurs délires et hallucinations, ils
seraient capables de tout ! » De fait, comment ne pas voir chez
ces allumés un inquiétant phénomène de mimétisme avec les paumés de chez nous
qui deviennent là-bas les bourreaux préposés à l’horreur des
décapitations ?
Combien
de temps tolérera-t-on leur occupation de terres d’autrui, leur méthode de
contrôle islamo-tchékiste ?
N’a-t-on
pas dissous pour cent fois moins que leurs agissements illégaux des
groupuscules d’extrême-droite ? La vérité, c’est que la gauche au pouvoir
a toujours beaucoup de complaisance pour ceux de l’extrême-gauche, rouge ou
verte qui ont toujours constitué son vivier de recrutement. N’est-ce pas M.
Cambadélis, n’est-ce pas Madame Taubira ?
PS :
la vente aux chinois de l’aéroport de Toulouse :
C’est
un acte abject de bradage de notre patrimoine, de piétinement de la mémoire de
Toulouse, la ville de l’aeropostale et de l’aérospatiale, la ville de Mermoz,
de Didier Daurat. C’est un mépris du passé et une injure à l’avenir. C’est une
trahison.