L’Institut
du Pays Libre se réjouit de la déroute des candidats du pouvoir socialiste aux
élections municipales.
Illégitime moralement après avoir fait voter des lois
contre-nature, l’évidence, c ‘est qu’il n’a pas non plus de justification
démocratique. François Hollande ferait bien de démissionner ou, pour le moins,
de dissoudre l’Assemblée Nationale.
Pour
le second tour des élections l’Institut du Pays Libre appelle à faire battre
partout la gauche là où elle est encore en position de l’emporter, si du moins
les candidats de la pseudo-droite ne sont pas aussi gauchis que ceux de la
gauche.
Ainsi
à Paris est-il inutile de voter dans son arrondissement pour madame
Kosciusko-Morizet, qui ne répond vraiment à aucun des critères de bien commun de la droite de conviction.
À
Toulouse, en revanche, pour faire battre l’exécrable maire gauchiste Pierre
Cohen, on doit se résoudre à voter pour Jean-Luc Moudenc, candidat du moindre
mal.
À
Pau, le laïcisme, aussi agressif que celui des socialistes, de François Bayrou
contre toute expression en politique des valeurs chrétiennes ne permet pas un
vote en sa faveur.
L’Institut
du Pays Libre invite à voter pour tous les candidats du Front National
susceptibles de l’emporter même si hélas, il faut le dire, certains sont bien
éloignés des exigences de la droite de conviction sur la défense de la vie, de
la famille, des libertés.
L’Institut
du Pays Libre invite tous les membres des réseaux amis à se mobiliser ardemment
pour faire élire ses amis Thibaut de La Tocnaye à Cavaillon, Hervé de Lépinau à
Carpentras et à amplifier le très beau résultat à Bollène de Marie-Claude
Bompard, qui frise à quelques voix sa réélection au premier tour. Il la félicite et félicite son mari, notre ami
Jacques Bompard, de sa quatrième et triomphale réélection.