Rappel
du scénario :
Il
s’agit du « mariage » d’une petite fille de huit ans concocté par des
parents très « BCBG » (Julie Gayet et Alexandre Astier, tels qu’ils
sont) avec un de leurs amis, un beau spécimen d’infra-humanité porcinisée. La
« cérémonie » a lieu dans une somptueuse mairie de beau quartier avec
grand escalier éclairé par un vitrail d’art chrétien.
La
conclusion de la belle affaire, c’est le viol de la fillette, consommé par
l’immonde acheteur. Et dans la chambre, très vite, presque furtivement,
apparaît un crucifix suggérant plus que subliminalement le contexte
« culturel », évidemment chrétien, bien sûr, de l’abomination des « mariages
forcés ».
On
est là bien sûr à nouveau dans le registre de « l’Infamille »
d’accusation de la famille traditionnelle, chrétienne sociologiquement, de
perversion.
On
baigne là dans l’abjection rehaussée par une méprisable lâcheté.
Le
premier degré de l’abjection, c’est que s’il s’agissait de dénoncer la
pédophilie, il n’y aurait nul besoin d’en représenter l’horreur dans le cadre
d’un mariage certes imaginaire, surréaliste, diront les avocats de l’héroïque
libératrice de la femme qu’est Julie Gayet.
Mais
si le but explicite est bien de dénoncer le mariage « forcé », quel
besoin alors de cet atroce scénario ? En fait, n’y vise-t-on pas encore et
encore, par du sarcasme indigent, le mariage tout court ?
Car
il n’y a jamais eu dans nos sociétés européennes d’atroces mariages
« forcés » comme celui représenté dans cette vidéo. Qu’on ne nous
oppose pas anachroniquement les mariages à motivation politique, célébrés pour
de très jeunes époux mais à consommation ultérieure. Et qu’on ne nous oppose
pas non plus les mariages « arrangés » mais non « sacrés »
relevant d’autres contextes.
Mais
l’ignominie de la vidéo gayesque est en effet surtout rehaussée par la lâcheté
de l’obligation du politiquement correct de ne pas désigner la réalité, là où
elle existe aujourd’hui, des mariages forcés, nombreux, c’est-à-dire
en islam.
En
islam où demeure dans l’enseignement des hadiths et de la charia le modèle du
prophète Mahomet dans ses mariages et notamment le plus connu, celui avec
Aïcha, donnée par son père, Abu Bakr, ce cher compagnon et futur calife, alors
qu’elle est âgée de six ans. Mariage consommé quand elle aura neuf ans.
Et
aujourd’hui, dans bien des sociétés islamiques et communautés implantées chez
nous, les mariages sans consentement requis des épouses, qu’elles soient les
premières, la deuxième, troisième ou quatrième, demeurent une pratique très
répandue. Même si Mahomet a reconnu le droit des femmes à consentir.
Mais
en cette affaire de soi-disant opposition au mariage « forcé », Julie
Gayet ne s’est pas trompé de cible. Ce qu’elle vise, comme tant d’autres, dans
un conformisme misérable, c’est le christianisme. Et ce qu’elle veut, c’est le
mariage « défait ».
Et
ce qu’elle attaque et diffame, c’est la société chrétienne, avec sa manière
ignoble de l’inscrire dans une atroce parodie de mœurs. C’est pour cela que
l’AGRIF lui demande raison devant les tribunaux.