Bernard Antony,
président de l’AGRIF, communique :
Le misérable individu qui, en une pulsion de cruauté,
avait projeté le petit chat Oscar contre un mur, l’assommant et lui fracturant
une de ses pattes, a été condamné hier à un an de prison ferme.
Il
n’est même pas besoin d’aimer comme moi les chiens et les chats pour être
indigné par un pareil acte de méchanceté humaine.
Mais
à l’aune de cela, pèse-t-on qu’étant donné ce que l’on sait de la vie de
l’embryon et de l’enfant formé dans le sein de sa mère, être humain aussitôt
sensible et très vite souffrant, l’horreur de l’acte douceureusement qualifié
d’IVG ?
Acte
d’avortement et donc de mise à mort d’un être humain en devenir mais qui,
pouvant être légalement pratiqué de surcroît après plusieurs mois de gestation,
comme en Espagne, relève selon l’évidence commune de l’infanticide.
Comment,
décemment, notre société peut-elle être aussi inconséquente dans sa sensibilité
et barbare dans sa pratique pour que les avorteurs déchiqueteurs des enfants à
naître ne soient pas au moins aussi condamnés qu’un méchant lanceur de
chaton ?
Cela, nous le rappellerons aussi ce samedi 8 février, place des
Invalides puisqu’aux Femen, militantes fanatiques de la culture de mort et de
l’avortement, nous opposerons la beauté de la culture de vie.