mardi 4 février 2014

Un déchiqueteur avorteur peut-il être moins condamné qu’un méchant lanceur de chat ?

Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :



Le misérable individu qui, en une pulsion de cruauté, avait projeté le petit chat Oscar contre un mur, l’assommant et lui fracturant une de ses pattes, a été condamné hier à un an de prison ferme.

Il n’est même pas besoin d’aimer comme moi les chiens et les chats pour être indigné par un pareil acte de méchanceté humaine.

Mais à l’aune de cela, pèse-t-on qu’étant donné ce que l’on sait de la vie de l’embryon et de l’enfant formé dans le sein de sa mère, être humain aussitôt sensible et très vite souffrant, l’horreur de l’acte douceureusement qualifié d’IVG ?

Acte d’avortement et donc de mise à mort d’un être humain en devenir mais qui, pouvant être légalement pratiqué de surcroît après plusieurs mois de gestation, comme en Espagne, relève selon l’évidence commune de l’infanticide.

Comment, décemment, notre société peut-elle être aussi inconséquente dans sa sensibilité et barbare dans sa pratique pour que les avorteurs déchiqueteurs des enfants à naître ne soient pas au moins aussi condamnés qu’un méchant lanceur de chaton ?

Cela, nous le rappellerons aussi ce samedi 8 février, place des Invalides puisqu’aux Femen, militantes fanatiques de la culture de mort et de l’avortement, nous opposerons la beauté de la culture de vie.