Manuel Valls, chaque jour, rajoute quelques louches de
fanatisme et de malhonnête amalgame à son orchestration dialectique
d’opposition des Français.
Dans
sa frappante continuité mimétique des dictateurs de la Convention, il applique,
comme le note excellemment Guillaume Perrault dans le Figaro, très exactement
la formule célèbre de Saint-Just, ce grand adepte de la purification
sanguinaire de la République :
« Ce
qui constitue une République, c’est la destruction totale de ce qui lui est
opposé ».
Pour
cela, Valls utilise tous les moyens, toutes les déloyautés, tous les amalgames.
Et notamment d’assimiler frauduleusement au racisme tout ce qui relève de
différents refus idéologiques qu’il ne partage pas.
La
critique et la réfutation de la théocratie totalitaire, régissant tous les
domaines de la vie, qu’est l’islam, Valls la taxe d’islamophobie, donc de
racisme.
La
critique de la franc-maçonnerie dont il est un affilié (loge du Grand Orient
« l’infini maçonnique») : c’est encore du racisme ! Où est donc
le racisme dans la critique du relativisme philosophique et de l’imbroglio
symbolique ? Où est donc le racisme dans le refus du système maçonnique de
hiérarchies parallèles et de l’influence de pouvoir sans visibilité qui pollue
la transparence démocratique ?
La
vérité, c’est que c’est lui, Valls, qui n’a que complaisance pour toutes les
formes de la haine anti-chrétienne, et c’est bien lui qui, avec ses collègues
Taubira et Peillon, constitue un véritable danger de toutes les libertés de
suppression bienfaisantes, intellectuelles, culturelles et religieuses :
le danger du phénomène totalitaire socialiste vieux comme le monde, depuis les
empires esclavagistes assyriens et autres jusqu’aux monstruosités inégalées du
« national-socialisme » et des régimes marxistes-léninistes.
Non,
Manuel Valls n’a pas fumé la moquette ; il se prend pour
Saint-Just ! »