mardi 4 février 2014

La technique d’assassinat idéologique du totalitariste Valls.



Manuel Valls, chaque jour, rajoute quelques louches de fanatisme et de malhonnête amalgame à son orchestration dialectique d’opposition des Français.

Dans sa frappante continuité mimétique des dictateurs de la Convention, il applique, comme le note excellemment Guillaume Perrault dans le Figaro, très exactement la formule célèbre de Saint-Just, ce grand adepte de la purification sanguinaire de la République :

« Ce qui constitue une République, c’est la destruction totale de ce qui lui est opposé ».

Pour cela, Valls utilise tous les moyens, toutes les déloyautés, tous les amalgames. Et notamment d’assimiler frauduleusement au racisme tout ce qui relève de différents refus idéologiques qu’il ne partage pas.

La critique et la réfutation de la théocratie totalitaire, régissant tous les domaines de la vie, qu’est l’islam, Valls la taxe d’islamophobie, donc de racisme.

La critique de la franc-maçonnerie dont il est un affilié (loge du Grand Orient  « l’infini maçonnique») : c’est encore du racisme ! Où est donc le racisme dans la critique du relativisme philosophique et de l’imbroglio symbolique ? Où est donc le racisme dans le refus du système maçonnique de hiérarchies parallèles et de l’influence de pouvoir sans visibilité qui pollue la transparence démocratique ?

La vérité, c’est que c’est lui, Valls, qui n’a que complaisance pour toutes les formes de la haine anti-chrétienne, et c’est bien lui qui, avec ses collègues Taubira et Peillon, constitue un véritable danger de toutes les libertés de suppression bienfaisantes, intellectuelles, culturelles et religieuses : le danger du phénomène totalitaire socialiste vieux comme le monde, depuis les empires esclavagistes assyriens et autres jusqu’aux monstruosités inégalées du « national-socialisme » et des régimes marxistes-léninistes.


Non, Manuel Valls n’a pas fumé la moquette ; il se prend pour Saint-Just ! »