Pour la campagne et la manifestation pour la dissolution des Femen, comme pour la condamnation de « l’Infamille », un même traitement médiatique pour l’AGRIF : l’occultation.
C’est l’AGRIF qui, depuis plus d’un an, a lancé les campagnes pour la dissolution des Femen, des campagnes contre « la république femhaine ». Avec tout l’appui de l’Observatoire de la christianophobie, lançant à son tour très efficacement des recueils de pétitions à cette fin. Et avec le soutien déterminant aussi du Salon Beige et bien sûr de Présent, du blog d’Yves Daoudal, et de quelque dix émissions de Radio-Courtoisie. La manifestation du 8 a été couronnée de succès, étonnant ceux qui ne la croyaient pas possible après les précédents grands défilés organisés avec beaucoup plus de moyens, avec une forte participation provinciale et surtout, le dimanche, jour plus propice aux mobilisations.
C’est l’AGRIF qui, depuis plus d’un an, a lancé les campagnes pour la dissolution des Femen, des campagnes contre « la république femhaine ». Avec tout l’appui de l’Observatoire de la christianophobie, lançant à son tour très efficacement des recueils de pétitions à cette fin. Et avec le soutien déterminant aussi du Salon Beige et bien sûr de Présent, du blog d’Yves Daoudal, et de quelque dix émissions de Radio-Courtoisie. La manifestation du 8 a été couronnée de succès, étonnant ceux qui ne la croyaient pas possible après les précédents grands défilés organisés avec beaucoup plus de moyens, avec une forte participation provinciale et surtout, le dimanche, jour plus propice aux mobilisations.
Nous,
nous avions décidé de l’organiser un samedi, pour être très précisément et très
visiblement place Vendôme devant le ministère dit de la Justice, dirigé par
madame Taubira.
Cela
nous fut finalement interdit et interdit encore, quasiment au dernier moment,
le lieu accordé, esplanade des Invalides. Et la Préfecture de Police nous
proposait alors, avec une kolossale rouerie, la place de la République :
en vérité un grossier traquenard !
Après
d’âpres négociations nous acceptâmes enfin la place Vauban.
Le
jour même, grâce à notre ami Didier Rochard bien connu des auditeurs de
l’émission du dimanche « Lumière de l’Espérance » de Radio-Courtoisie,
fut obtenue de l’officier de police responsable, la garantie qu’il n’y aurait
pas d’embûche au moment de la dispersion si elle s’effectuait à l’heure et dans
la durée prévue.
Quoiqu’en
aient prédit quelques corbeaux de mauvais augure, les uns s’attachant à
distiller qu’il n’était pas souhaitable de demander la dissolution (veulent-ils
alors le maintien des Femen ?) ; les autres prophétisant les pires
incidents, la manifestation a été celle d’une grande réussite à la fois par la
masse des participants et la qualité de leur écoute pour les orateurs.
Tous
en effet, comme je le leur avais demandé, traitèrent du phénomène femhaine
selon la diversité des thèmes que je leur avais conseillés pour éviter trop de
répétitions dans l’indignation.
Après
la dispersion, pendant le démontage du plateau, un policier nous confia qu’ils
avaient été impressionnés par la discipline de notre rassemblement et surtout
stupéfaits par sa conclusion : celle de la prière du Salve Regina
superbement repris par la foule : réponse de paix et de charité à la haine
des misérables Femen et dans l’espérance de leur conversion.
Le
traitement médiatique : pourquoi la règle du silence dans certains
médias ?
Le succès de notre manifestation a été bien sûr amplement
relayé sur les médias « internet » par toute la vaste gamme des
sites, blogs et radios de la résistance à la haine anti-chrétienne. Sans
oublier TV Liberté animée par notre ami Martial Bild. Il a été répercuté dans
bien des médias à l’étranger, en différents pays d’Europe et surtout en Russie.
Observons
aussi que Libération, le journal quotidien de la gauche bobo, n’a pas passé
l’événement sous silence. En revanche, rien dans la presse dite de
droite !
Pas
plus que pour rendre compte des combats et victoires judiciaires de l’AGRIF
telle que celle obtenue à Metz contre l’exposition abominable dite d’art
contemporain de « L’Infamille », condamnée, c’est une première, pour
« atteinte grave à la dignité humaine ».
Pourquoi
ce silence ?
Serait-ce
parce que n’étant ni extrémistes, ni racistes, ni antisémites, n’étant pas des
provocateurs mais des antiracistes luttant contre les racismes anti-français,
anti-chrétiens, et finalement le racisme anti-humain du nihilisme au pouvoir,
nous n’intéressons pas ?
Serait-ce
parce que l’AGRIF est principalement animée par des catholiques de conviction,
ni intégristes ni progressistes et qu’elle reçoit aussi le soutien
d’autres chrétiens fervents, orthodoxes
ou protestants, et la sympathie encore de nombreux juifs patriotes français,
attachés comme nous à la morale du Décalogue et à l’Amitié Française ?
Finalement,
ne sommes-nous pas perçus comme des non-conformistes méprisables puisque
attachés aux valeurs de la vie, de la famille, de l’enracinement et de
l’universel face à la « culture de mort » ? Serait-ce parce que
certains ne comprennent pas le concept de « racisme anti-humain » que
nous avons créé pour désigner le déni d’humanité nihiliste de cette
anti-culture de vie ?
Chers
lecteurs et amis, cet état de fait vous indigne ?
Alors,
je vous le demande, pour en finir avec une intolérable discrimination, écrivez
aux journaux que vous lisez, à leurs directeurs, aux journalistes que vous
appréciez.
Exprimez-leur,
élégamment et poliment, avec mesure, votre juste indignation devant l’affligeant
refus d’information qu’ils pratiquent indéniablement sans que l’on en sache
bien la raison.
Je
vous exprime toute ma gratitude pour ce que vous ferez.
***
PS : Je reçois une multitude de messages très amicaux et souvent émouvants s’inquiétant de ma santé, ils m’auraient trouvé un peu épuisé après ma tournée de conférences et cette manifestation.
Je
tiens à les rassurer. Les principaux organisateurs de la journée peuvent
témoigner de ce que j’ai été très vite revigoré par le buffet prévu au Centre Charlier
où nous avons bu selon nos humeurs soit le remarquable vin des côtes du
Roussillon « Château Les Collas » de notre ami Jacques Bailbé de
Thuir, soit le très bon vin qu’est « La Réserve », le second cru déjà très admirable du Château
Picque-Caillou de notre cher Paulin Calvet dont, sans lésiner, on boira le
premier cru (Pessac-Leognan) pour fêter bientôt quelques naissances dans nos familles…
Après
quoi j’ai trouvé sans difficulté le sommeil du juste dans mon cher Hôtel du
Collège de France, tout près du Centre Charlier, dans la petite rue
Thénard, entre la rue des Écoles et le boulevard Saint-Germain (tel : 01
43 26 78 36) où nul de nos amis ne sera déçu par l’accueil toujours si amical
réservé avec les meilleures conditions. Ceci est en effet une publicité, aussi
totalement gratuite qu’expressive de ma gratitude.