Considérant qu’il faut coûte que coûte arriver à une
égale participation et représentation des hommes et des femmes en politique, la
loi stipule désormais que les listes aux élections municipales doivent respecter
sous peine d’invalidation une stricte alternance des deux sexes.
C’est
tout simplement idiot ! Et encore plus au moment où par ailleurs, dans
l’effervescence des exigences du lobby LGBT-(OGM) la transsexualité réclame de
plus en plus de reconnaissance sociale.
Et
voici qu’à Toulouse, et sur la liste des Verts de surcroît, il s’avère qu’une
candidate « transgenre », c’est-à-dire OGM (organisme
gynécologiquement modifié), bien que, selon elle, évidemment devenue femme,
avait été, horreur, positionnée comme un homme !
Patatras,
tout l’équilibre d’alternance en était affecté.
Ce
douloureux problème ne serait évidemment pas posé si l’obligation de parité
parfaite n’était pas de rigueur. Comme il est probable ni la gauche ni la
droite ne reviendront sur cette absurdité idéologique, nul doute, tel qu’on
connaît le lobby LGBT, qu’il finira par imposer un quota… de transsexuels sur
les listes.
« On
n’a pas fini d’en voir », vous dis-je.
Reste
que des difficultés ne manqueront pas de surgir lorsque les candidat(e)s seront
en quelque sorte en cours de transhumance sexuelle : par exemple,
« candidat » un jour, « candidate » le mois d’après. Les
électeurs ne manqueront pas d’être de plus en plus déboussolés devant ces
phénomènes de migration sexuelle lourds d’incertitude électorale.
Il
n’est d’ailleurs pas impossible que l’on en vienne un jour à apprendre qu’un de
nos chefs de l’État, peut-être un élu Vert (mais il y a des « trans »
dans tous les partis) aura changé de sexe en moins de temps qu’il n’en faut à
Hollande ou Sarkozy pour changer d’épouse.
Selon
mes informations sûres, dans notre école de protocole diplomatique, c’est déjà
une hypothèse à laquelle on se prépare…