mercredi 16 octobre 2013

Anniversaire de l’assassinat de la reine de France.


Les lecteurs de ce blog, comme ceux de Reconquête, savent que, quelquefois, devant certaines tristesses ou palinodies du temps présent, nous préférons ironiser que nous lamenter. Selon le vieil adage : « Mieux vaut quelquefois en rire qu’en pleurer ! »

C’est le cas dans notre commentaire de ce matin. Mais je réalise que cette journée du 15 octobre est celle de l’anniversaire de l‘assassinat, perpétré en 1793, par hélas le tribunal révolutionnaire de l’État français, de l’héroïque reine Marie-Antoinette.

Ce crime vint après un long, un atroce calvaire certes de mauvais traitements mais, bien plus, de tortures consistant dans les plus immondes accusations, les pires calomnies qu’une mère puisse subir, proférées par un tribunal de criminels non distinct du gouvernement jacobin de même acabit, celui d’un régime perfectionnant le déni d’humanité, et donc le crime d’humanité, comme fondement de son totalitarisme, annonciateur et modèle de ceux des Jeunes-Turcs, des communistes et des nazis.

Marie-Antoinette fut non seulement héroïque dans l’épreuve mais témoigna par le pardon à ses bourreaux, et son amour pour la France, d’une sainteté telle que l’on peut se demander s’il n’est pas aussi légitime de la prier que de prier pour elle.


Et nous pensons aussi que, tant qu’un gouvernement français n’aura pas fait repentance pour les crimes contre l’humanité de son régime fondateur, il demeurera comme une malédiction originelle pesant sur notre République.