vendredi 19 juillet 2013

Une société de « projets ».

Recherches sur l’embryon.

Les « chercheurs » peuvent désormais très légalement utiliser des embryons « disponibles » pour leurs expériences. Un embryon « disponible », c’est un embryon ne correspondant pas à un « projet parental »… ou « sociétal ».

Qu’en terme citoyennement correct ces choses-là sont dites !

À bien considérer certains personnages, il nous vient l’idée (mauvaise, bien sûr !) qu’il est peut-être dommage qu’ils aient correspondu à des « projets parentaux». Les embryons de madame Taubira ou de François Hollande n’auraient-ils pas été d’excellents objets d’expérience ?

Des écoles de "projets".

Dans l’Éducation Nationale, l’enseignement dispensé doit également être conforme à un « projet » éducatif. C’est là une grande chance pour les enfants qui ont pu réchapper à l’incinérateur final grâce à un projet « parental ». Mais à l’école,  le projet sera celui de Mr Vincent Peillon selon ses visées idéologiques et ses planifications statistiques. Mais qu’on se rassure, on n’a jamais vu beaucoup d’ouvriers parmi les enfants des ministres et des députés, fussent-ils socialistes !

Dans l’enseignement dit « libre », classifié « sous-contrat » on met en avant le caractère « propre » du projet pédagogique. Dans certains (et très rares) établissements, on s’efforce en effet de maintenir une référence et une culture chrétiennes. Mais dans l’immense majorité des cas, il n’y a ni programmes adaptés, ni propres livres scolaires, ni « propre » recrutement.

Et les évêques, le plus souvent, ne s’émeuvent nullement de ce que dans ces établissements on reçoive le planning familial pour venir prôner l’IVG et l’idéologie LGBT.

En fait, le caractère propre , c’est de n’être propre à rien qui sorte de la chape de plomb idéologique. Le caractère propre de l‘enseignement libre, ce n’est vraiment pas la liberté !