Recherches
sur l’embryon.
Les « chercheurs » peuvent désormais très
légalement utiliser des embryons « disponibles » pour leurs
expériences. Un embryon « disponible », c’est un embryon ne
correspondant pas à un « projet parental »… ou
« sociétal ».
Qu’en terme citoyennement correct ces choses-là sont
dites !
À
bien considérer certains personnages, il nous vient l’idée (mauvaise, bien
sûr !) qu’il est peut-être dommage qu’ils aient correspondu à des
« projets parentaux». Les embryons de madame Taubira ou de François
Hollande n’auraient-ils pas été d’excellents objets d’expérience ?
Des
écoles de "projets".
Dans l’Éducation Nationale, l’enseignement dispensé doit
également être conforme à un « projet » éducatif. C’est là une grande
chance pour les enfants qui ont pu réchapper à l’incinérateur final grâce à un
projet « parental ». Mais à l’école, le projet sera celui de Mr Vincent Peillon selon ses visées
idéologiques et ses planifications statistiques. Mais qu’on se rassure, on n’a
jamais vu beaucoup d’ouvriers parmi les enfants des ministres et des députés,
fussent-ils socialistes !
Dans l’enseignement dit « libre », classifié
« sous-contrat » on met en avant le caractère « propre » du
projet pédagogique. Dans certains (et très rares) établissements, on s’efforce
en effet de maintenir une référence et une culture chrétiennes. Mais dans
l’immense majorité des cas, il n’y a ni programmes adaptés, ni propres livres
scolaires, ni « propre » recrutement.
Et les évêques, le plus souvent, ne s’émeuvent nullement
de ce que dans ces établissements on reçoive le planning familial pour venir
prôner l’IVG et l’idéologie LGBT.
En fait, le caractère propre , c’est de n’être propre à
rien qui sorte de la chape de plomb idéologique. Le caractère propre de
l‘enseignement libre, ce n’est vraiment pas la liberté !